La dyscalculie est un trouble spécifique des apprentissages touchant la sphère de la numératie : comprendre, utiliser, interpréter ou communiquer à l'aide des nombres. La dyscalculie est un trouble qui peut se présenter de différentes façons parce qu'elle englobe diverses compétences.
La dyscalculie est un trouble spécifique du développement (tel que la dyslexie, la dyspraxie, la dysorthographie, la dysgraphie, etc. , parfois nommés troubles dys-).
illogique adj. Qui n'est pas conforme à la logique ; absurde.
Selon les études récentes sur le sujet, la dyscalculie serait d'origine biologique. Il s'agit d'un trouble neurodéveloppemental qui se manifeste par le mauvais fonctionnement de certaines régions du cerveau, dont le cortex pariétal. Cette partie est identifiée comme étant le « siège » de la conscience des nombres.
Ce trouble ne se guérit pas mais les symptômes peuvent être atténués par de la rééducation et des aménagements d'exercice. Il peut y avoir de nombreuses raisons pour qu'un enfant ait des difficultés en mathématiques, et il y a plusieurs tests neurologiques et de motricité à faire pour éliminer d'autres pathologies.
La dyscalculie, ou « difficulté à calculer », est un trouble spécifique du développement (tel que la dyslexie, dyspraxie…) qui correspond, donc, à un trouble dans les apprentissages numériques, sans atteinte organique ni troubles envahissants du développement et sans déficience mentale.
balourd, bête, borné, idiot, imbécile, inintelligent, obtus, sot, stupide.
Une personne dyscalculique souffre souvent également d'un autre trouble dys. Cela peut être la dyslexie, la dysortographie (trouble de l'écriture), la dyspraxie (touble développemental), la dysphasie (trouble du langage oral), ou même à un trouble de l'attention avec ou sans hyperactivté (TDAH).
omniscient, omnisciente
Littéraire. Qui sait tout ou paraît tout savoir.
Les enfants ayant une dyscalculie ont des difficultés sévères dans la production et/ou la compréhension des quantités, des symboles numériques, des opérations arithmétiques. Ils ont du mal à faire toutes les étapes d'une procédure de calcul, à savoir quelle opération employer après la lecture d'une situation problème.
Les personnes souffrant de dyscalculie peuvent confondre les nombres et les signes mathématiques, comme le symbole "+" ou "-", ce qui entrave leur bon usage. Lorsqu'on leur présente une addition écrite à l'horizontal, il est fréquent qu'ils aient des difficultés pour l'aligner verticalement, et inversement.
Un épistémophile : personne ayant une soif intarissable de connaissances et cherchant à accroitre son savoir dans tous les domaines.
Ces troubles sont une altération de la capacité à comprendre et à utiliser les nombres. Ils affectent “les aspects procéduraux et conceptuels” du calcul et du comptage ainsi que la mémorisation des faits numériques. Ils s'associent souvent à d'autres troubles spécifiques.
Comment appelle-t-on une personne qui ne peut pas (ou plus) parler ? Une muette, un muet (par incapacité permanente). Une personne aphone (par incapacité temporaire, une extinction de voix par exemple).
La dyslexie phonologique entraîne une confusion des sons et une difficulté à les assembler pour former des mots. On observe aussi un problème de transcription des lettres en sons. Cela rend difficile la lecture de mots nouveaux, et pousse l'enfant à favoriser la lecture globale.
La dyspraxie est une perturbation de la capacité à effectuer certains gestes et activités volontaires (nommé praxie). Ce trouble des apprentissages résulte d'un dysfonctionnement de la zone cérébrale qui commande la motricité. La dyspraxie est fréquente et touche 5 à 7 % des enfants de 5-11 ans.
Elle distingue une dyscalculie du traitement numérique, une dyscalculie des faits arithmétiques et une dyscalculie procédurale. La dyscalculie du traitement numérique renvoie à des difficultés du traitement des symboles numériques ou des mots comme dans la lecture, l'écriture ou la répétition de nombres.
Naïf, nigaud, simple, sot, godiche. Dénué de bon sens, d'intelligence. Qui est peu intelligent. Qui comprend difficilement.
Les personnes à " faible QI " sont celles qui ont un QI 1, 2 et 3 (QI 86 et moins). Il peut également être défini comme "QI inférieur de plus d'un écart-type à la moyenne". Habituellement, un QI de 60 est considéré comme le plus bas pour la survie indépendante et n'a pas besoin d'être gardé.
outrecuidant, outrecuidante
Qui se croit supérieur aux autres : Personnage outrecuidant. 2. Qui est impertinent, désinvolte : Réponse outrecuidante.
Apprendre de manière multisensorielle
Des moments d'apprentissage à travers la manipulation et les jeux peuvent être d'une grande aide pour les enfants dyscalculiques. Quelques exemples : Bâtonnets numériques, Attrimaths, Multicubes : 3 matériels pour travailler les bases mathématiques par la manipulation.
La dysorthographie est un trouble spécifique de l'apprentissage de l'orthographe. Ce trouble comme tous les troubles Dys est durable. Les personnes dysorthographiques n'assimilent pas correctement les règles orthographiques.