-Il peut être représenté par 'è' et se prononcer comme le 'è' du mot mère. -Il peut être représenté par 'ê' et se prononcer comme le 'ê' du mot fête. -Il peut être représenté par 'ei' et se prononcer comme le 'ei' du mot peigne. -Il peut être représenté par 'ai' et se prononcer comme le 'ai' du mot saison.
Le Français en ligne - Sons de la lettre e toute seule: [e], son [ε], son [Ø] La lettre e peut se prononcer de trois façons. - le son [e] s'écrit é comme dans bébé, chanté... - le son [oe] s'écrit eu, comme dans peur, ou e quand il est suivi d'une consonne simple: jeter, chandelier...
Les lettres ai font le son [ɛ].
avec la lettre è comme dans « mère » ; avec les lettres ai comme dans « balai » ; avec les lettres ei comme dans « reine ».
-Il peut être représenté par 'é' et se prononcer comme le 'é' du mot : blé. -Il peut être représenté par 'ée' et se prononcer comme le 'ée' du mot jetée. -Il peut être représenté par 'er' et se prononcer comme le 'er' du mot marcher.
En phonétique, on appelle le son [j] le yod. Pour prononcer ce son, dîtes rapidement « i e i e i e i e i e », vous finirez par entendre le son [j] de cette manière !
EY se prononce généralement \ɛj\ (ou \ej\) : cheyenne, grasseyer, hockeyeur, volleyeur, zézéyer…
Traditionnellement prononcé \e\, mais le son peut devenir \ɛ\ sous l'influence du contexte.
Le « ê » se lit [ε], on dit que c'est un « e » avec un accent circonflexe.
Règle 2 : On utilise un accent aigu lorsque la voyelle « e » est la dernière lettre du mot. Attention, cela concerne aussi les mots au pluriel terminant par un -s ou se terminant par un -e muet ("e" que nous ne prononçons pas). Exemples : Un canapé, des canapés, un abonné, une abonnée...
On n'écrit pas « j'ai fais », parce qu'il s'agit du verbe « faire » à la 1e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ». Exemple : J'ai fait un vœu.
La forme "aie" correspond à : la première personne du singulier (je) du subjonctif présent (que j'aie). Exemple : "Il faut que j'aie mon examen, cette fois-ci !" ; la deuxième personne du singulier (tu) de l'impératif présent : "N'aie pas peur, aie confiance en toi."
L'œ, ligature du « o » et du « e », est une lettre étymologique héritée de l'histoire. On la rencontre dans un certain nombre de mots empruntés au latin et au grec. Ainsi « collées », les deux lettres n'en forment qu'une : c'est un digramme.
En phonétique, on appelle voyelle un son du langage humain dont le mode de production est caractérisé par le libre passage de l'air dans les cavités situées au-dessus de la glotte, à savoir la cavité buccale et/ou les fosses nasales.
Son [ə] Le son [ə] dit e caduc peut s'écrire : e : premier, pelé
Si la lettre s est en début de mot ou entre deux consonnes ou entre une voyelle et une consonne, on entend le son [s]. Pour obtenir le son [s] entre deux voyelles, il faut doubler le s. Quand la lettre s est entre deux voyelles, on entend le son [z].
Devant une consonne double, la lettre e se prononce « è » et ne prend jamais d'accent. Exemples : la chouette, le dessin, la terre, l'antenne, la libellule. Quand elle n'est pas en fin de syllabe, la lettre e se prononce souvent « è » devant une consonne et ne porte pas d'accent.