Le syndrome de Stockholm est un phénomène psychologique étrange qui peut se produire entre une victime et son bourreau. Certains otages ou victimes peuvent développer pendant leur captivité une certaine empathie, voire sympathie, à l'égard de leur geôlier.
Comprendre le syndrome de Stockholm. Ce phénomène psychologique observé chez les otages qui développent un sentiment d'empathie pour leur ravisseur, a été largement exploité au cinéma et mis en avant par les médias.
Le syndrome de Lima est l'inverse du syndrome de Stockholm. Dans ce cas, les preneurs d'otages ou les agresseurs font preuve d'empathie envers leurs victimes et deviennent réceptifs à leurs revendications et à leurs besoins.
Il désigne la propension des otages ayant partagé longtemps la vie de leur geôlier à sympathiser avec eux et à adopter leur point de vue. L'histoire du syndrome remonte à un hold-up dans une banque commis à Stockholm en 1973 par deux évadés de prison qui prennent en otage quatre employés.
Les symptômes du syndrome de Stockholm
La perte de son sens critique, la victime ne remet en cause aucun des actes de l'agresseur. Une empathie positive à l'égard de son ravisseur, la victime s'identifie à son agresseur. Un cautionnement des actes de l'agresseur d'un point de vue éthique et moral.
En psychanalyse, on parle de « syndrome d'hubris » lorsqu'une personne fait preuve de « narcissisme, d'arrogance, de prétention, d'égotisme, voire de manipulation, de mensonge et de mépris » en réaction à son pouvoir. Pire, son pouvoir lui confère un sentiment d'invulnérabilité et de toute-puissance.
Selon Rodolphe Oppenheimer, psychanalyste et psychothérapeute dans les Hauts-de-Seine, le syndrome de Stendhal est en effet caractérisé lorsque “le sujet développe alors une admiration sans borne pour l'œuvre d'art, et qu'une impression de 'sublime' finit par le déborder émotionnellement”.
Syndrome de l'infirmière : de quoi parle-t-on ? Le syndrome de l'infirmière concerne principalement les femmes. Celles qui en sont sujettes éprouvent le besoin inconscient d'aider inlassablement leur partenaire amoureux, en quelque sorte de le "sauver" de lui-même.
Le syndrome du sauveur prend racine dans une blessure narcissique. Bien que l'enfance soit un terreau propice aux blessures profondes de ce type, l'âge adulte n'en protège pas pour autant. Voici les principaux éléments déclencheurs : Le sentiment d'avoir été abandonné
Le syndrome de West se caractérise par la présence de spasmes épileptiques. Le corps du bébé se contracte alors de façon brutale, notamment au niveau des membres. Les contractions se font en flexion (le bébé se replie sur lui-même) ou en extension (le corps du bébé se tend comme s'il cherchait à s'étirer).
Le traitement repose essentiellement sur la corticothérapie. Les symptômes oculaires régressent le plus souvent, mais la surdité est exceptionnellement réversible. Divers immunosuppresseurs sont proposés en cas de cortico-résistance ou de cortico-dépendance.
Le trouble de la personnalité antisociale se définit par une incapacité à ressentir de l'empathie et plus précisément à percevoir et à comprendre les émotions des autres. Les personnes présentant ce trouble réagissent également de manière impulsive, sans se soucier des conséquences de leurs actions.
Une personne qui a de l'empathie est parfois appelée "empathe". Il s'agit d'une personne très sensible aux émotions des autres. Les personnes empathiques sont en effet capables de se mettre à la place des autres et de ressentir leurs besoins. Les empathes sont donc des individus dotés du don d'empathie.
L'empathie pour autrui a trois composantes : l'empathie émotionnelle (ou affective), l'empathie cognitive et l'empathie mature qui, lorsqu'elle est partagée avec autrui, devient réciproque.
Le baron de Münchhausen, blessé. Gravure de Gustave Doré. Le syndrome de Münchhausen, également appelé « pathomimie » ou « trouble factice », est un terme désignant une pathologie psychologique caractérisée par un besoin de simuler une maladie ou un traumatisme dans le but d'attirer l'attention ou la compassion.
Lorsqu'un sauveur ne parvient pas à trouver la reconnaissance autour de lui, lui permettant d'exister (à ses yeux), il ressent un fort sentiment d'inutilité pouvant le mener à des troubles sérieux : dépression, isolement, rancœur et déception envers les gens, voire haine de l'autre ou misanthropie.
Le syndrome de la queue de cheval se caractérise par une compression des racines des nerfs situés dans le bas du dos pouvant entraîner une perte de sensibilité des membres inférieurs. La maladie doit être traitée en urgence par une intervention neurochirurgicale.
Le syndrome de Peter Pan, kézako ? Concrètement, les personnes qui souffrent du syndrome de Peter Pan (aussi appelé complexe de Peter Pan) « refusent » de passer à l'âge adulte, comme le héros de leur enfance : l'engagement (qu'il soit sentimental, économique ou professionnel) les paralyse.
appeler le centre médico psychologique (CMP) du lieu de domicile, pour signaler la situation. si la situation est urgente ou risque de mettre le voisinage en danger (risque d'incendie ou insalubrité) il faut signaler la situation à la mairie.
Une pathologie rare qui touche l'os qui se situe à l'intérieur du pied, sous la cheville. C'est ce qu'on appelle dans le jargon médical "une ostéonécrose de l'os naviculaire". Dans les cas les plus graves, l'os peut se fragmenter, se désagréger. A ce moment-là, la douleur devient insupportable et le pied se déforme.
Le syndrome de Diogène serait lié à un traumatisme vécu au cours de la petite enfance. Après un long intervalle de vie, le processus de « diogénisation » peut se déclencher à l'occasion d'un événement difficile (séparation, deuil, changement de situation...).
Le syndrome de Williams se manifeste notamment par des malformations cardiaques, une hypercalcémie infantile2, un retard intellectuel léger à modéré, des caractéristiques physiques et comportementales, une hypersensibilité au bruit.