Le déterminant « la » s'écrit sans accent et se place toujours devant un nom. Le pronom complément « la » s'écrit sans accent et se place devant un verbe. L'adverbe « là » indique un lieu et s'écrit avec un accent. Il peut être remplacé par « ici ».
Il faut écrire : Cet article, elle l'a commandé en trois exemplaires. Direz-vous plutôt « Cet article, elle les commandé » ou « Cet article, elle l'avait commandé » ? La deuxième solution (« l'avait ») est la bonne. On n'écrit donc pas « la », mais « l'a ».
Il ne faut pas confondre la, l'a, l'as et là. - On écrit l'a et l'as quand il s'agit du pronom personnel COD suivi du verbe avoir. Tu peux remplacer par l'avais ou l'avait. Ex. : Cette chemise, l'as-tu repassée pour ton récital de piano ? (l'avais-tu repassée…)
2) Le mot 'là' s'écrit avec un accent grave lorsqu'il indique un lieu ; c'est alors un mot invariable (adverbe de lieu). Exemple : C'est là que se trouve ma maison. On peut le remplacer par 'ici' : C'est ici que se trouve ma maison. 'Là' avec accent peut aussi servir à désigner une personne ou une chose précise.
Exemple de noms masculins : le chien, le canapé, le soleil. Exemple de noms féminins : la fleur, la rivière, la terre. Il faut utiliser les articles « le, un » pour les noms masculins, et « la, une » pour les noms féminins.
L'article et le pronom la
La s'écrit sans accent quand il s'agit de l'article féminin (il se place avant le nom qu'il détermine) ou du pronom féminin (il remplace un nom féminin). Nous en reparlerons à la prochaine réunion.
Les mers, sont quant à elles moins vastes et généralement moins profondes. Elles se trouvent toujour à l'intérieur d'un continent, tandis que l'océan lui, entoure un continent. Il existe trois types de mers : Les mers totalement fermées comme la mer Caspienne et la mer Morte ressemblent à de grands lacs salés.
Les e qu'on peut ne pas prononcer, qu'on appelle e muets, ne sont jamais accentués, comme dans petit, demi, remis. Pour savoir où accentuer un e qu'on prononce [e] ou [ɛ], il faut découper le mot en syllabes. La règle est la suivante. Si le e n'est pas la dernière lettre de la syllabe, alors il ne faut pas d'accent.
"L'as" et "L'a" ont un lien. Il s'agit d'un pronom personnel accompagné du verbe avoir à la deuxième personne du singulier ("l'as") ou à la 3e personne du singulier ("l'a"). "Là" est un adverbe qui indique un lieu ou un endroit précis. Il peut également indiquer un moment ou un temps.
Sur la voyelle a
L'accent grave modifie la prononciation du a dans certains cas. Dans d'autres cas, il sert à distinguer des homonymes. Les différences phonétiques peuvent être plus ou moins marquées selon les différents dialectes du français. Même prononciation : çà, deçà, delà, déjà, holà, voilà.
On écrit avec un trait d'union : là-bas, là-dedans, là-dessous, là-dessus, là-haut, jusque-là, de-ci de-là (ou de-ci, de-là), par-ci par-là (ou par-ci, par-là). On écrit sans trait d'union : là contre, là même, là où, ça et là, de là, d'ici là, par là, par là même.
« Je la voie ! » « Il serait utile que je vois si tu as bien fait ton travail. » 4.
Adverbe de lieu (plus rarement de temps) marquant le lieu où se trouve le locuteur ou un lieu plus ou moins éloigné de lui.
L'accent tonique en français est toujours placé sur la dernière voyelle à la fin d'un groupe de mots. Souvent, on allonge même légèrement cette voyelle. Prononcez à haute voix -> Pour faire des crêpes, tu prends une poêle, tu verses la pâte, tu laisses chauffer et puis voilà, la crêpe est prête !
Comme nous pouvons remplacer le déterminant démonstratif par « le », l'orthographe acceptée est « ce soir ».
«Coucou, je suis là!» veut dire: me voici, j'existe. Au contraire, «Je ne suis pas là pour me faire engueuler» proteste contre une présence indésirable. C'est ce que l'on appelle la valeur «existentielle» de là.
ON est un pronom (im)personnel qui s'utilise comme il ou nous. On peut le remplacer par il. ONT est l'auxiliaire avoir conjugué au présent, on peut le remplacer par "avaient".
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination.
L'emploi du tréma commence, de manière très flottante et assez rarement, dans les langues occidentales à partir du XII e siècle dans des manuscrits en anglo-normand. Il se trace comme un double accent aigu (redoublement d'un apex).
Au XIXe siècle, une des premières études menées sur les pratiques du français conclut aussi que la langue parlée à Tours peut être considérée comme le français de référence.
Les voyelles mi-fermées sont [e] (é) comme dans thé, [ø] (eu) comme dans feu, [o] (o fermé) comme dans peau et [ẽ] (in) comme dans pain. La bouche est légèrement plus ouverte que dans le cas des voyelles fermées et la langue occupe une position intermédiaire.
Les mers n'ont pas le même goût que les lacs
Cela se produit aussi bien dans les lacs que dans la mer. La grande différence est que l'eau du lac continue à s'écouler en aval (en direction de la mer), alors que l'eau de la mer ne s'écoule pas plus loin – la mer est le terminus pour l'eau sous sa forme liquide.
Elle fait de la mer Caspienne un espace qui n'est ni une mer (puisque le droit de Montego ne s'y applique pas totalement), ni un lac car pour l'exploitation du sous-sol des pays riverains ne gèreront pas la mer en commun mais se découperont des zones d'exploitation.
En cas de forte concentration de boue, d'algues ou d'autres impuretés, la dispersion change et le bleu disparaît. La mer paraît bleue parce que l'eau absorbe les rouges, les oranges et les jaunes (grandes longueurs d'onde), laissant apparaître les bleus (petites longueurs d'onde).
On distingue traditionnellement neuf classes de mots : le nom, l'adjectif, le verbe, l'adverbe, le déter- minant, le pronom, la préposition, la conjonction et l'interjection. Il existe différentes façons de classer ces mots. Le plus souvent, la grammaire scolaire distingue les mots variables des mots invariables.