les enfants victimes de maltraitances physiques (coups, gifles, etc.), psychologiques (humiliations, insultes, etc.) mais aussi ceux qui sont négligés par leurs parents (absence de soins médicaux, manque de nourriture, etc.).
Les principales raisons incluent les problèmes de santé, les conflits, la violence extrême, le mariage des enfants, les grossesses précoces, la malnutrition, la privation d'éducation et le travail des enfants.
Intoxications, brûlures, asphyxies... De simples jouets ou objets, à priori inoffensifs, peuvent provoquer l'accident. Si les normes en matière de fabrication et de distribution des jouets évoluent pour la sécurité des enfants, la vigilance des parents reste leur meilleure protection.
En raison de leur vulnérabilité, les enfants peuvent être victimes de maltraitance, de la pauvreté, de mauvaises conditions sanitaires et de travaux « inacceptables » ( enfants soldats, prostitution forcée, pornographie, travail forcé, trafics et activités illicite).
Parmi les nombreux facteurs qui interfèrent avec l'apprentissage, l'attention, la motivation et les émotions sont sans doute les plus importants. Cela justifie l'étude que nous allons en faire.
La protection de l'enfance vise à garantir la prise en compte des besoins fondamentaux de l'enfant, à soutenir son développement physique, affectif, intellectuel et social et à préserver sa sécurité, sa moralité et son éducation dans le respect de ses droits.
Le risque peut être latent (il n'est pas encore manifeste), apparent (il se manifeste) ou disparu (il ne peut plus se manifester).
Des exemples de dangers biologiques, chimiques et physiques sont présentés dans les encadrés ci-après. Ils peuvent être utilisés pour aider à l'identification des dangers potentiels.
une situation à risques est une situation qui dévie de son cours normal et qui peut conduire à la réalisation d'un accident. La « récupération » a pour objectif de limiter la gravité du risque.
On dit plus particulièrement qu'un(e) enfant est en risque de danger lorsqu'il ne bénéficie pas de réponses adaptées à ses besoins fondamentaux (carences éducatives, non-respect de son rythme de vie…).
Les neurosciences nous peignent un cerveau adolescent «en désordre»: les jeunes aimeraient se frotter au danger parce que leur cerveau pousserait un peu en vrac, avec notamment les zones cérébrales impliquées dans des tâches décisionnelles complexes qui seraient moins au point que celles dédiées aux systèmes de ...
Mettre tout le matériel à portée de main. Installer le bébé face à soi et toujours gardez une main sur lui. Sécurisez les ouvertures avec des bloque-fenêtres et des garde-corps. Pour mettre les ouvertures hors d'atteinte, éloignez tout meuble ou objet permettant de les atteindre.
Les troubles du comportement se divisent généralement en deux catégories : le trouble oppositionnel avec provocation et le trouble des conduites. Ils sont souvent associés à des antécédents familiaux de comportements difficiles, au stress familial et à une mauvaise gestion des émotions et des niveaux d'activité.
Le plus souvent, les comportements difficiles n'ont pas une cause unique, mais plusieurs, comme une relation éducative inadaptée, un tempérament anxieux ou irritable, des problèmes d'attachement, un retard de maturation cérébrale, un trouble ou un retard du langage. Ces causes peuvent en outre interagir entre elles.
Discutez avec votre enfant lorsqu'il vit des situations stressantes. Répondez à ses questions de manière simple, mais honnête. Se faire expliquer la situation dans des mots qu'il comprend le rassurera. Aidez votre enfant à affronter une situation stressante, en en parlant avec lui.
Exemples de dangers physiques : les fragments d'os, les poils ou les plumes de produits d'origine animale. les pierres, les roches, la saleté (souvent présents avec les fruits, les légumes et d'autres aliments qui poussent près du sol)
Les risques de la vie courante sont nombreux : malaise cardiaque, perte de connaissance, brûlure, hémorragie, chute, intoxication, fuite de gaz, etc. Chacun de ces accidents peut avoir de graves conséquences.
C'est un changement juridique d'importance qui marque le début du risque social. L'ensemble des événements suivants peuvent désormais être considérés comme des risques économiques et sociaux : maladie, maternité, invalidité, vieillesse, accident du travail, maladie professionnelle, décès, charges de famille et chômage.
Les risques sociaux sont aujourd'hui compris par les juristes comme « les événements aléatoires qui affectent la vie économique des individus en suscitant une diminution de leurs revenus ou en accroissant leurs dépenses, et qui constituent un désordre social auquel il convient de répondre » (Kessler, 2000, p. 11).
Le risque majeur est la possibilité d'un événement d'origine naturelle ou anthropique, dont les effets peuvent mettre en jeu un grand nombre de personnes, occasionner des dommages importants et dépasser les capacités de réaction de la société.
le droit d'avoir un nom, une nationalité, une identité le droit d'être soigné, protégé des maladies, d'avoir une alimentation suffisante et équilibrée. le droit d'aller à l'école. le droit d'être protégé de la violence, de la maltraitance et de toute forme d'abus et d'exploitation.