L'euro est la monnaie unique de l'union économique et monétaire formée au sein de l'Union européenne ; elle est commune à dix-neuf États membres de l'Union européenne à partir de 2002, qui forment ainsi la zone euro.
L'Irlande du Nord est rattachée au Royaume uni avec pour capitale Belfast, alors que la République d'Irlande fait partie de l'Union européenne et de la zone EURO, avec pour capitale Dublin. À cet effet, un type de monnaie est utilisé selon le pays au sein duquel vous vous trouvez.
Un euro comprend 100 centimes. Il existe des billets de 5 €, 10 €, 20 €, 50 €, 100 €, 200 € et 500 €. Et des pièces de 5 cts, 10 cts, 20 cts, 50 cts, 1 € et 2 €. En Irlande du Nord, la livre sterling est la monnaie officielle.
Dublin étant une île et la ville pas très étendue, la place est rare. C'est pourquoi il est extrêmement cher de se loger dans la capitale. Les prix sont même un peu plus élevés qu'a Paris où un appartement une chambre en centre ville se loue environs 1,066 € par mois et 1,231 € (chiffres numbeo 2016) pour Dublin.
En juillet 2019, le Royaume-Uni et l'État d'Irlande sont tous deux membres de l'Union européenne. Ils appartiennent donc à l'union douanière et au marché unique et le resteront jusqu'à ce que le Royaume-Uni achève son processus de retrait.
L'Irlande est membre de l'Union européenne, du Conseil de l'Europe et de l'OCDE.
Vous pouvez utiliser une pièce d'identité officielle avec photo. Les citoyens de l'UE peuvent entrer en République d'Irlande en présentant un passeport ou une carte d'identité nationale en cours de validité.
La meilleure saison pour visiter l'Irlande est l'été, de fin mai à septembre, avec une préférence pour le printemps, plus sec dans l'ensemble du pays.
l'Irlande du Nord, constituée de six comtés de l'Ulster majoritairement peuplés de protestants ; l'Irlande du Sud, formée des 26 autres comtés, en majorité catholiques.
Comme dans beaucoup de villes, les meilleurs moyens de transport pour visiter Dublin sont les transports en commun, ici bus et le DART, ainsi qu'un tramway récent (LUAS).
Elle est créée lors de la partition de l'Irlande par la Loi sur le gouvernement de l'Irlande de 1920 qui divise l'île en Irlande du Nord et Irlande du Sud. En pratique, le pouvoir lui est disputé par la République irlandaise, État déclaré unilatéralement en 1919.
Pays de l'UE n'utilisant pas l'euro: Bulgarie, Croatie, Danemark, Hongrie, Pologne, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Suède et Tchéquie.
Irlande, la première fois. Il est normal, lorsqu'on aborde un pays pour la première fois, d'opter pour les grands sites et les paysages majeurs. Voici donc l'Irlande essentielle. Entrée à Cork et direction Killarney, dans le Kerry, l'Irlande des prairies vertes et des falaises noires.
Les citoyens français peuvent voyager en Irlande en emportant avec eux leur passeport ou leur carte nationale d'identité. Aucun type de visa n'est requis.
Avec le traité anglo-irlandais de 1921, l'Irlande accède à l'indépendance sous le nom d'État libre d'Irlande le 6 décembre 1922 . Néanmoins, l'Irlande du Nord exerce son droit de retrait dès le lendemain et reste au sein du Royaume-Uni.
Soutien aux opérations et missions dirigées par l'OTAN
L'Irlande contribue depuis 1999 à la Force pour le Kosovo (KFOR), dirigée par l'OTAN.
Contrairement à une rumeur persistante, la partition ne s'est pas seulement faite sur des bases confessionnelles, mais bien à cause d'un mélange d'intérêts religieux, économiques et surtout d'équilibre politique : l'Irlande du Nord, est composée de six comtés et l'Irlande du Sud composé de vingt-six comtés.
Les irlandais sont des gens plutôt sympas, ouverts, et ont le contact facile. Mieux encore : ils aiment les voyageurs et n'ont jamais peur d'aller à la rencontre d'un touriste pour lier conversation. Néanmoins, les irlandais, comme la plupart des autres pays, ont chacun leurs petites manies, leurs visions des choses…
On rencontre aussi les appellations « la République » (en anglais : the Republic), « le Sud » (en anglais : the South) ou « Irlande du Sud » (en anglais : Southern Ireland).
L'opposition entre républicains et nationalistes (principalement catholiques) d'une part, loyalistes et unionistes (principalement protestants) d'autre part sur l'avenir de l'Irlande du Nord entraîne une montée de la violence qui dure pendant trente ans.