Dans cette liste des diplômes les plus difficiles au monde est l'architecture, suivre des cours d'architecture n'est pas aussi simple qu'il y paraît, même si vous choisissez de étudier l'architecture en ligne dans un pays comme l'Allemagne où l'éducation est de premier ordre.
Ne laissons plus de place au suspens : ce sont les écoles d'architecture qui sont les plus difficiles à intégrer en France, avec 32 % de chance d'être admis.
Parmi le panel des disciplines présentes au lycée, la Physique-Chimie est souvent jugée comme l'une des plus exigeantes.
Ayant la réputation d'être l'examen le plus difficile au monde, le "gaokao" ne permettra qu'aux élèves avec un score très élevé de rejoindre les universités les plus prestigieuses, dans un pays où la concurrence est rude dans l'éducation.
Le doctorat est le diplôme universitaire le plus élevé ! Alors que la grande majorité des étudiants s'arrêtent après un Master une minorité d'étudiants préfèrent continuer leurs études pour s'orienter vers la recherche ou l'enseignement.
Médecine. Parmi les filières universitaires les plus recommandées, on trouve la filière médecine, elle aussi, est très convoitée. Et chaque année, malgré que ce cursus soit très difficile, on voit le nombre de candidats tenter la Première Année Commune d'Etudes de Santé (PACES) augmenter.
Le métier de vendeur en magasin et de vendeur en produits frais est exercé par 73.5% de femmes pour seulement 26.5% d'hommes (610 000 offres étudiées). Le métier de fonctionnaire des impôts et de secrétaire de mairie est exercé par 73.4% de femmes pour seulement 26.6% d'hommes (592 000 offres étudiées).
On sait par exemple que le Bac S est moins difficile à obtenir qu'il y a quelques années. A tel point que certaines universités et grandes écoles se demandent s'il ne faudrait pas faire une année supplémentaire pour aider les étudiants à acquérir le niveau qu'elles s'attendent à avoir.
Les meilleurs au bac.
A l'époque, le pourcentage de réussite du bac littéraire était de 82,2%, contre 80,1% pour les bacheliers de S. La performance est d'autant plus spectaculaire que les effectifs des classes de S sont largement plus élevés que ceux des autres filières.
Il aura fallu vingt-sept ans pour que ce slogan, prononcé par le ministre PS de l'éducation nationale, Jean-Pierre Chevènement, en 1985, devienne réalité.
Il faut remonter aux années 1970/1971 pour trouver un si haut taux d'admissibilité au bac béninois. A cette époque, le taux de réussite au baccalauréat dépassait les 63%. Le taux de réussite de cette année est donc une surprise car depuis plusieurs années, il ne dépassait pas la barre des 50%.
La combinaison qui connait la plus forte augmentation (+ 1,5 %) est le trio histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques – humanités, littérature et philosophie – sciences économiques et sociales.
Les diplômes les plus rentables
Pour aller au-delà du niveau d'études, deux formations en particulier se détachent des autres : les écoles de commerce et les écoles d'ingénieurs, qui promettent respectivement un salaire annuel de 46 814€ et 48 802€ à leurs diplômés.
En haut du classement on retrouve le Bac Pro TP – Travaux publics dont le salaire moyen avoisine les 2370€/mois ce qui en fait le diplôme de niveau 4 le mieux payé sur le marché ouvert de l'emploi.
Le bac S ouvre toutes les portes du supérieur ! Logique puisque, grâce à leur méthode et à leurs habitudes de travail, les S réussissent bien partout, y compris dans les cursus non scientifiques. Mais c'est vers les sciences qu'ils se dirigent massivement.
Mais cette fois, Caroline Houriet a fait encore plus fort, en dépassant la note de 21. Si le ministère de l'Education nationale doit encore vérifier, il semblerait que sa moyenne de 21,18 soit un record historique.
Le bac professionnel permet une faible réussite : les étudiants issus d'un bac pro sont ceux qui réussissent le moins bien à l'université. Le meilleur taux de passage de L1 à L2 du premier coup est de 13,8 %, et s'observe en lettres, sciences du langage et arts.
Jusqu'aux années 1980, seuls 65 % environ des candidats obtenaient leur « bachot ». Mais l'examen, longtemps réservé aux enfants des familles aisées, s'est démocratisé. Aujourd'hui, toutes séries confondues, il est passé par 83 % d'une classe d'âge.