Sur ce pied-là, il me paraît que le Français est plus homme qu'un autre... »
« L'Homme est par nature un animal politique », Aristote.
L'homme est donc destiné à vivre dans la société. Un être humain ne peut pas vivre naturellement en dehors de la société. Selon Aristote, il est possible de voir un homme vivre hors de la cité par le hasard des circonstances, pour des raisons circonstancielles.
Selon Aristote, la métaphysique étudie la réalité fondamentale. Elle concerne surtout l'acte pur et Dieu. Ce philosophe a expliqué que Dieu est le « Premier Moteur » et influe beaucoup sur le changement dans la vie des Hommes. Dieu est éternel et absolument parfait.
En effet, Aristote soutient que l'homme est un animal politique, et non pas simplement un animal social. L'homme n'est évidemment pas le seul animal à vivre en communauté. C'est aussi le cas d'innombrables espèces, comme les abeilles par exemple. Être sociable, pour un animal, signifie simplement vivre en communauté.
L'homme ne serait donc rien de plus qu'un animal. Certes, mais comme le dit si bien Aristote, c'est un animal social : plus on est de fous, plus on rit. L'homme naît, grandit et évolue toute sa vie au sein d'un « écosystème social » avec lequel il interagit en permanence.
L'homme comme animal métaphysique n'est que le porteur de la question non pas de sa propre existence mais de l'existence qui le porte : « c'est seulement après que l'essence intime de la nature (le vouloir vivre dans son objectivation) s'est développée, avec toute sa force et toute sa joie, à travers les deux règnes de ...
“L'homme est la mesure de toute chose.” “Les yeux de l'esprit ne commencent à être perçants que quand ceux du corps commencent à baisser.” “La nécessité est la mère de l'invention.” “La vieillesse est un état de repos quant aux sens.
La philosophie politique de Platon considère que la Cité juste doit être construite selon le modèle du Bien en soi. Dans le dialogue "La République" Il développe en conséquence l'idée du Philosophe roi. La pensée de Platon n'est pas monolithique.
Socrate cherche donc à montrer que les vertus morales particulières (par exemple : la justice, le courage, la tempérance, la piété, la sagesse) convergent toutes dans la vertu qui est une (en général), et, au-delà d'elle, en ce pour quoi la vertu est vertueuse ou l'excellence excellente, en vue de faire le bien.
Aristote soutient que pour véritablement connaître la vérité d'un phénomène, il faut en connaître la cause. Ainsi, « on ne peut pas savoir la vérité si l'on ne connaît pas la cause ».
Ainsi, par exemple, la métaphysique est : pour Aristote (384-322 av JC), l'étude de l'être ou de l'essence des choses, indépendamment de leurs propriétés particulières.
Robinson apprend donc que l'homme est un être social : il n'existe que par les autres, par leur contact et leur regard (« les attouchements perpétuels de ses semblables », Michel Tournier) : « ses actions, ses comportements n'ont de sens que par rapport aux autres » (2ème texte).
« La cité est au nombre des réalités qui existent naturellement, et (...) l'homme est par nature un animal politique. Et celui qui est sans cité, naturellement et non par suite des circonstances, est ou un être dégradé ou au-dessus de l'humanité.
Selon Rousseau, les hommes et les animaux sont des êtres semblables, ils disposent d'une nature commune qui est la sensibilité. En effet, l'homme et l'animal éprouvent des sensations et des sentiments. Parce qu'ils sont semblables, l'homme ne doit pas, selon le philosophe, faire souffrir inutilement l'animal.
La philosophie de Hegel est une philosophie systématique et encyclopédique qui se développe à partir de l'idée logique. Son déploiement dialectique constitue la réalité et son devenir, et son retour à soi dans la forme de la pensée, la seule qui soit vraiment adéquate à son contenu.
En fait, l'élève Aristote poursuit autant qu'il combat la philosophie de son maître Platon. L'héritage philosophique de la Grèce est la philosophie elle-même. La formule est particulièrement vraie pour Platon et Aristote qui ont formulé les principales questions de la philosophie.
Platon écrit une œuvre littéraire, Aristote fait écrire le mode d'emploi d'un outil de travail. Platon aligne les sujets les uns après les autres, Aristote construit un seul système, une approche unique de la totalité du réel ainsi qu'une méthode didactique pour organiser le débat.
Pythagore a dit...
“Ne dis pas peu de choses en beaucoup de mots, mais dis beaucoup de choses en peu de mots.” “Il vaut mieux se faire aimer que se faire craindre.” “N'entretiens pas l'espoir de ce qui ne peut être espéré.” “La jeunesse ressemble à tout ce qui s'accroît, la vieillesse à tout ce qui décroît. ”
"Le domaine de la liberté commence là où s'arrête le travail déterminé par la nécessité." "Celui qui ne connaît pas l'histoire est condamné à la revivre." "Abolissez l'exploitation de l'homme par l'homme et vous abolirez l'exploitation d'une nation par une autre nation."
Un animal est par son instinct même tout ce qu'il peut être ; une raison étrangère a pris d'avance pour lui tous les soins indispensables. Mais l'homme a besoin de sa propre raison. Il n'a pas d'instinct, et il faut qu'il se fasse à lui-même son plan de conduite.
Pour Descartes, l'animal n'a ni âme ni raison. En dépit des apparences, l'animal n'a pas de pensées. Il réagit « automatiquement » à des stimuli : c'est une créature intégralement déterminée, conçue sur le modèle d'un système mécanique. À l'inverse, l'humain dispose de la pensée et du langage.
La thèse de Schopenhauer est que l'homme est en réalité tout aussi déterminé que l'animal dans ses actes. Cette soumission à la causalité naturelle est simplement plus difficile à percevoir chez l'homme car il est un être vivant plus complexe que l'animal.