Les méthodes naturelles de contraception consistent à éviter les rapports sexuels fécondants en période d'ovulation. Elles ont un taux d'échec considéré comme élevé.
En France, il existe trois méthodes de régulation naturelle des naissances répandues et bien documentées : sympto-thermique, Billings, FertilityCare. Elles font partie des « Méthodes d'Observation du Cycle » (MOC).
La méthode dite «du retrait» figure effectivement parmi les moyens de contraception naturels. Elle consiste, pour l'homme, à retirer son pénis du vagin de sa partenaire juste avant l'éjaculation. Elle est très pratiquée dans les pays méditerranéens.
Il existe plusieurs méthodes de contraception naturelle
Les plus fréquemment utilisées sont au nombre de 4 : 1) Le coït interrompu ou ou méthode du retrait. Elle consiste à interrompre le rapport sexuel vaginal avant l'éjaculation pour éviter toute fécondation.
Dans les méthodes actuelles, cette substance entre dans la composition des principes actifs de nombreux spermicides. De même, les chercheurs attribuent au miel et aux dattes de véritables propriétés contraceptives.
Selon cette définition, la contraception hormonale (progestative ou estroprogestative), la contraception intra-utérine et la stérilisation (masculine et féminine) sont les moyens les plus efficaces pour éviter les grossesses non désirées.
On distingue les méthodes de contraception dites permanentes et à long durée d'action (stérilisation, stérilet, implants) des méthodes plus ponctuelles (pilule, préservatif, injection hormonale).
La réponse de l'expert
D'autre part, il existe une autre possibilité : le stérilet du lendemain, encore plus efficace et cela jusqu'à 5 jours aussi. Ce sont les deux seules méthodes pouvant permettre d'éviter la fécondation de l'ovule par le spermatozoïde.
Si vous préférez la contraception hormonale, alors la pilule minidosée ou le stérilet hormonal sont considérés comme les alternatives les plus sûres.
Considéré comme étant un "spermicide naturel", le gel contraception s'utilise en complément du diaphragme et bloque les spermatozoïdes dans le vagin.
Pilule, préservatif, patch, anneau, stérilet, contraception hormonale ou mécanique... Les femmes bénéficient d'un large éventail de contraceptifs.
EXEMPLE DE CYCLE MENSTRUEL DE 28 JOURS : JOURS FÉCONDS
Les femmes qui souhaitent éviter une grossesse doivent s'abstenir de rapports sexuels non protégés pendant une période de 12 jours, à savoir du jour 8 au jour 19.
Le moyen de contraception le plus fiable serait en fait l'implant contraceptif (99,95% de protection, soit autant que le taux idéal), suivi du stérilet hormonal (99,8%, également autant que le taux idéal), et le stérilet en cuivre (99,2% contre 99,4% dans l'idéal).
La pilule reste la méthode la plus utilisée (36,5 %) (figure 1). Sa fré- quence maximale d'utilisation est enregistrée parmi les 15-19 ans (60,4 %) et les 20-24 ans (59,5 %).
Principaux faits. Une seule méthode contraceptive, les préservatifs, permet à la fois d'éviter une grossesse et la transmission des infections sexuellement transmissibles, dont le VIH.
Norlevo, ou son générique Levonorgestrel, doit être prise dans les 72 heures (3 jours) suivant les relations sexuelles, et EllaOne, ou son generique Ulipristal acétate, doit être prise dans les 120 heures (5 jours) suivant les relations sexuelles pour éviter une grossesse.
La contraception d'urgence (CU) permet de prévenir 95% des grossesses lorsqu'elle est prise dans les 5 jours suivant un rapport sexuel.
La stérilisation féminine ou ligature tubaire est une intervention chirurgicale pratiquée par un gynécologue ou un chirurgien. Elle consiste à empêcher la rencontre des spermatozoïdes et de l'ovule par différentes techniques permettant l'occlusion immédiate des trompes de Fallope.
"Certaines femmes ont de meilleurs orgasmes avec une vessie pleine", ajoute la gynécologue Sheryl Ross. Avant l'acte sexuel, elle conseille enfin aux femmes de boire un verre d'eau et ne pas se laver les parties intimes (afin de ne pas perturber l'équilibre de la muqueuse vaginale).
En effet, le rapport sexuel entraîne toujours une petite remontée de microbes dans l'urètre. Une fois présents, ces microbes ont tendance à remonter jusque dans la vessie, pouvant entraîner des infections urinaires récidivantes.
En conclusion, après ces différentes recherches, nous n'avons trouvé aucun article scientifique mentionnant la dangerosité de boire de l'eau après un rapport sexuel. Cet information est infondé scientifiquement.
Dans le journal The Nation, il suggère donc d'insérer une rondelle de citron - ou un coton imbibé de jus de citron fraîchement pressé - dans le vagin avant d'avoir des relations sexuelles.