Énoncé : Voici une suite logique de nombres : 1 ; 2 ; 4 ; 8 ; 16… Quel est le nombre suivant ? Solution : 32, car on multiplie par 2. Et 16 x 2 = 32.
La bonne réponse est 22. En effet, à partir du 3ème nombre, chaque nouveau nombre est le résultat de l'addition des deux nombres précédents moins 1.
Il existe une formule pour calculer la valeur de n'importe quel terme d'une suite arithmétique, à condition de connaître la raison et le premier terme de la suite. La formule à utiliser est : u n = u 0 + n r où est le premier terme de la suite arithmétique et sa raison.
Nombre premier supersingulier
Il en existe exactement quinze : 2, 3, 5, 7, 11, 13, 17, 19, 23, 29, 31, 41, 47, 59 et 71.
En mathématiques, la suite de Fibonacci est une suite de nombres entiers dont chaque terme successif représente la somme des deux termes précédents, et qui commence par 0 puis 1. Ainsi, les dix premiers termes qui la composent sont 0, 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21 et 34.
La suite logique est 29, car dans cette suite le terme suivant est la somme des 2 termes précédents, par exemple 1+3=4 et 7+11=18, donc 11+18=29. Merci d'avoir lu, n'hésite pas à mettre un vote positif et à t'abonner si la réponse t'a plu.
Tous les nombres de la suite s'écrivent avec quatre lettres : zéro ; deux ; cinq ; sept ; huit : neuf ; onze. Ils sont rangés dans l'ordre croissant. Pour trouver le suivant, il suffit donc de trouver le premier nombre plus grand que onze et qui s'écrit avec quatre lettres : c'est donc cent.
Voici une liste des nombres premiers jusqu'à 100 : 2, 3, 5 7, 11, 13, 17, 19, 23, 29, 31, 37, 41, 43, 47, 53, 59, 61, 67, 71, 73, 83, 89 et 97.
Quand est-ce que l'opération suivante est correcte : 11 + 3 = 2 ? 3 h après 11 h du soir il sera deux heures du matin. Mathématiquement cela revient à travailler dans l anneau des entiers modulo 12 où chaque nombre ( non signé) est remplacé par son reste modulo 12 . Ainsi 11+3= 14 qui vaut 2 modulo 12.
On peut additionner terme à terme deux suites. Par exemple, si on additionne les termes de la suite des nombres impairs : 1, 3, 5, 7, 9, 11, 13, 15, ... à la suite des nombres carrés : 1, 4, 9, 16, 25, 36, 49, 64 ... on obtient la suite : 2, 7, 14, 23, 34, 47, 62, 79 ...
et sont classés dans l'ordre décroissant, cent. onze neuf huit sept. et après sept, le prochain chiffre dans l'ordre décroissant. qui s'écrit avec quatre lettres, c'est bien cinq, c'est la bonne réponse.
1, 11, 21, 1211, 111221, à la question “Quel est le prochain terme ?”, la réponse est : page 153 “MATh.en.JEANS” en 1995 Page 2 312211. Cette suite fait partie des suites qui se lisent. En effet, si on lit le cinquième terme, on voit trois 1, deux 2 et un 1 ; ce qui se lit en chiffres : 312211.
L'opération suit une progression : + 1, + 3, + 9, + 27, + 81. g. Réponse : 102.
89, 106, 113, 118, 128, ? La solution est 139.
Le nombre qui complète la série est 126.
– en choisissant 40 comme nombre de départ, on obtient la suite de nombres suivante : 16 – 37 – 58 – 89 – 145 – 42 – 20 – 4 – 16. Le nombre 16 se répète donc 40 est un « nombre joyeux ».
L'usage de parenthèses permet donc de créer une exception aux priorités opératoires (multiplications et divisions prioritaires sur les additions et soustractions). Ainsi, un calcul comme (7 + 2) × 6 s'effectue ainsi : (7 + 2) × 6 = 9 × 6 = 54.
L'ordre des opérations à prioriser dans un calcul
Mais lorsqu'il y a plusieurs opérations à la suite, il y a alors un ordre précis à respecter : on commence toujours par les calculs entre parenthèses, puis les puissances, les multiplications ou les divisions et enfin pour terminer les additions ou soustractions.
Règles de priorité
Pour calculer une expression numérique sans parenthèses, on effectue les calculs de la gauche vers la droite, en commençant par les multiplications et les divisions qui ont priorité sur les additions et les soustractions.
Grâce au crible ou tout autre moyen, listons les nombres premiers plus petits que 200 : 2, 3, 5, 7, 11, 13, 17, 19, 23, 29, 31, 37, 41, 43, 47, 53, 59, 61, 67, 71, 73, 79, 83, 89, 97, 101, 103, 107, 109, 113, 127, 131, 137, 139, 149, 151, 157, 163, 167, 173, 179, 181, 191, 193, 197 et 199.
Un nombre entier naturel (supérieur ou égal à 2) est un nombre premier s'il admet exactement 2 diviseurs : 1 et lui-même. Exemple : 2, 3, 5, 7, 11, 13, 17, 19 … sont des nombres premiers. Il en existe une infinité.
Le premier terme de la suite de Conway est posé comme égal à 1. Chaque terme de la suite se construit en décrivant le terme précédent, c'est-à-dire en énonçant le nombre de fois où chaque chiffre est répété, suivi du chiffre en question. Concrètement : Ce terme comporte simplement un « 1 ».
Sur les cônes de pin, les ananas, ou les fleurs de la famille des tournesols, on observe des motifs en forme de spirales, qui s'organisent en deux réseaux qui se croisent. Si la curiosité nous pousse à compter les spirales de ces réseaux, on obtient très souvent deux nombres consécutifs de la suite de Fibonacci.
8 (huit) est l'entier naturel qui suit 7 et qui précède 9.
Pourquoi "4" est le chiffre commun aux six chiffres suivants ? 0, 2, 5, 7, 8, 9... 4 est commun a cette série de nombres car : zéro, deux, cinq, sept, huit et neuf s'écrivent tous avec 4 lettres.