Plus le degré est élevé, plus la boisson est concentrée en alcool pur. Une bière, un verre de whisky, un verre de vin ou encore une vodka/orange tels qu'on les sert dans les bars contiennent tous approximativement la même quantité d'alcool pur (environ 10 grammes soit 12,7 ml).
le saké, à partir de riz (le saké est ce qu'on peut appeler un "vin de riz") ; la frênette, à partir de feuilles de frêne ; le chouchen, ou hydromel, à partir de miel (l'une de seules boissons alcoolisées, avec le koumis obtenu à partir de lait de jument, à ne pas être élaborée à partir d'un produit végétal)...
Parmi les alcools les plus forts du monde vous trouverez l'Everclear, fabriqué aux Etats-Unis. Comme le Balkan, il est incolore, inodore, et n'as pas de goût ! C'est de l'alcool quasiment pur qui pourrait même être classé dangereux à s'en trouer l'estomac.
Le vin rouge permettrait donc un plus grand flux dans les artères et les vaisseaux sanguins sans en modifier les capacités coagulantes. Ces bienfaits ont aussi été observés chez les buveurs de bière et de vin blanc, mais dans une moindre mesure. Le whisky et l'eau n'ont provoqué aucune modification.
L'alcool doit être clair
J'ai nommé Vodka, Gin, et Saké. Plus un alcool est clair, moins il contient d'impuretés liées à la fermentation que notre corps a du mal à assimiler. Ces impuretés contribuent aussi à la sensation de nausée du lendemain.
Ces chercheurs se positionnent donc à contre-courant de la plupart des études qui démontrent un effet globalement néfaste de l'alcool sur les reins dû à une augmentation de la tension artérielle, facteur de risque de l'insuffisancerénale.
Conclusion : le whisky ne dilate - et encore très légèrement - les coronaires que chez la moitié des individus, quel que soit d'ailleurs leur état de santé.
Vous pouvez prendre de la cannelle avec du thé ou de l'eau. En général, la cannelle atténue l'obstruction des artères.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Lecture 1 min. Décidément, le vin rouge n'arrête pas de faire parler de lui. Après lui avoir prêté des vertus cardio-protectrices, cette boisson pourrait se révéler être un allié de choix contre les tumeurs.
L'eau, meilleure alliée de la détoxification des reins
Voici les habitudes que vous devez adopter : Boire suffisamment : La majorité des spécialistes s'accordent à dire qu'il faut boire entre 1 et 1,5 litre d'eau par jour. Ce qui correspond à un minimum de 6 à 8 verres d'eau quotidiens.
La bière est bonne pour les reins et le cœur.
Une étude finlandaise a démontré que la bière élimine les dépôts de calcium au niveau des reins et donc diminue le risque de calculs rénaux. En facilitant le transit elle permet aussi une élimination plus rapide des calculs.
La douleur chronique
L'alcool est connu pour ses effets analgésiques. 25 % des personnes qui souffrent de douleur chronique l'utilisent pour se soulager. Par exemple, cette situation semble notamment présente chez certaines personnes souffrant de douleurs au dos chroniques et complexes.
Zola, Verlaine, Van Gogh, Degas… Au XIXe siècle, l'absinthe était une muse, à la réputation sulfureuse, qui inspirait de nombreux artistes. À l'époque, on prêtait à ce spiritueux tous les maux, notamment celui de rendre fou.
Le vin, la bière et les spiritueux contribuent tous à un endormissement rapide (en termes plus techniques, ils "réduisent la latence d'endormissement") mais les experts sont unanimes: en buvant avant le coucher, on risque de se réveiller au milieu de la nuit et de dormir moins profondément.
A titre de comparaison, le vin rouge ne provoque de sentiment d'agressivité que chez 7,1% des personnes sondées, mais réveille aussi la fatigue chez 60% d'entre eux. La bière et le vin rouge aident également la moitié des participants à se détendre.
Boire de la bière à tous les jours, sur une longue période, est associé à un risque d'être atteint d'un cancer de la prostate agressif, selon une étude menée auprès de 3927 hommes du grand Montréal.
Au niveau du foie, la première conséquence de la consommation chronique d'alcool est la stéatose qui correspond à l'accumulation de graisses à l'intérieur des cellules du foie. L'accumulation de graisses dans le foie est réversible en réduisant la consommation d'alcool ou en arrêtant de boire.
La bière est bonne pour le cœur
La bière diminuerait le mauvais cholestérol et favoriserait le bon. Ce double effet plutôt bénéfique pour le cœur, peut contribuer à faire chuter le risque d'accident cardiovasculaire de 30 à 60 %. La bière modifie aussi la fibrinogène, une protéine responsable de la coagulation du sang.
Les causes majeures sont le diabète et l'hypertension artérielle. Le sang s'acidifie, une anémie se développe, les nerfs sont endommagés, les tissus osseux se détériorent et le risque d'athérosclérose augmente.
La pastèque
Elle contient plus de 90 % d'eau ce qui en fait un fruit très peu calorique. Riche en vitamines et en sels minéraux, la pastèque permet de prévenir certaines maladies touchant les voies urinaires comme la cystite. Elle aide aussi à renforcer les reins.
L'insuffisance rénale chronique est toujours la conséquence d'une maladie qui détériore progressivement le fonctionnement des reins. En France, les deux causes principales de l'insuffisance rénale chronique sont le diabète de type 1 comme le diabète de type 2 et l'hypertension artérielle.
La consommation de bière, et d'alcool en règle générale, diminue la libération d'ADH, l'hormone qui permet de conserver plus longtemps les liquides dans le corps afin que certaines de leurs substances bénéfiques pour l'organisme se libèrent, explique Gentside.