Les bleus (ou ecchymoses) sont donc plus fréquents et peuvent apparaître après des chocs minimes. La peau peut aussi être touchée avec un risque d'acné et une difficulté à la cicatrisation. Une fragilité des os (ostéoporose) peut aussi survenir au bout d'une durée de traitement prolongée.
des modifications physiques, comme une fonte musculaire ou un gonflement du visage ; des tendances à la dépression ou au contraire à l'agitation, avec notamment des insomnies ; l'aggravation ou l'apparition d'un diabète ou d'une hypertension.
Des troubles digestifs (acidité gastrique) ; Une immunodépression ; Des troubles du sommeil et des troubles psychiques (dépression, délire, hallucinations) ; Des complications oculaires, de type cataracte, voire de glaucome chez certaines personnes prédisposées.
À fortes doses, les corticoïdes répriment l'activité du système immunitaire (effet immunosuppresseur) et de ce fait peuvent augmenter le risque d'infection.
Les risques d'ulcère à l'estomac et de pancréatite induits par les corticoïdes sont extrêmement faibles. En revanche, les corticoïdes peuvent aggraver un ulcère à l'estomac préexistant. Sujets à risque : les patients aux antécédents de maladies digestives (notamment d'ulcère) sont plus à risque.
Dans les inflammations cutanées (eczéma, éruptions, etc.), la potentille tormentille (Potentilla erecta) pourrait remplacer la cortisone et éviter ses effets secondaires, selon une récente étude.
Les corticoïdes diminuent les défenses immunitaires et fragilisent la muqueuse buccale ce qui augmente les risques infectieux (comme les aphtes ou l'herpès). Il est recommandé de boire un grand verre d'eau après une bouffée de cortisone pour en éliminer les résidus.
Réponse du rhumatologue : La rougeur de peau survenant au soleil de manière inhabituelle est une photosensibilité et peut survenir sous différents traitements. Avec les corticoïdes, il est plus classique de voir apparaître une atrophie de la peau ou une rougeur liée à l'hypercorticisme (syndrome de Cushing).
D´autres effets indésirables peuvent renvoyer à des troubles du cycle chez la femme, une perte de libido, des troubles de l´érection, mais aussi des troubles neuropsychiatriques tels que l´irritabilité, l´agressivité, la dépression ainsi que la fatigue et les troubles du sommeil.
La posologie initiale dépend de la maladie à traiter et correspond habituellement à 5–60 mg/jour; des doses nettement plus élevées sont toutefois autorisées et peuvent être inévitables à court terme dans les cas aigus ou particulièrement sévères nécessitant une amélioration rapide.
– Diminuer les apports en sel (Sodium ou Na+). – Augmenter les apports en potassium (banane, chocolat), et en vitamines en consommant davantage de fruits et légumes. – Veiller à une alimentation riche en vitamine D et en calcium. – Avoir des apports en protéines suffisants pour compenser la fonte musculaire.
Certains effets indésirables surviennent principalement lors de traitements prolongés (ex : insuffisance surrénalienne, hypercholestérolémie) alors que d'autres peuvent survenir dès les tous premiers jours du traitement (ex : insomnie, augmentation de l'appétit). Par ailleurs, ce risque varie en fonction des individus.
Description : chez les femmes, les corticoïdes peuvent induire des modifications du cycle menstruel (règles plus/moins abondantes, cycles plus/moins longs, rarement arrêt des règles). Les hommes rapportent eux occasionnellement une diminution de la libido ou des troubles de l'érection.
Certaines personnes observent également une envie plus fréquente d'uriner, des œdèmes suite à une rétention d'eau et une hypertension artérielle. Cortisone inhalée La cortisone inhalée a beaucoup moins d'effets secondaires que la cortisone prise par voie orale.
Ces effets indésirables peuvent être longtemps asymptomatiques ou se manifester par une diminution de l'acuité visuelle, des douleurs oculaires, une sensation de halos dans le champ visuel ou une gêne induite par la lumière.
Est-ce que ces médicaments amincissent la peau ? Cela peut arriver mais c'est rare si vous suivez les directives de votre médecin. En général, l'amincissement est dû à un long usage d'une cortisone de force élevée. Cela survient juste à l'endroit où la cortisone a été mise.
La dernière se produit généralement suite au contact des aliments, de venins, de plumes ou de poils d'animaux et/ou de pollens. Outre ces facteurs, l'administration de certains médicaments corticoïdes peut gonfler le visage.
A cause d'un traitement trop prolongé, et probablement parce qu'ils sont génétiquement prédisposés, ces malades vont développer, au fil du temps, une vraie dépendance aux dermocorticoïdes : dès que cesse l'effet de la crème à la cortisone, apparaît une rougeur, qui devient écarlate, douloureuse, et qui brûle.
La fonte musculaire et les crampes peuvent être diminués grâce à un régime riche en potassium (banane, fruits secs...) et en protéine ainsi qu'à un entretien musculaire régulier (en fonction de vos possibilités).
Description : les corticoïdes peuvent induire de nombreux effets indésirables cutanés qui sont schématiquement de 3 types : trophiques (= fragilité de la peau) avec notamment vergetures, ecchymoses (certaines formes étant appelées purpura de Bateman, voir photo), sécheresse cutanée et difficultés pour cicatriser.
Les troubles musculaires apparaissent dans les semaines qui suivent la première prise de cortisone lorsque celle-ci est comprise entre 1 et 2 mg/kg/jour. En cas de posologie modérée (15 mg/jour), la myopathie cortisonique chronique débute au moins un mois après la mise en place du traitement.
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