Les maladies dégénératives sont des pathologies qui entraînent une dégradation progressive d'un ou plusieurs organes. Souvent d'origine génétique, elles peuvent être dues à une forte et longue exposition à des produits biologiques et toxiques. Ces maladies sont souvent très lourdes pour le patient.
Qu'appelle-t-on une maladie dégénérative ? On désigne par maladies dégénératives l'ensemble des maladies qui évoluent progressivement et qui entraînent chez les personnes atteintes des déficiences physiques, physiologiques ou mentales.
Les patients perdent progressivement la mémoire, le raisonnement et le sens critique, peuvent devenir amnésiques ou être désorientés. Les symptômes incluent la dégénérescence des mouvements comme les tremblements au repos ou la rigidité musculaire. Le malade peut avoir des difficultés dans l'exécution d'un mouvement.
La maladie d'Alzheimer et autres démences sont les plus fréquentes des maladies neurodégénératives. Elles représentent une cause majeure de perte d'autonomie.
Il n'existe, aujourd'hui, aucun traitement pour ces maladies neurodégénératives. Il est donc urgent de mettre au point de nouveaux traitements capables de contrer, voire de stopper la progression de ces maladies.
1. Le stress. Le stress peut être utile ou nuisible pour le cerveau, cela dépend de son intensité et de sa durée.
Le syndrome de Hutchinson-Gilford, plus communément appelé progéria, est une maladie génétique rarissime, affectant une naissance sur 4 à 8 millions. Il est caractérisé par un vieillissement prématuré débutant dès la période néonatale.
Un régime alimentaire de type méditerranéen – riche en fruits, légumes, légumineuses, céréales complètes, huile d'olive et poissons gras – permettrait de prévenir le développement de la DMLA, maladie dégénérative qui est la première cause de handicap visuel chez les plus de 50 ans.
Les représentants les plus connus sont la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson et la maladie de Charcot ou sclérose latérale amyotrophique (SLA) ainsi que la chorée de Huntington. Ces exemples font partie d'une liste de plus d'une centaine de maladies [3].
La dégénérescence musculaire liée à l'âge peut se traduire par une perte de mobilité pour la personne atteinte et une baisse de son degré d'autonomie.
C'est une maladie dégénérative caractérisée par l'affaissement du tissu cartilagineux entre les os d'une articulation. Ce cartilage sert de coussin protecteur empêchant les os de frotter l'un contre l'autre. Dans les cas d'arthrose, ce coussin se désagrège et finit par disparaître complètement.
La dégénérescence fronto-temporale en quelques chiffres :
Elle représente 20% des démences dégénératives. Elle représente 2 à 5% de tous les cas de troubles cognitifs. La prévalence de la maladie est de 10 à 15 / 100 000. En France, 5 000 personnes sont touchées par la DFT.
Plus connues sous les noms de maladie de Pick et maladie de Charcot, les dégénérescences fronto-temporales (DFT) et la sclérose latérale amyotrophique (SLA) sont des pathologies neurodégénératives liées à la perte progressive de neurones dans les lobes frontaux, temporaux et des régions motrices du cerveau.
Les causes de la gérascophobie
Cependant, la peur de vieillir a tendance à avoir des racines plus profondes. Le facteur sous-jacent le plus courant derrière une telle peur est l'anxiété. Par nature, les individus gérascophobes sont anxieux ou très nerveux.
Selon plusieurs études, la sénescence commencerait quelque part entre la vingtaine et la trentaine. En Nouvelle-Zélande, des scientifiques ont observé l'organisme de 954 personnes d'âges différents. Ils ont estimé que les premiers signes d'altération des organes apparaissaient en moyenne à l'âge de 26 ans.
Les ligaments qui relient les articulations ainsi que les tendons qui relient les muscles aux os ont tendance à devenir moins élastiques, et les articulations sont tendues et raides. Ces tissus s'affaiblissent également. Ainsi, la plupart des personnes deviennent moins souples.
Au-delà de l'éthique sportive, c'est bien les séquelles sur la santé qui inquiètent le plus. « Il n'y a pas de sport plus dangereux pour le cerveau, assure le neurologue Jean-François Chermann.
Les fruits rouges
Or, dans les bleuets, canneberges, mûres ou framboises, se concentrent de fortes doses d'antioxydants, qui combattent les radicaux libres et boostent notre cerveau. Le corps humain ne produisant pas d'antioxydants, il est impératif de les lui apporter par l'alimentation.
On pense notamment aux aliments frits, aux boissons sucrées, aux sucres raffinés et aux viandes transformées.
difficulté à se faire comprendre. difficulté à comprendre les autres. changement d'humeur et de comportement. perte de coordination motrice.
Demandez à la personne d'écrire les chiffres aux bons endroits. Demandez-lui ensuite de tracer les aiguilles de l'horloge pour qu'elles indiquent 21 h 15. (Si la personne n'est pas familière avec le système 24 h, dites-lui plutôt « 9 heures et quart ».)