Le string a connu ses premières heures de gloire dans les années 1980 mais son histoire date d'il y a bien plus longtemps.
Le shorty-string
Si vous n'êtes convaincue par aucune de ces pièces, une solution de la dernière chance s'offre à vous : Optez pour le shorty-string, il vous apportera le confort du shorty tout en dévoilant toujours plus vos atouts.
1 - Pourquoi porter un shorty menstruel ? Dans une démarche écologique et zéro déchet, le shorty menstruel vous permet de remplacer l'ensemble des protections jetables telles que les serviettes hygiéniques et tampons.
Comment choisir la taille d'un string ? Tout comme pour les autres modèles de culottes, la taille d'un string est à choisir en fonction de vos mensurations. Mesurez vos tours de taille et de bassin, et consultez les tableaux de tailles de la marque du string convoité.
Vous ne risquez pas de frottements ou d'irritations. Votre corps et vos parties respirent ce qui limite la prolifération des bactéries et limite les risques d'infections. Après une journée enfermé dans un slip, il n'y a rien de mieux que d'être libre.
On apprend ainsi que le cache-sexe, ou le pagne pour être plus élégant, est le précurseur du string. Ce petit bout de tissu, qui dissimulait les fesses et les parties génitales, était à l'origine porté uniquement par la gent masculine.
Le string se caractérise par une fine bande de tissu recouvrant les hanches et le haut des fesses. Généralement, la ceinture du string est assez large mais il existe une grande variété de modèles jouant sur la taille de la ceinture et les formes du tissu : string-ficelle, micro-string, shorty-string.
La différence entre ces deux modèles de bas de lingerie peut être ténue. Dans les deux cas, il s'agit de formes échancrées sur l'arrière. Le string classique a une partie assez couvrante à l'avant, mais très peu à l'arrière.
Contrairement aux idées reçues, le string ne serait pas responsable de l'apparition des hémorroïdes mais pourrait les aggraver en frottant sur les zones irritées. Les principales conséquences sur la santé sont donc des risques d'infection ou d'irritation.
Le string et ses risques
Ces sous-vêtements peuvent aussi aggraver des hémorroïdes déjà présentes, à cause des frottements qu'ils provoquent sur les zones intimes. Ainsi, le port du string n'est pas dangereux pour les personnes en bonne santé, mais il est déconseillé pour les femmes sensibles aux infections.
Et si on a soi-même l'impression de ne rien sentir de désagréable, car nous sommes naturellement plus sensible aux odeurs corporelles des autres qu'à nos propres odeurs : il y a bel et bien de la transpiration accumulée sur nos culottes, et ce, même durant les froides journées.
Irritations, mycoses, cystites... Votre culotte pourrait bien vous causer des ennuis si vous ne la retirez pas la nuit. Un infectiologue nous explique pourquoi il faut laisser respirer ses parties génitales.
C'est surtout le contact, l'obstruction due au vêtement qui est embêtante. La spécialiste précise qu'une culotte, notamment synthétique, fait augmenter la température de la vulve. Cela peut entraîner le développement de champignons, surtout si la femme est déjà sujette aux mycoses.
Néfaste pour la santé : circulation du sang et peau
Pour que la lymphe circule au mieux, il est donc conseillé de laisser sa poitrine libre pendant son sommeil. Le port d'un soutien-gorge jour et nuit peut aussi provoquer l'apparition de problèmes de peau, tels que des irritations ou des démangeaisons.
SOUTIEN-GORGE : EST-IL VRAIMENT NÉCESSAIRE LA NUIT? Concernant le port du soutien-gorge au lit, les médecins sont clairs : dormir avec un soutien-gorge n'est pas utile. La nuit, en effet, est l'occasion idéale pour laisser la poitrine respirer et permettre au sang de circuler librement entre les deux seins.
La chaleur des pieds ou des mains va "dilater les vaisseaux sanguins et permettre ainsi la perte de température. Si la chaussette n'est pas respirante, la température ne baissera pas", explique Alexandre Aranda. Et voici pourquoi il est plus difficile de s'endormir avec des pieds glacés.
Les écoulements génitaux chez l'homme sont le plus souvent dus à des infections sexuellement transmises (IST), contrairement aux écoulements ou aux pertes vaginales chez la femme. Le traitement est indispensable pour éviter les complications et la contamination des partenaires sexuels.
Certaines personnes peuvent toutefois se sentir plus à l'aise vis-à-vis de leur partenaire lorsqu'elles se sentent propres. Dans ce cas, une toilette intime très légère, avant un rapport est tout à fait possible : avec de l'eau et un soin lavant spécifique ou une lingette intime.
Etre vigilante sur la toilette particulièrement pendant les règles. Laver la vulve (jamais l'intérieur du vagin !) avec un savon gynécologique adapté à la toilette quotidienne ou avec le savon habituel s'il n'entraîne ni irritation ni sécheresse. Changer régulièrement vos protections pour éviter la macération.
Tanga et string seraient à proscrire durant la nuit, car ces sous-vêtements augmenteraient le risque d'infections vaginales et urinaires, selon un expert du centre de gynécologie de Manhattan aux Etats-Unis.
Les sécrétions vaginales peuvent avoir une odeur particulière après un rapport sexuel. Cela est dû à la coagulation du sperme au fond du vagin. Quand celui-ci coule et ressort du vagin, il dégage une odeur différente de l'odeur “normale” du vagin.
En revanche - que ce soit pendant les règles ou en dehors - si notre odeur devient très forte, proche du poisson avarié notamment, il s'agit sûrement d'une vaginose. Cette infection est causée par un déséquilibre du pH naturel de la flore qui permet à un mauvaise germe, le Gardnerella, de se développer.
La vaginose bactérienne.
Elle survient chez la femme qui utilise très souvent des produits antiseptiques pour sa toilette intime ce qui perturbe la flore vaginale et provoque des pertes vaginales purulentes présentant une odeur d'ail. Elle peut dans certains cas aboutir à la maladie inflammatoire pelvienne.
C'est normal, cela dure toute la vie, et il en est ainsi pour toutes les femmes. Ces pertes varient au fil du cycle et peuvent être transparentes par moments ou bien plus blanches ou même un peu jaunes. C'est tout à fait normal, et ça n'a rien à voir avec l'hymen.