Le National Health Service, le système de santé publique britannique, a listé les pathologies les plus douloureuses pour le corps humain. La migraine, la sciatique, l'appendicite, la fracture osseuse ou encore l'attaque cardiaque: autant de pathologique provoquant des douleurs insupportables.
Piqure de Paraponera
Cette fourmi vivant en Amazonie délivre par son dard un venin neurotoxique extrêmement douloureux. Une sensation d'intense brûlure irradie dans tout le membre touché et provoque des contractions involontaires des muscles pendant plusieurs heures.
Elle varie selon le contexte, l'humeur ou le passé du sujet. Sauf que là où la douleur d'un CDLC ne dépend que de la force de l'émetteur, il y a peut-être autant de douleurs qu'il y a d'accouchements.
Douleur fulgurante : douleur très intense qui fait penser à un éclair. Douleur irradiante : douleur qui diffuse en rayons à partir d'un point de plus forte intensité. Douleur lancinante : douleur ressentie sous forme d'élancements aigus.
Dans le traitement de la douleur, la relaxation peut être d'une grande aide. Ainsi, la sophrologie, une technique de relaxation qui associe respiration, décontraction musculaire et visualisation, peut soulager de nombreux troubles et peut donc avoir sa place dans le traitement des douleurs chroniques.
Les femmes, dans une phase du cycle caractérisée par un taux bas de progestérone et élevé d'œstrogènes, ont un seuil à la douleur comparable aux hommes.
Quelle que soit la cause de la douleur, avec le temps, elle provoque diverses réactions psychologiques : anxiété, insomnie, fatigue, tension nerveuse, repli sur soi, démoralisation, dépression, parfois désintérêt sexuel, etc.
Le National Health Service, le système de santé publique britannique, a listé les pathologies les plus douloureuses pour le corps humain. La migraine, la sciatique, l'appendicite, la fracture osseuse ou encore l'attaque cardiaque: autant de pathologique provoquant des douleurs insupportables.
Mais surtout, ces impulsions envoient un message de légère douleur à la voie nerveuse. « Lorsqu'on se cogne l'orteil sur le coin d'une table, notre premier réflexe est de le frotter pour se soulager. Cette action crée une analgésie par contre-irritation », explique le chercheur.
Pour faire des bébés ! Dès sa naissance, chaque garçon a deux boules sous le zizi. Quand il devient adolescent, ces deux testicules produisent des cellules, les spermatozoïdes. Chez la fille, à partir de l'adolescence, c'est une autre cellule qui fonctionne, l'ovule.
La nature a décidé de faire souffrir les femmes à bien des niveaux, mais là c'est pour une bonne raison : les hommes sont beaucoup trop faibles pour gérer une grossesse et un accouchement.
La douleur est temporaire et progressive, elle n'est pas continue. Entre chaque contraction, il y a une pause pour permettre à la femme de relaxer et de refaire le plein d'énergie. Plus les contractions sont fortes, plus elles sont efficaces. Lors de l'accouchement, la douleur est normale.
En cas de coup, d'écrasement du testicule, ce sont des nerfs situés plus profondément dans l'anatomie qui entrent en jeu, d'où une douleur sourde, un peu "décalée".
«Dans 90% des cas de douleur aiguë, il s'agit d'une torsion testiculaire», indique le spécialiste. Suite à un mouvement, un choc ou pour des raisons inconnues, il arrive que le cordon spermatique - contenant notamment les vaisseaux sanguins qui irriguent le testicule - s'entortille.
Les mots utilisés pour décrire la céphalée vasculaire de Horton frappent l'imaginaire. Ce mal de tête, qui peut durer jusqu'à trois heures, est si douloureux qu'on le surnomme tristement « la migraine du suicide » en raison des personnes qui se sont enlevé la vie, incapables de vivre avec cette souffrance.
«Lors d'une nuit de sommeil, notre organisme produit moins de cortisol, une hormone naturellement anti-inflammatoire.» Ces douleurs positionnelles de repos sont encore plus vives avec les pathologies d'origine inflammatoire, telle l'arthrite, où les œdèmes articulaires sont omniprésents.
La douleur aiguë joue un rôle d'alarme qui va permettre à l'organisme de réagir et de se protéger face à un stimulus mécanique, chimique ou thermique : elle est liée à des stimulations intenses qui déclenchent immédiatement un mécanisme de transmission d'informations depuis les terminaisons nerveuses – les récepteurs ...
Qu'est-ce qu'un centre anti-douleur ? Les centres d'évaluation et de traitement de la douleur (CETD), plus communément appelés centres anti-douleur, ont pour objet d'évaluer l'intensité de la douleur et de proposer des solutions permettant de la soulager, voire de la faire disparaître.
Le cerveau peut moduler la façon dont la moelle épinière traite l'information douloureuse. Soit via un signal électrique, soit via des hormones comme l'ocytocine, dont la libération est coordonnée par trente neurones situés dans l'hypothalamus (notre image).
Plaisir physiologique : les endorphines
On peut expliquer le lien entre souffrance et plaisir du sportif d'un point de vue purement physiologique. Quand on souffre, le corps émet des endorphines, des hormones similaires aux opiacés : elles permettent de réduire la douleur.
La psychosomatique se rapporte à l'influence du psychisme sur l'organisme, autrement dit, de notre mental sur notre santé. On parle alors de symptômes, de troubles et de maladies psychosomatiques, qui sont l'expression corporelle ou physique d'un problème psychologique.
D'après une étude réalisée par l'université de l'État de New York à Binghamton et par University College London, les femmes se sentent plus blessées au moment d'une séparation que les hommes.
Si vous l'aviez deviné, en voici la confirmation : les hommes sont plus sensibles à la douleur que les femmes. Une étude menée par des chercheurs canadiens sur des souris puis des humains (41 hommes et 38 femmes âgés de 18 à 40 ans) et publiée dans Current Biology a confirmé que la douleur est sexuée.
Les femmes seraient plus sensibles, plus émotives, plus douces, et douées de plus d'empathie que les hommes, comme le prouvent certaines études qui montrent que chez la gent féminine, l'hippocampe est plus développé que chez Monsieur.