Les noms féminins se terminant par la prononciation [te] et désignant des notions abstraites, des qualités, des défauts, s'écrivent t, e accent aigu, mais sans e supplémentaire. Ils sont pratiquement tous associés à un adjectif.
Dans le cas général, on ajoute un -e pour indiquer la marque du féminin. On fait bien attention aux changements orthographiques comme dans la caissière, la paysanne... Les mots féminins en -té, -tié et -eur ne prennent pas de e.
» Terminaison en -té -tiée
- Les noms féminins se terminant par -té ou -tié s'écrivent sans -e . Exemples : l'amitié, la liberté, la beauté, la volonté... Exceptions : 1.
c) Noms du genre masculin se terminant par « é » : Un degré, le péroné, le jubilé, le tiercé… d) Noms du genre féminin se terminant par « ée » : ils sont dérivés d'un nom ou d'un verbe : Une fiancée, une arrivée, une bouchée, une cuillerée, une invitée, la panacée, une percée, une pincée, une nuitée…
Une fois que tu connais ceux-là, encore une fois, tu arriveras à peu te tromper. Les mots sont féminins, on parle des noms, s'ils se terminent par “ion” ou “ure” ou avec le son “oi”, “oie”, “oix”. Ils sont féminins aussi s'ils se terminent par “ette”, par “ille”, par “esse” ou encore par “té”.
Le mot s'emploie au féminin et au masculin : une belle après-midi ou un bel après-midi.
-> On utilise tout, quand ce qui suit est au singulier. -> On utilise tous, quand le nom qui suit est au pluriel. tout = adjectif féminin : toute, pluriel : tous, toutes.
Le verbe s'accorde en genre et en nombre avec son sujet : Lorsque le sujet est au singulier, le verbe se conjugue au singulier. Lorsque le sujet est au pluriel, le verbe se conjugue au pluriel. Lorsque qu'il y a plusieurs sujets, le verbe se conjugue au pluriel.
Généralement, les noms masculins se terminent en -é, -er, -et ou -ez. Toutefois, il existe une trentaine de mots qui finissent par -ée. Ils sont d'origine latine ou grecque. Il n'y a pas de règles.
Inversement, une trentaine de noms se terminant en "-ée ", le plus souvent d'usage peu courant, sont masculins : "hyménée, musée, gynécée, coryphée, prytanée, spondée, empyrée, protée..." mais aussi "Lycée, caducée, apogée, élysée, macchabée, mausolée, musée, pygmée, trophée...".
Règle générale. La forme féminine d'un nom s'obtient en ajoutant un E muet à la finale du masculin.
Selon la règle grammaticale, tous les noms féminins avec les terminaisons « -té » et « -ité » ne prennent jamais de « e » final, sauf pour les exceptions que vous trouverez ci-dessous. On écrit donc « cette femme a une belle qualité que les autres ne voient pas » et « c'est l'amitié qui nous a toujours unis ».
docteur \dɔk. tœʁ\ masculin (pour une femme, on peut dire : docteur , docteure , docteuse , doctoresse , doctrice ) — Note d'usage : L'équivalent féminin doctoresse, couramment utilisé en Suisse romande, ne s'emploie guère que dans le sens 3. Il est peu usité en France, où l'on rencontre principalement docteur.
Un mot épicène est un mot désignant un être animé et qui n'est pas marqué du point de vue du sexe. Il peut être employé au masculin et au féminin sans variation de forme.
Étymologie. Du latin médiéval buccus, utilisé pour la première fois dans la Lex Salica, vieux-francique * bukk ou/et gaulois * bucco-, de la racine indo-européenne * bhug- (« bouc, bélier »), qui a éliminé le latin caper, tandis que le féminin capra est resté, qui a donné le mot chèvre.
Lorsque le participe passé est conjugué avec l'auxiliaire "être", il s'accorde en genre et en nombre avec son sujet. ex. : Nous sommes parti(e)s. Lorsque le participe passé est conjugué avec l'auxiliaire "avoir", il ne s'accorde pas en genre et en nombre avec son sujet. ex. : Nous avons essuyé la vaisselle.
On écrit "les pommes que j'ai mangées", mais on n'orthographie pas "les heures que j'ai passées". On note plutôt "les heures que j'ai passé" et on rédige aussi "le chat qui a mangé la souris".
Les fautes grammaticales
Une faute grammaticale est une façon d'écrire un mot non conforme aux règles de grammaire en vigueur. Le cas le plus courant est par exemple l'oubli du « s » au pluriel (par exemple : Les chien gambadaient dans les champ).
Exemples : "Bonjour à vous, bonjour à vous, bonjour à nous !" "Bonjour à toutes !"
Et je vous laisse retenir les plus courants qui sont : quotidien = tous les jours, hebdomadaire = toutes les semaines, mensuel = tous les mois, trimestriel = tous les trois mois, semestriel = tous les six mois et annuel = tous les ans.
« On » est un pronom indéfini. « Ont » est le verbe « avoir » conjugué. Si vous pouvez remplacer le terme qui pose problème par « avaient » (imparfait de l'indicatif), alors il s'agit du verbe « avoir » conjugué à la 3e personne du pluriel du présent de l'indicatif (« ont », avec un t) : Ces clémentines ont des pépins.
(Zoologie) Espèce de mammifère carnassier, le plus grand de la famille des félidés, au pelage généralement fauve, rayé de bandes noires transversales. La femelle est la tigresse, le petit le tigreau. Le tigre râle, rauque ou feule.
La femelle est la truie. Au sens strict, le porc est un verrat castré.