L'Alcock-rest est un coussin d'assise conçu spécialement pour soulager les douleurs de la névralgie pudendale. Sa décharge permet de soulager le canal d'Alcock au quotidien. Évidement complet du fondement du corps afin de décharger totalement le canal d'alcock, et donc le nerf pudendal.
Allongé sur le dos avec un coussin sous la tête, fléchir les genoux en gardant les pieds au sol. Inspirer profondément par le nez en gonflant le ventre au maximum. Bloquer la respiration pendant 3 secondes. Expirer lentement et à fond par la bouche en creusant le ventre.
Bien que les médicaments atténuent les douleurs et symptômes de la névralgie pudendale, ils n'agissent pas sur la cause du mal qui doit être traitée pour soulager véritablement le patient. Ensuite, des séances de kinésithérapie ou d'ostéopathie peuvent aider à décontracter le nerf pudendal.
Les médicaments qui soulagent dans la névralgie pudendale sont ceux que l'on donne dans les douleurs neuropathiques (anti-épileptiques et les anti-dépresseurs ainsi que certains relaxants musculaires et antalgiques de niveau 2), mais ils sont en général associés à de nombreux effets secondaires.
Activité sportive : c'est au patient d'évaluer les activités qui ne génèrent pas de douleur. Néanmoins, les sports violents et ceux qui sollicitent la zone pelvi-périnéale sont déconseillés. La pratique du cyclisme reste déconseillée même à distance de l'opération.
Pour chacune, après avoir repéré le tender point (TP), relâcher la pression du doigt et mobiliser le corps du patient jusqu'à la position de relâchement tissulaire optimal au niveau du TP. Maintenir la position 90 secondes et retester le TP. La douleur doit avoir diminué d'au moins 70%.
Le framboisier, aussi, est à consommer par exemple sous forme de tisane, c'est un anti-inflammatoire naturel qui va détendre toute cette partie basse du corps notamment, il est très intéressant dans la névralgie pudendale.
L'ostéopathie, un traitement de choix dans la diminution des douleurs de la névralgie pudendale. Les traitements médicamenteux apportant aujourd'hui peu d'efficacité dans la diminution des douleurs, l'ostéopathie comme la kinésithérapie semblent être les plus adaptées.
Causée par la compression d'un nerf, cette maladie très invalidante peut être soulagée par divers moyens, même si aucun n'est pleinement efficace. Des sensations de brûlures intenses entre les cuisses, de décharges électriques fulgurantes, de pincements profonds, d'étau, de torsions, de picotements, de tiraillements...
En outre, un un chirurgien spécialisé en chirurgie du rachis pourra être amené à intervenir. Dans ce cas, nous vous conseillons d'opter pour un centre spécialisé dans ce type de chirurgie. La cervicarthrose (ou arthrose cervicale) reste la cause la plus fréquente chez les patients.
La guérison peut être rapide, mais pas de faux espoirs, une majorité des névralgie pudendales est rarement complètement guérie en un ou deux mois.
La névralgie pudendale débute généralement entre l'âge de 50 et 70 ans et se manifeste par une douleur neuropathique d'intensité variable dans la région périnéale. La douleur est décrite comme une sensation de brûlure, intense, aiguë, et parfois comme un engourdissement.
Le chaud et le froid. L'alternance entre la chaleur et des compresses froides peut réduire le gonflement et l'inflammation du nerf. Combiner le chaud et le froid en changeant de compresse toutes les 15 minutes environ, augmente la circulation sanguine dans la zone en question, et diminue ainsi la douleur.
La névralgie pudendale reste encore mal comprise et/ou connue par certains professionnels de la santé. Ainsi, les patients vont enchainer spécialistes sur spécialistes en passant du médecin traitant au gynécologue, à l'urologue, au proctologue, au gastro-entérologue et au neurologue.
Les symptômes de la névralgie pudendale sont relativement identifiables. Les patients décrivent une sensation de brûlure intense, de pincements, ou de tiraillements dans la région périnéale. Ils ont le sentiment de recevoir une décharge électrique foudroyante.
Une infiltration test du nerf pudendal ou « block test » consiste à venir endormir le nerf pudendal à l'aide de produits anesthésiants et une aiguille à l'endroit précis où l'on sait qu'il est le plus fréquemment contraint par certaines structures anatomiques (pince ligamentaire au niveau du ligament sacro-épineux ou ...
Le traitement suivi chez cette patiente est de type médicamenteux, associant la venlafaxine à 37,5 mg par jour (antidépresseur de la classe des inhibiteurs du recaptage de la sérotonine et de la noradrénaline) et le clonazépam à 0,5 mg par jour.
Appelé "nerf honteux interne" selon l'ancienne nomenclature, le nerf pudendal longe l'artère honteuse interne pour assurer l'innervation des organes génitaux externes. Pour cela, le nerf pudendal passe par le bassin au travers de la grande échancrure sciatique où il est divisé en deux branches terminales.
L'acide niflumique est présent dans Niflugel, et l'ibuprofene est l'actif principal de Cliptol et des AdvilMed et AdvilGel. Ces pommades sont très efficaces pour apaiser la douleur, mais ils peuvent avoir des effets secondaires. Il est donc nécessaire de bien consulter la notice avant toute utilisation.
Un bain à l'eau tiède, les compresses chaudes et les bouillottes contribuent à apaiser les douleurs et spasmes musculaires et la raideur articulaire. Demandez au médecin de vous fournir des directives sur l'utilisation de la chaleur. N'appliquez pas de chaleur sur les nouvelles blessures ou plaies chirurgicales.
Pour calmer la nervosité et ses symptômes, il est recommandé de boire une infusion à base de plantes apaisantes, trois à quatre fois par jour. La valériane, la camomille, le tilleul, la passiflore ou encore le millepertuis sont des plantes aux multiples bienfaits reconnues pour soulager le stress.
Le nerf pudendal est l'un des nerfs principaux qui innerve le périnée, c'est-à-dire la zone intime entre le clitoris et l'anus chez la femme et entre le gland et l'anus chez l'homme.
La douleur neuropathique peut être perçue comme une sensation de brûlure ou de picotements, ou, parfois, comme une hypersensibilité au toucher ou au froid. L'hypersensibilité au toucher est appelée allodynie. Même un contact léger peut être douloureux. Parfois, la douleur neuropathique est profonde et intense.
Des contractures musculaires locales ou des dysfonctions articulaires du membre inférieur peuvent comprimer ou irriter le nerf sciatique localement sur son trajet. L'ostéopathe peut donc lever ces dysfonctions afin que le nerf ne soit plus comprimé, et soulager les douleurs.
"Tout dépend du point douloureux. S'il s'agit d'un point de tension musculaire, de contracture, il faut appuyer très fort. Ca fait mal, on frictionne le muscle dans le sens longitudinal et au bout d'un moment on sent un relâchement.