Le management délégatif permet également à la direction de détecter les meilleurs agents. Du côté des employés, cela les pousse à développer leur capacité à travailler avec davantage d'autonomie.
Si les managements autoritaire et délégatif ont leur utilité dans certains cas particuliers, la meilleure option consiste à adopter une forme de management participatif. Les managers participatifs misent sur la collaboration et sur les relations d'équipe.
Le management délégatif, parfois appelé management consultatif, offre beaucoup d'autonomie et de responsabilités aux salariés, consultés pour des avis et des prises de décision. Ils sont très impliqués dans la vie de l'entreprise, tout en ayant des objectifs à tenir.
Styles de management : directif, participatif, persuasif, délégatif.
Le management participatif (participative management en anglais) vise à améliorer le rendement des employés d'une entreprise, en les invitant à s'investir dans la vie entrepreneuriale ainsi que dans les prises de décisions. Ce type de management fonde sa doctrine sur un mode délégatif.
En France, la posture du manager participatif est devenue la plus populaire, considérée comme la plus pertinente. 45 % des managers pensent avoir un style de management « participatif », centré justement sur la confiance, les signes de reconnaissance et l'autonomie laissée aux collaborateurs.
Parmi les avantages du management directif, on trouve qu'il permet de donner une direction et un objectif clairs aux employés. Il est également possible de planifier l'organisation en créant des projets pertinents qui ont un impact sur l'efficacité de l'entreprise.
Le management persuasif est définit par une importante implication du manager au niveau relationnel et organisationnel. Le manager persuasif est à l'écoute de son équipe. Leader, il fait adhérer ses collaborateurs aux processus, en les convaincant des décisions et en les soutenant durant les différents projets.
Les quatre niveaux du management des compétences : individuel, collectif, stratégique et environnemental.
Il s'agit d'une démarche globale qui repose sur quatre grandes fonctions génériques : piloter (fixer des objectifs et contrôler), organiser, animer et diriger.
Ses principaux avantages : Il développe le bien-être au travail des salariés en leur donnant l'impression d'être écoutés, valorisés et reconnus. Il améliore donc leur implication, leur loyauté envers l'employeur, et réduit le turn-over.
Le Manager Transversal ou manager de transition est la tête pensante de l'entreprise. En effet, pour une société qui applique « un mode collaboratif », sa transversalité repose sur le fait de diriger des individus qui n'ont pas des besoins et des objectifs similaires.
Comment définir le management opérationnel ? Le management opérationnel concerne la gestion courante de l'entreprise. Il s'agit de l'ensemble des techniques centrées sur l'organisation des activités quotidiennes, avec des objectifs fixés à court et moyen terme.
Le management situationnel est un outil qui permet à tout manager de prendre du recul par rapport à ses pratiques de management, à être plus souple et plus en accord avec chaque membre de son équipe. Il donne des points de repère au manager pour développer l'autonomie des personnes dont il a la responsabilité.
Lorsqu'un individu en manque d'expérience se voit accordé davantage de pouvoir au sein d'une équipe, la solution de facilité réside souvent, pour lui, dans la mise en place d'un management autoritaire, car de cette manière, il s'assure que ses consignes seront appliquées.
LE MANAGEMENT PERSUASIF
Il leur accorde une plus grande confiance et participation, et prend le temps d'expliquer ses décisions. Le relationnel vient en faire un management plus souple. Ainsi, les collaborateurs se sentent considérés et impliqués, amenant à une cohésion de groupe.
Définition des nouveaux modes de management
De nombreux concepts se sont développés autour des nouvelles formes de management : intrapreneuriat, télétravail généralisé, entreprises libérées ou apprenantes, expérience de sociocratie et d'holacratie, équipes autonomes ou encore auto-organisation.
Le management autoritaire ou dit « paternaliste » a aujourd'hui des retombées négatives. Manager de manière stricte, c'est mettre en avant des règles et des limites. Les horaires doivent être intégrés, les deadlines respectées, le travail géré et rendu dans les temps.
La résistance passive. Comme pour tout type de gestion du personnel, le management participatif peut rencontrer une résistance passive de la part de collaborateurs peu ou pas du tout désireux de participer davantage dans le fonctionnement de l'entreprise.
Voici ce que vous pourriez dire : « En ce qui concerne ce qui me rend unique dans mon style de management, je fais aussi de mon mieux pour être sûr de savoir quand mon équipe a besoin d'aide. Je ne reste pas sans rien faire à simplement attendre qu'on me sollicite pour un projet.
Un bon manager est capable de transmettre des informations de la bonne manière. Il doit être capable de gérer sa propre susceptibilité, faire preuve d'assertivité et s'affirmer. Son potentiel relationnel est immense et cela est en général une caractéristique innée. Pour cela, le bon manager fait preuve d'écoute active.
Lorsqu'un interviewer vous demande votre style de travail, il essaie de d'évaluer dans quelle mesure vous vous intégrez dans la culture de leur entreprise. Donc, avant de répondre cette question, il est important de bien réfléchir à la nature de l'emploi auquel vous postulez.