Le syndrome parkinsonien fait référence à des symptômes de la maladie de Parkinson (par exemple, des tremblements et des mouvements lents) causés par une autre maladie. Le syndrome parkinsonien est dû à des affections cérébrales, des lésions cérébrales et à certains médicaments et toxines.
La phase avancée de la maladie
Les signes axiaux (chutes, perte d'équilibre, troubles de déglutition etc.) deviennent très présents. Les troubles végétatifs peuvent aussi prendre une part très importante. Le comportement peut changer avec des difficultés intellectuelles (voir symptômes cognitifs).
La lévodopa (ou L-dopa) est transformée en dopamine dans le cerveau. Elle est le traitement de référence de la maladie de Parkinson, celui qui possède le meilleur rapport efficacité/effets indésirables.
Le diagnostic repose sur l'examen des symptômes présentés par le/la patient(e) et la prise en compte de son état général. Il n'existe aucun examen sanguin permettant de poser un diagnostic. Les examens d'imagerie (scanner, IRM du cerveau, scintigraphie cérébrale…)
Au nombre de ces syndromes, mentionnons l'atrophie multisystématisée (AMS), la paralysie supranucléaire progressive (PSP), la dégénérescence corticobasale (DCB) et la maladie à corps de Lewy.
Si le symptôme désigne un signe ressenti par un patient (fièvre, douleur, etc), un syndrome est l'ensemble de plusieurs symptômes pouvant évoquer la présence d'une maladie.
De nombreux facteurs liés au Parkinson contribuent à la perte de poids. Les mouvements involontaires (soit les tremblements) brûlent énormément d'énergie. Les symptômes de dépression sont présents dans la maladie de Parkinson et peuvent entraîner une diminution de l'appétit et une perte de poids.
L'IRM cérébrale est le meilleur examen pour le diagnostic différentiel entre maladie de Parkinson et syndrome parkinsonien « plus » ou atypiques. Le DATscan* permet de visualiser la dégénérescence dopaminergique mais pas de distinguer maladie de Parkinson et syndromes parkinsoniens « plus ».
La maladie de Parkinson fait-elle mal ? La douleur constitue une plainte fréquente dans la maladie de Parkinson (MP) quel que soit le stade de la maladie, parfois avant même que celle-ci ne soit diagnostiquée. En effet, la douleur représente le symptôme initial chez 15% des malades.
Le tremblement essentiel est une maladie neurologique fréquente qui se traduit par des tremblements incontrôlables lors des mouvements ou du maintien actif d'une posture. Mal connue du grand public, cette maladie peut provoquer un handicap social et une stigmatisation des personnes touchées.
La fatigue est un symptôme extrêmement fréquent chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson. Elle présente beaucoup de similitudes avec l'apathie, comme un manque d'énergie, d'intérêt et de motivation.
Les activités physiques les plus indiquées dans le cas de Parkinson sont finalement très nombreuses et vont de la marche nordique à la danse, en passant par le taï-chi, le Qi gong, le Shiatsu, la longe-côte, le vélo, l'aquagym…
le conjoint devra alors être vigilant et observer tout changement de comportement. Aussi, d'autres difficultés moins connues vont se poser au quotidien, et être particulièrement dures à vivre. « Les parkinsoniens peuvent avoir des envies impérieuses d'aller au petit coin.
L'âge moyen de décès est de 83,3 ans. La probabilité de survie à 5 ans est de 62% chez les hommes et de 68% chez les femmes. Plus de 90% des décès ont lieu après 70 ans. La mortalité des patients parkinsoniens reste plus élevée que celle de la population générale.
Les médicaments habituellement prescrits pour soulager partiellement le tremblement essentiel sont le propranolol (qui fait partie des bêtabloquants, des médicaments qui régularisent la tension artérielle et les battements cardiaques), des antiépileptiques (qui réduisent la sensibilité du cerveau aux stimulations), ou ...
Lorsque la maladie de Parkinson est avancée, des troubles moteurs peuvent apparaître : difficultés à la marche, perte de l'équilibre, chutes, problèmes de déglutition.
Plus de 50% des personnes ayant la maladie de Parkinson souffrent d'insomnie chronique. Il s'agit surtout de longues périodes de réveil la nuit (en moyenne, le tiers de la nuit) et de réveils trop matinaux.
Il n'est actuellement pas possible de guérir la maladie de Parkinson. Certains compléments alimentaires riches en dopamine peuvent également être vus comme un moyen d'éviter le traitement à base de dopamine.
Résultat : les scientifiques se sont aperçus que le trouble lié à la consommation d'alcool chez les hommes et les femmes était associé à un risque plus élevé de maladie d'Alzheimer et de Parkinson.
Les signes avant-coureurs de la maladie de Parkinson sont des signes fréquemment constatés et apparaissant avant les premiers symptômes typiques : la lenteur ou difficulté du mouvement, rigidité, et le tremblement.
« Certains aliments sont plus difficiles à déglutir que d'autres, prévient la diététicienne. C'est le cas par exemple de la semoule, du riz, du quinoa, des aliments à croûte comme le pain, les biscottes, la pâte feuilletée, le biscuit sablé, d'autres sont durs ou comportent une peau ce qui les rend peu adaptés. »
La prise de poids peut aussi être observée après une stimulation cérébrale profonde : la diminution des dyskinésies s'accompagne d'une baisse de la dépense énergétique. Ceci peut parfois générer une prise de poids si aucune modification des apports caloriques n'y est associée.
Il peut s'agir de problèmes de sommeil, d'hypersalivation, d'une somnolence excessive dans la journée, de fatigue, de douleurs, de constipation (qui touche 60 % des malades), de mictions urgentes, de dépression, d'hallucinations, de troubles cognitifs…