Normalement, on remplace l'article indéfini pluriel DES par l'article DE quand il est placé devant un adjectif.
Pour exprimer une quantité qu'on ne peut pas compter, on utilise les articles partitifs : Masculin : du > du pain, du fromage, du vin. Féminin : de la > de la crème, de la limonade, de la sauce. Pluriel : des > des escargots, des haricots, des biscuits.
Des est un article indéfini, au masculin, pluriel. On peut le remplacer par nos ou les. Sur est une préposition qui signifie « au-dessus de ». Sûr est un adjectif qualificatif synonyme de certain.
1. Marque le point de départ dans le temps ; depuis, à partir de : Vous partirez dès demain.
L'article pluriel des devient de ou d' avec un verbe à la forme négative ou lorsque le nom qu'il détermine est précédé d'un adjectif qualificatif : Je n'ai pas acheté de prunes ni d'abricots.
J'ai besoin de couvertures (= blankets). On utilise “de” quand le nom indéfini est précédé d'un adjectif: Il y a de magnifiques fleurs dans le jardin du chateau. Mais attention: Quand l'adjectif est situé après le nom, on utilise “des”.
Des devant un adjectif antéposé
Lorsqu'il se trouve devant un nom précédé d'un adjectif, le déterminant indéfini pluriel des est généralement réduit à de (ou d'). C'est du moins l'usage à l'écrit et en langue parlée soignée. Comme tu as de jolis cheveux!
3. L'article DE remplace DES quand il y a un adjectif devant le nom. Il y a un second cas dans lequel DE remplace DES, de façon optionnelle. Lorsque qu'il y a un adjectif qualificatif entre DES et le nom, DE peut remplacer DES.
1. Petit cube utilisé dans divers jeux et portant sur chacune de ses six faces soit des points depuis un jusqu'à six, soit des lettres ou des figures. 2. Petit cube d'une matière quelconque et, en particulier, d'un aliment : Couper le fromage en dés.
Article qui correspond à la contraction de "de" et "les". Exemple : Le chant des oiseaux.
déterminant : il introduit le nom et indique le genre (masculin/féminin) et le nombre (singulier/pluriel) du nom. Parmi les déterminants, on distingue : - les articles indéfinis Ex : un/une/des ...
De est une préposition. Employée avec l'article le, elle devient du. Lorsque la est suivi d'un nom, c'est un déterminant.
"De" est effectivement une préposition mais "des" est un article indéfini (un, une, des).
de, le verbe s'accorde soit avec le complément, soit avec trop en fonction du sens : Trop de routes sont dangereuses. (Ce sont les routes qui sont dangereuses : trop de est ici déterminant du nom routes.)
Le mot des devient d' lorsqu'il est suivi d'un mot commençant par une voyelle ou par un h muet et qu'il participe à la construction d'une phrase de forme négative. Elle a des amis devient elle n'a pas d'amis.
On compte trois types d'articles en français: les articles définis (LE, LA, LES), les articles indéfinis (UN, UNE, DES) et les articles partitifs (DU, DE LA, DES). Il y a aussi un cas spécial: les articles contractés, qui naissent de la contraction d'un article défini et de la préposition À ou DE (AU, AUX, DU, DES).
« Parfois » et non « des fois »
« Des fois » est une locution adverbiale appartenant au registre familier. C'est un faux adverbe de temps. A l'oral, on l'utilise, à tort, pour remplacer un vrai adverbe de temps : « parfois ». Exemple : « Des fois, il neige jusqu'en mai… »
Dès maintenant. À partir de maintenant. ➙ désormais.
Des dés à jouer.
Ici, « des » est un article partitif car le nom « vacances » avec ce sens est toujours au pluriel. Comme on l'a vu pour les articles indéfinis (un, une, des), les articles partitifs (du, de la, des) se transforment en « de » avec une négation absolue. (un, une, des). J'ai de la chance.
Ne employé dans une subordonnée
L'adverbe ne est employé seul dans les subordonnées au subjonctif. Par exemple, le verbe dire dans Je doute qu'il dise la vérité est au subjonctif. Fermer l'infobulle qui dépendent d'une phrase à la forme négative. Il n'est pas de vérité qui ne soit bonne à dire.
La phrase négative dit le contraire de la phrase positive. On met une phrase à la forme négative en encadrant le verbe par : ne… pas , ne… plus, ne… jamais, etc. Attention à ne pas oublier le ne (ou n') devant le verbe, à l'écrit comme à l'oral !
« À » condamné
Selon les règles du bon usage, seule la préposition « de » marque l'appartenance. Le fait d'employer « à » dans le même sens est vivement critiqué. La tournure ainsi formée est considérée comme étant très familière, voire grossière.
Le participe passé du verbe « (se) dire » est « dit, dite ». « se dire (que ou de)» signifie « se faire part d'une réflexion », « penser », « avoir une idée » : le pronom personnel est complément d'objet indirect (à soi-même). Le participe passé ne s'accorde pas, que le sujet soit féminin ou masculin.
L'erreur à éviter
Il reste à ne pas confondre ces différents mots qui se prononcent de la même façon. Quand dit est employé avec l'auxiliaire avoir , il faut lui mettre un t et éviter d'écrire tu as dis .