Une croix : simple symbole ; Un crucifix : une croix avec une statue de Jésus cloué ; Un calvaire : une croix ou un crucifix et les deux croix des Larrons ; La 14e et dernière station (elles étaient 15 avant le XVII e siècle, mais le tombeau, vide, en est exclu) d'un Chemin de croix, la Passion du Christ.
Étymologie de « calvaire »
Calvaria, lieu où Jésus-Christ fut crucifié, ainsi dit parce que, les condamnés y étant exécutés et leurs corps y restant, il était garni de crânes, en latin calvaria, lequel vient de calvus, chauve (voy. ce mot), à cause de la dénudation de la boîte osseuse.
Les calvaires, dont le nom signifie crâne en araméen, sont eux, beaucoup plus religieux.
Le mot “calvaire” vient du latin “calvarium", traduction de l'araméen “Golgotha”, voulant dire : Lieu du crâne. Croix ou calvaires ? On peut s'y méprendre. Sur les routes de nos campagnes, elles sont nombreuses à se dresser sur les carrefours et chemins.
Le calvaire est alors un bien vacant, que l'on qualifie en droit de res nullius (s'il n'a jamais appartenu à personne) ou de res derelictae (s'il a été abandonné). Dans ce cas, le calvaire est réputé appartenir à la commune sur le territoire de laquelle il est implanté [1].
Autre méthode, moins connue : les coquilles d'huître. Composées de calcaire, elles s'en imprègnent pour se constituer, agissant comme une éponge. En plaçant une coquille, bien nettoyée au préalable, dans une bouilloire, une cafetière ou un lave-vaisselle, on obtient un résultat bluffant !
Le Golgotha ou mont du Calvaire est une ancienne colline de Jérusalem où Jésus de Nazareth fut crucifié selon les évangiles.
En bordure des chemins et principalement aux croisements, se trouvent des croix de direction. Très répandues au Moyen Âge pour christianiser les lieux, elles guident et protègent le voyageur sur les chemins de pèlerinage.
Fonctions de ces croix
Certaines servent de pauses pendant des processions ou des rogations où le curé en tête, muni en plus d'une croix processionnelle, s'arrête bénir les prés et les champs, appelant de bonnes récoltes.
Elles sont dues à la volonté publique des communautés ou celle privée des familles. Les premières agrémentent les bourgs et les hameaux et symbolisent l'acte de foi de la communauté. On les rencontre souvent aux carrefours, elles guident le voyageur et le protègent de l'inconnu et des mauvaises rencontres.
Les croix sur les montagnes s'apparentent aux autres points de repères religieux dans le paysage : chemins de croix, chapelles et oratoires, grottes.
La croix celtique ou croix nimbée est une croix dans laquelle s'inscrit un anneau. Elle est le symbole caractéristique du christianisme celtique. Les branches de la croix dépassent toujours de l'anneau, et sur les représentations les plus détaillées, le cercle est en retrait par rapport à la croix.
Les grands calvaires, appelés communément calvaires monumentaux, sont des œuvres que l'on rencontre seulement en Bretagne. Construits entre les années 1450 et 1610, ils sont les témoins de la prospérité d'un territoire alliée à la ferveur religieuse de la population.
Le calvaire de Saint-Thégonnec fait partie des sept calvaires bretons dits «Monumentaux».
CONSÉCRATION, subst. fém. A. − Action de consacrer par certains rites à la Divinité, à une divinité, un lieu culturel ou non, un objet, une personne.
Ces « lieux de culte » quadrillaient le territoire et étaient un rappel pour les populations. Ils étaient aussi une façon d'attirer les bonnes grâces des dieux et divinités ou pour conjurer le mauvais sort.
pour bénir ou conjurer le diable. Il paraît que cela garantissait d'avoir toujours du (bon) pain, aliment de base. Ici, autrefois, chacun se gardait bien d'offrir aux invités le quignon dans lequel le diable aurait pu se réfugier et on ne posait jamais le pain à l'envers sur une table.
Chaussée, accotements et éventuellement talus ou fossés constituent l'assiette de la route.
Crucifix est un terme issu du latin ecclésiastique du XII e siècle crucifixus, participe passé du verbe crucifigere, qui signifie « fixer sur une croix ». Un crucifix est donc une croix supportant une statuette de Jésus-Christ dans la posture de la crucifixion.
Dans l'Église catholique la croix latine est aussi utilisée comme base du crucifix qui représente le supplicié sur la croix. La croix est portée en procession lors des pèlerinages, des rassemblements et des cérémonies religieuses. Dans l'Église orthodoxe c'est la croix grecque qui est la plus représentée.
Description. En 1965, Paul VI utilise pour la première fois une nouvelle férule, créée par l'orfèvre Lello Scorzelli. Ce bâton liturgique a pour particularité de représenter un crucifix, et non une simple croix, sans crucifix, comme le sont traditionnellement toutes les autres férules papales.
Rendez-vous du 28 au 30 juillet 2023 à Saint-Thégonnec Loc-Eguiner ! Le calvaire sera illuminé à partir de 22h30 tous les soirs et le spectacle sera diffusé en boucle jusqu'à 0h30 (durée 15 minutes environ). Dans les traces des illuminations précédentes, c'est un programme riche qui vous attend pendant ces 3 jours.
Le Golgotha ou Calvaire, nommé aussi « lieu du crâne », est une colline située dans l'Antiquité à l'extérieur de Jérusalem, sur laquelle les Romains attachaient les condamnés à mort sur une croix en forme de T. Il est connu pour être le lieu où Jésus a été crucifié, d'après les évangiles.
Utiliser une brosse à chiendent, la brosse métallique qui raye la pierre est à proscrire, ne pas utiliser d'agents chimiques agressifs, un simple nettoyage à l'eau avec savon liquide (genre savon à vaisselle) si nécessaire. L'eau sous pression désagrège la pierre.