L'infini. La division par zéro donne l'infini. Cette convention a d'ailleurs été défendue par Louis Couturat dans son livre De l'infini mathématique. Cette convention est assez cohérente avec les règles de la droite réelle achevée, dans laquelle n'importe quel nombre, divisé par l'infini, donne 0.
Le plus simple serait de le définir comme tout ce qui n'est pas fini. Par exemple, les diviseurs de 12 sont en nombre fini (1, 2, 3, 4, 6 et 12), par contre ses multiples sont en nombre infini (12, 24, 36, …).
Il est impossible de prouver l'existence d'un ensemble infini sans la supposer. Plus exactement, il est possible de définir une théorie des ensembles parfaitement cohérente qui affirmerait que tous les ensembles seraient finis.
Définition : Limite à l'infini
Si les valeurs de 𝑓 ( 𝑥 ) s'approchent d'une valeur finie 𝐿 lorsque la valeur de 𝑥 tend vers l'infini, alors on dit que la limite de 𝑓 ( 𝑥 ) lorsque 𝑥 se rapproche de l'infini positif existe et est égale à 𝐿 et on note l i m → ∞ 𝑓 ( 𝑥 ) = 𝐿 .
Or, zéro n'a pas d'inverse puisque n'importe quel chiffre multiplié par zéro donne toujours zéro. Par conséquent, la division par zéro est impossible et aboutirait à des contresens mathématiques.
La division par zéro donne l'infini. Cette convention a d'ailleurs été défendue par Louis Couturat dans son livre De l'infini mathématique. Cette convention est assez cohérente avec les règles de la droite réelle achevée, dans laquelle n'importe quel nombre, divisé par l'infini, donne 0.
Un nombre entier est divisible par 5 si son chiffre des unités est 0 ou 5.
1. Sans limites dans le temps ou l'espace : La suite infinie des nombres. 2. Qui est d'une grandeur, d'une intensité si grande qu'on ne peut le mesurer : Il est resté absent un temps infini.
En analyse, on dit souvent qu'une suite de nombres, ou qu'une fonction, tend vers l'infini. Prenons la suite des nombres pairs : 2,4,6,8,10,... Les valeurs que la suite prend sont de plus en plus grandes, et finissent par dépasser n'importe quel nombre. En termes mathématiques, on dit que la suite tend vers l'infini.
Le symbole « +∞ » se lit « plus l'infini » et le symbole « −∞ » se lit « moins l'infini ».
Le symbole de l'infini a été utilisé pour la première fois par le mathématicien John Wallis, en 1655.
Hé bien d'abord, il porte un nom, le “symbole de l'infini”: c'est une lemniscate. Lemniscus est le mot latin signifiant ruban et vient lui-même du grec ancien (λημνισκος).
Il faut savoir que des mathématiciens sont allés encore plus loin. Ils ont nommé un nombre encore plus grand : le "Googolplex", c'est un 1 suivi d'un googol de zéros, un nombre si immense qu'il y a davantage de zéros dans l'écriture de ce nombre que d'atomes dans l'univers.
L'infini mathématique n'est pas un nombre, c'est un concept ou un symbole. Le concept sert à caractériser les ensembles "non finis" (qu'on ne peut dénombrer à l'aide d'un entier naturel), le symbole à étudier, par exemple, des comportements asymptotiques (limites).
Les nombres sont infinis parce qu'il y a pas de limite imposée à leur croissance. Le concept de nombre est abstrait. Il existe par convention entre nous seulement. Comme l'est l'ensemble des mathématiques.
Mais en gros c'est l'idée. Si on ajoute un infini positif, à un infini positif, alors la réponse est un infini positif. Si on rajoute un infini positif, à un infini négatif, alors la réponse est indéterminée, et il faut voir au cas par cas.
Calculer les limites à l'infini. On peut déterminer les limites d'une fonction à l'infini par le calcul. Calculer ces limites, c'est tout simplement étudier les valeurs de lorsque que l'on donne à des valeurs positives et très grandes en valeur absolue ou des valeurs négatives et très grandes en valeur absolue.
Selon les hypothèses les plus courantes, le symbole de l'infini aurait été créé par le mathématicien John Wallis en 1655 pour représenter un nombre qui ne se termine jamais. Le mot infini vient du latin « infinitas » qui signifie « sans frontière ».
L'infini n'étant pas un nombre, il n'appartient pas à R. On peut montrer que pour tout nombre appartenant à R, il y a un nombre plus grand (il suffit par exemple d'additionner 1).
Le cœur infini est un symbole populaire pour certains individus afin de représenter la polyamorie. Le symbole de la polyamorie est un cœur rouge traversé par le symbole bleu de l'infini, ce qui signifie que l'amour est sans limite et ouvert.
Remarque : • Le nombre 1 divise tout entier naturel. Tout entier naturel est diviseur de lui-même. Le nombre 0 ne divise aucun entier naturel différent de 0. Le nombre 0 est multiple de tous les entiers naturels.
Remarque : Le nombre 1 n'est pas premier car il n'a qu'un seul diviseur.
Par exemple, un nombre est divisible par 2 si son chiffre des unités est 0, 2, 4, 6, ou 8.
Valeur de 0!
0! = 1. puisque par convention, le produit vide est égal à l'élément neutre de la multiplication. Cette convention est pratique ici car elle permet à des formules de dénombrement obtenues en analyse combinatoire d'être encore valides pour des tailles nulles.
Le zéro est alors appelé sunya ce qui signifie le vide. Au XIIe siècle, le mathématicien indien Bhaskara parvient à établir que 1/0 = l'infini. Il démontre ainsi, la relation qui existe entre le vide et l'infini.