Dans la première partie de la phrase, "si" est suivi d'un verbe conjugué à l'imparfait de l'indicatif. Dans ce cas, le verbe de la seconde partie de la phrase est conjugué au conditionnel. Et à la première personne du singulier, la terminaison est -ais, d'où "je ferais", que l'on prononce d'ailleurs [ferè].
On utilise la structure "Si + verbe à imparfait, verbe au conditionnel présent" pour exprimer une hypothèse. Exemple : Si j'avais une baguette magique, je changerais beaucoup de choses. Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait.
Pour peu que « si » soit suivi d'un plus-que-parfait, c'est le conditionnel passé qui est de rigueur : « S'il avait fait beau, je serais sorti. » Il convient, là encore, de ne pas oublier le « s » final, faute de quoi l'on se retrouverait… au futur antérieur !
D'après ce que je sais, Même si+ l'imparfait, on utilise la conditionnel présent dans la proposition principale. Même si+ plus que parfait, proposition principale :conditionnel passé.
Pour exprimer la condition ou l'hypothèse, il faut, selon le contexte, respecter les règles de concordance des temps suivantes. Si tu viens, je partirai. Si tu venais, je partirais. Si tu étais venu je serais parti.
À titre d'exemple, si, outre qu'il exprime une condition, peut aussi signifier chaque fois que,à l'instar de lorsque et quand, lorsqu'il y a une idée de répétition indéfinie. De même, le HANSE précise que lorsque peut avoir un sens conditionnel, celui de dans le cas où.
4. Si… que, encadrant un adjectif ou un adverbe, introduit une subordonnée concessive ; quelque… que : Si mal qu'il ait agi, il faut lui pardonner. (Avec un adjectif, on peut employer si… soit-il : Si aimable soit-il.)
Si est une conjonction de subordination qui introduit deux types de subordonnées.
Senior Member. Alors, on utilise après "sauf si" surtout le présent. "Il viendra sauf s'il est malade."
conditionnel
1. Mode du verbe qui sert à présenter l'action comme une éventualité ou comme la conséquence d'un fait supposé, d'une condition. (Le français possède un conditionnel présent [j'aimerais] et un conditionnel passé [j'aurais aimé] dont il existe une variante littéraire [j'eusse aimé].)
On écrit « je serai » lorsqu'il s'agit d'une action prévue ou programmée, qu'on est certain d'accomplir ou à laquelle on s'engage. « je serai », sans s final, correspond au verbe être conjugué au futur simple, à la première personne du singulier.
La règle est que lorsqu'on emploie la conjonction si, qui exprime déjà une condition, il est inutile de la doubler d'un verbe conjugué au conditionnel.
Si est suivi d'un verbe à l'imparfait pour exprimer la(les) condition(s) (ou probabilités) sans laquelle (lesquelles) un événement ou une action ne pourrait se réaliser, puis d'un verbe au conditonnel présent pour lequel les conditions énumérées précédemment sont nécessaires pour sa réalisation concrète.
Qu'est-ce-que cela signifie ? Tout simplement que la concordance des temps dans votre phrase n'est pas bonne. C'est un moyen mnémotechnique pour vous rappeler que dans une phrase de condition, après le « si » on emploie toujours le verbe à l'imparfait.
Le futur simple exprime une action à venir. Demain, j'irai au zoo. Elle verra ses grands-parents pendant les vacances. Le conditionnel présent exprime une hypothèse, un souhait ou une condition.
si : adverbe exprimant l'intensité ou la comparaison.
On peut le remplacer par tellement ou par aussi. Il n'est pas si grand que nous le pensions. Il n'est pas aussi grand que nous le pensions. Il est si grand pour son âge !
soit la condition, soit l'interrogation, soit l'intensité, soit, encore, une comparaison à la place de 'aussi '.
1° Comme mot-phrase, oui sert à approuver une phrase affirmative et si est utilisé pour nier une phrase négative. Exemples : Vous irez la voir.
Conjonction. Dans le cas où, à condition que, supposé que. Note d'usage : Conjonction qui introduit une condition (suivie d'une conséquence) ou une supposition qui peut être supprimée en utilisant un conditionnel. Si j'étais riche, je m'achèterais une maison.
Sinon / si non. Au sens de « autrement, sans quoi », sinon s'écrit toujours en un seul mot : il faut laisser sécher la colle, sinon la réparation ne sera pas solide ; obéis, sinon gare !
Locution adverbiale
Oui vraiment, aussi surprenant que cela paraisse.
Après la locution "bien que", le verbe est toujours au subjonctif.
Ellipse de 'si c'est possible'. S'emploie pour suggérer l'accomplissement futur et éventuel d'un fait ou d'une action, dans le cas où aucun élément contraire ne viendrait perturber son bon déroulement. Exemple : Pourriez-vous, si possible, m'indiquer mon chemin ?