“Le bonheur est un rêve d'enfant réalisé dans l'âge adulte.” “Au fond, personne ne croit à sa propre mort, et dans son inconscient, chacun est persuadé de son immortalité.” “Nous ne savons renoncer à rien.
L'inconscience, c'est la mort. Entre les deux, c'est la souffrance. Tout ce qui ne vient pas à la conscience... Ce qu'on ne veut pas savoir de soi-même...
L'inconscient chez Freud devient un substantif. Il désigne une partie de nous-mêmes, ou plus exactement une zone de notre esprit où sont stockés une foule de souvenirs, de fantasmes, de désirs inavouables, que nous ne pouvons pas atteindre car une résistance en nous s'y oppose.
Cet inconscient freudien se caractérise donc d'abord par le refoulement mais aussi par le retour du refoulé. Par cette expression, Freud désigne cette poussée des pensées, fantasmes et autres représentations des pulsions cherchant à se faire connaître et reconnaître par la conscience.
“L'éducation est l'art de faire passer le conscient dans l'inconscient. ” “La croissance de la personnalité se fait à partir de l'inconscient.” “L'inconscient, c'est le discours de l'autre.” “Un intellectuel inconscient ou démissionnaire n'est plus qu'un pauvre type.”
L'inconscient est une méprise sur le Moi, c'est une idolâtrie du corps. Le hasard serait la forme de manifestation de la nécessité extérieure qui se fraie un chemin dans l'inconscient humain. La force modelante, c'est le mariage des inconscients parentaux, bien plus forts que les heures d'interactions réelles.
Les critiques adressées au concept d'inconscient sont nombreuses : Karl Popper reproche ainsi à la théorie de Freud de ne pas être scientifique, tandis qu'Alain et Jean-Paul Sartre lui reprochent de ne pas être morale.
Sigmund Freud est connu comme le père de la psychanalyse. Dans sa théorie, Freud croit fermement que chaque personnalité est influencée par l'inconscient. La théorie de la personnalité de Freud est également importante parce qu'elle est à la base de sa théorie des mécanismes de défense de l'ego.
Freud considère que l'inconscient est également psychique et peut avoir pour conséquence certaines névroses. Freud fait naître et théorise la psychanalyse, dont le but est de décrypter l'inconscient pour tenter de comprendre et de guérir les maladies psychiques.
Le mot apparaît sous la plume de Freud en 1886, dans une lettre à Fliess. C'est à cette époque qu'il élabore sa première « topique » (description de l'appareil psychique) en trois instances : le conscient, le préconscient et l'inconscient. L'inconscient devient, en 1900, le pivot de l'interprétation des rêves.
L'inconscient est un peu comme un disque dur auquel nous n'avons pas accès directement (consciemment), il s'exprime lors de nos rêves, de nos fantasmes ou de nos peurs. Il est dirigé par nos croyances. L'inconscient est très puissant et il prendra toujours le dessus sur le conscient.
Le Ça, le siège des désirs et des pulsions refoulées, est guidé par le principe du plaisir. Le Moi, qui est le médiateur entre les deux autres instances, est guidé par le principe de Réalité. Le Surmoi, qui représente la conscience morale et l'intériorisation des interdits de l'enfance, agit comme le juge censeur.
“Autrui joue toujours dans la vie de l'individu le rôle d'un modèle, d'un objet, d'un associé ou d'un adversaire. ”
Pour Freud, l'Inconscient désigne tous les désirs que l'individu refoule car ces derniers provoquent chez lui un malaise d'ordre moral. Freud considère que l'être humain a une conscience et un inconscient.
Pour l'inconscient, Freud parle des processus primaires, par opposition aux processus secondaires. Les processus primaires caractérisent une pensée qui fait s'équivaloir des représentations d'une part parce qu'elles sont contiguës (en quelque lieu que ce soit, une proposition aussi bien qu'une situation concrète).
En termes simples, la théorie de Sigmund Freud suggère que le comportement humain est influencé par des souvenirs, des pensées et des pulsions inconscients. Cette théorie propose également que le psychisme comporte trois aspects : le ça, le moi et le surmoi.
La petite Alice est d'ores et déjà, grâce à son QI de 162, plus intelligente que Napoléon Bonaparte (145) et Sigmund Freud (156).
Freud a fusionné l'idée d'inconscient, en vogue à l'époque, avec celle de névrose sexuelle.
Ludwig Wittgenstein a lui aussi été un contradicteur des œuvres psychanalytiques, tout en reconnaissant leur importance Il considère la psychanalyse comme mythologique, et encore comme d'« excellentes images ». Fondamentalement il s'oppose à Freud sur le plan de ce que signifie pour Freud le déterminisme.
Les états inconscients peuvent être envisagés comme l'une des raisons de l'inadéquation de la connaissance que nous pouvons avoir de notre propre esprit. Prendre connaissance de ce que sont ces états ne m'apporte rien quant à la connaissance que j'ai d'être ce que je suis en tant que chose pensante.
Les mécanismes inconscients contrôlent la plupart de nos comportements, nos choix, nos émotions, nos décisions, comme le montrent de nombreuses expériences de psychologie. La conscience ne serait que la partie émergée de l'iceberg des processus cognitifs.
Elle est nécessaire, parce que les données de la conscience sont extrêmement lacunaires a ; aussi bien chez l'homme sain que chez le malade, il se produit fréquemment des actes psychiques qui, pour être expliqués, présupposent d'autres actes qui, eux, ne bénéficient pas du témoignage de la conscience.
Transe hypnotique, méditation de pleine conscience, mouvements oculaires… Ces techniques offrent de nouvelles voies vers l'inconscient. Et ça marche. En nous influençant à notre insu, notre inconscient pèse parfois sur nos vies.
Selon Freud, l'inconscient se manifeste lorsque notre conscience ne peut plus le refouler : c'est le cas pour les rêves puisqu'on dort et lors des lapsus, quand la conscience se relâche momentanément.