Les eaux de 2 ème catégorie abritent majoritairement des populations de poissons de type Cyprinidés (Carpe, Barbeau, Gardon, etc.). Les règles de pêche y sont différentes (voir arrêté préfectoral) ainsi que les règles relatives aux vidanges ou travaux en rivière.
À ce jour, seulement deux poissons sont classés nuisibles, le poisson-chat et la perche soleil ainsi que certaines écrevisses.
« Noyer » le poisson
On maintient alors le poisson vers la surface afin de pouvoir le faire glisser progressivement vers l'épuisette. Pour bien maîtriser une lutte, il ne faut jamais être pressé de voir le poisson et de l'amener sous l'épuisette. Etre patient constitue la meilleure arme en la matière.
Pourquoi relâcher le poisson ? Le but est double : Préserver la ressource en poisson actuelle et surtout future, c'est permettre à nos enfants de pouvoir pêcher aussi pour de nombreuses années. Vous permettre de capturer plusieurs fois les mêmes poissons, comme notre guide Mickaël !
Les poissons souffrent horriblement dans les filets, au bout des hameçons et sur les ponts des bateaux de pêche, où ils suffoquent lentement, voire sont éventrés vivants.
La capacité des poissons à ressentir la douleur semble démontrée au-delà du doute raisonnable. Elle fait désormais l'objet d'un large consensus scientifique. De plus, il semble probable que les poissons puissent ressentir non seulement la douleur mais aussi le stress, l'anxiété ou la peur.
La bonne pratique
Les hameçons sans ardillon, simples de préférence, l'épuisette à mailles non nouées, pas de fishgrip, décrochage de l'hameçon avec une pince, temps de manipulation limité, se mouiller les mains avant contact…
En cas de pêche
Tuez le poisson immédiatement après capture pour éviter la formation d'acide lactique et posez-le dans un contenant hermétique, sur un bloc de glace, à l'abri du soleil. Éviscérez-le rapidement. Une fois éviscérez, ne le rincez pas à grande eau. Nettoyez-le avec un papier absorbant humide.
Ils redoutent la forte expansion de ce poisson dans nos rivières et plans d'eau car, carnassier, il chasse toutes sortes de poissons et même du gibier d'eau.
Quelques exemples d'espèces exotiques envahissantes en métropole : le ragondin (Myocastor coypus) et le vison d'Amérique (Neovison vison), introduits volontairement pour l'exploitation de leur fourrure ; le frelon asiatique (Vespa velutina) ; la jussie rampante (Ludwigia peploides).
Pourquoi qualifier des poissons de nuisible ? Tout simplement parce qu'ils ont été introduits par l'homme dans un milieu non adapté à eux. C'est à dire que ces poissons ne sont pas présents naturellement et que l'écosystème dans lequel l'homme les a introduit n'est pas adapté à leur présence.
Éviter les cas de noyade
Lorsque le danger arrive, il n'y a donc aucune chance pour que les pêcheurs de nuit soient sauvés à temps. De plus, les patrouilles ne se font pas régulièrement et à tous les endroits à la fois. Pour donc limiter les risques, il a été décidé de l'interdiction de la pêche la nuit.
Pêcher sans avoir la carte de pêche est sanctionné par une amende pouvant aller jusqu'à 450 €. Si vous pêchez sans avoir sur vous votre carte de pêche, vous risquez une amende de 38 €.
– L'usage des appâts et amorces suivants : des brochets, sandres, salmonidés, grenouilles et écrevisses ; œufs de poissons naturels, frais, de conserve ou mélangés à une composition d'appâts artificiels, dans tous les cours d'eau ; dans les eaux de la 1ère catégorie, les asticots et autres larves de diptères.
Il faut pousser vers l'avant sur la partie terminale de la hampe de l'hameçon. Si l'hameçon est enfoncé trop profondément, il vous faudra utiliser un dégorgeoir. Il suffira de tendre le fil, de glisser le fil dans l'interstice du dégorgeoir, et avancer le dégorgeoir vers l'hameçon.
C'est parfois simplement pour respecter les règles de pêche que les ardillons sont éliminés. Sur de nombreux « parcours de graciation » à travers la France (mais aussi à l'étranger), la pêche doit s'effectuer avec des leurres ou des mouches équipés d'armements sans ardillon.
Pour eux, ce qui est naturel et qui aide les poissons à se confondre dans l'environnement, ce sont les tons de vert, de bleu, de gris et de brun. Le jaune, le blanc et le noir sont à la limite du naturel. Toutes les autres couleurs sont là pour attirer l'attention… même chez les poissons.
Cependant, certaines odeurs bien connues attirent les poissons. Particulièrement l'ail! Outre cette odeur, il y a l'anis et le sel. L'ail est utilisé par plusieurs compagnies.
Les vers vivants, les lombrics, les larves et autres font généralement de bons appâts. La plupart des poissons s'y intéresseront car ils sont faciles à voir et se déplacent sous l'eau, ce qui attire la plupart des poissons.
Eh bien, la démonstration de certains comportements chez le poisson, couplée à l'activité de circuits neuronaux bien spécifiques, ont prouvé que les poissons vivent des sentiments.
En cause: les pesticides, l'agriculture intensive, les erreurs dans le repeuplement piscicole ou l'aménagement des cours d'eau.
On peut donc dire que les insectes ne ressentent pas la douleur. Chez les animaux capables de nociception, reste à savoir s'ils ont aussi la conscience de souffrir comme les vertébrés à sang chaud (mammifères, oiseaux).