Le destrier constitue un butin précieux dans une bataille. C'est le cheval qui transporte l'équipement domestique du chevalier et de son entourage (écuyer). C'est un cheval rapide et fort, fréquemment utilisé comme monture de guerre. Il était monté par les chevaliers et les hommes d'armes.
Les chevaliers possèdent au moins un cheval de bataille, un cheval de selle et un de bât, quelques sources de la fin du Moyen Âge mentionnent que des chevaliers montent vingt-quatre chevaux différents sur une campagne mais cinq chevaux est peut-être la moyenne.
L'armure se compose d'un heaume, qui n'est autre que le casque pointu du chevalier, de cuirasses, d'une cotte de mailles descendant jusqu'aux genoux, appelée aussi haubert, et d'un gorgerin pour préserver son cou. Le cheval est lui aussi protégé intégralement par une barde et par un chanfrein qui préserve sa tête.
Les armes du chevalier sont une épée, une lance et un poignard. Efficace, l'armure est aussi très lourde, si bien qu'un chevalier à terre ne peut que difficilement se relever seul.
L'écu ou escu, du latin scutum, est un type de bouclier et fait partie de l'équipement du chevalier et du piéton pour faire la guerre au Moyen Âge.
Origine. À la fin du XII e siècle, le casque conique nasal est remplacé par le heaume. Celui-ci est constitué d'une cervelière, une simple calotte d'acier à laquelle est fixée une plaque faciale couvrant le visage, percée de trous pour la vision et l'aération.
L'équipement du chevalier : il porte une épée, un bouclier, une lance, un casque, une cotte de mailles (appelée également haubert) ou une armure et parfois une arbalète ou un grand arc avec des flèches. Souvent, il porte sur son bouclier ou sur son torse un blason qui permet de le reconnaître : c'est l'écu.
La pique est une longue lance d'estoc uniquement destinée à porter des coups. La lance est une des plus anciennes armes de chasse et peut-être de guerre.
haubert n.m. Longue cotte de mailles des hommes d'armes au Moyen Âge.
L'armure est destinée à protéger l'homme et/ou l'animal qui le porte, mais aussi à s'identifier ou impressionner l'adversaire. Armure de plates complète d'un chevalier des Grandes compagnies, portant le blason de Bertrand Du Guesclin.
Le destrier est un cheval de guerre ou de tournois, associé aux chevaliers du Moyen Âge, en Europe occidentale.
Le palefroi est, durant le Moyen Âge, un type de cheval de grande valeur utilisé pour la selle, par opposition au destrier, monture de guerre. Il ne s'agit pas d'une race. C'est un cheval de marche utilisé par le chevalier ou par la dame pour se déplacer.
En effet, pour devenir chevalier, un homme doit répondre à certaines exigences : fidélité à la parole donnée, défense des faibles, générosité envers tous et s'engager au respect d'un code de l'honneur. Ce code n'est pas réellement écrit, mais il est présent dans tous les esprits.
Quelques soient leurs origines sociales, les chevaliers au moyen âge forment une compagnie élitiste. Ils vivent ensemble, chevauchent ensemble, tuent ensemble. Ils se sentent invincibles et meurent d'ailleurs rarement au combat : la mortalité à l'époque est de 1 %.
un être qui cherche à ce que son action ait du sens et soit bénéfique aux autres, à ce que le monde soit un peu plus habitable. Il est important et urgent, selon lui, de remettre à l'honneur un tel engagement.
Longue chemise en mailles d'acier tissées, munie de manches, d'un gorgerin et d'un capuchon, que portaient les chevaliers au Moyen Âge lorsqu'ils combattaient. Synon. cotte de maille.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
Ensemble des armes défensives qui protègent le corps et les membres, comme le casque, la cuirasse, etc. 2. Littéraire. Moyen de protection : Une armure d'indifférence.
« Un chevalier ne doit pas faire par peur de la mort quelque chose qui puisse lui être imputé à déshonneur, mais il doit davantage redouter la honte que la mort. »
En matière de devoirs, les chevaliers doivent protéger les orphelins, les veuves et l'Eglise. Les chevaliers doivent faire tout ce qu'ils peuvent pour que ces derniers ne soient pas attaqués ou ne meurent pas de faim. L'Eglise interdit aux chevaliers de se battre le Lundi, le Samedi et le Dimanche.
Le chevalier du roman courtois possède des qualités physiques ; il est fort, endurant, habile dans le maniement du cheval et de ses armes. Il montrer sa vaillance dans les joutes, les tournois, les combats en duel.