L'oxygène liquide est le dioxygène refroidi au-dessous de son point de condensation, soit 90,188 K (−182,96 °C ) sous la pression atmosphérique (101 325 Pa ).
Dans les conditions normales de température et de pression (1 atm, 0 °C), l'oxygène bout à - 182,9 °C et fond à - 218,4 °C.
pendant une période supérieure à 12 heures peut entraîner des nausées, des vertiges, des difficultés respiratoires, des irritations des voies respiratoires et/ou des œdèmes. En cas d'intoxication à l'oxygène, la personne doit être immédiatement ramenée à une pression partielle d'oxygène normale.
L'oxygène médical est sous forme liquide à très basse température (– 183 °C) et il délivre de l'oxygène à l'état gazeux réchauffé. Il permet le stockage d'une plus grande quantité d'oxygène par rapport aux bouteilles. Il est réservé aux débit > 9L/min ou quand la personne déambule beaucoup tous les jours.
L'hydrogène liquide est très énergétique et possède une masse volumique de 71 kilogrammes par mètre cube à pression atmosphérique. Cependant, sa liquéfaction présente un inconvénient majeur : son coût en énergie, car l'hydrogène ne devient liquide qu'à −253 °C.
La forme la plus courante de l'oxygène est la molécule de dioxygène . Elle est à l'état gazeux à température ambiante. La température d'ébullition de est de ( − 183 ° C ) et sa température de solidification est de ( − 219 ° C ).
En situation d'hyperoxie (apport trop élevé d'oxygène), le système nerveux central veut rééquilibrer les échanges et augmente le CO2, d'où l'hypercapnie et son cortège de symptômes : dyspnée, tachycardie, trouble de la conscience….
Ce gaz indispensable à notre existence a de nombreuses indications en médecine, à l'hôpital ou à domicile. Non seulement il permet de pallier une respiration déficiente mais, plus étonnant, de réparer les tissus.
Les symptômes d'une intoxication à l'oxygène sont ceux de l'hyperoxie. Les symptômes d'une toxicité respiratoire s'étendent de la trachéobronchite (douleur rétrosternale, toux sèche) à l'œdème interstitiel et à la fibrose pulmonaire.
L'ouverture trop rapide du robinet d'une bouteille d'oxygène comprimé ou d'un système d'alimentation en oxygène peut causer une explosion ou un incendie, en particulier si un contaminant est présent dans le système ( p. ex. , graisse, huile, ruban, particules).
L'oxygène en lui-même n'est pas inflammable, mais il entretient la combustion. A l'inverse, l'azote et l'argon inhibent la combustion. Les changements de concentration de ces gaz ne peuvent être détectés naturellement par les humains. Si ces gaz ne sont pas utilisés de façon appropriée, des accidents peuvent survenir.
Toxicité de l'oxygène
L'intoxication par l'oxygène se produit en général lorsque la pression partielle d'oxygène atteint 1,3-1,4 atmosphères, soit une profondeur d'environ 57 m lors d'une plongée à l'air et moins profonde lorsque des mélanges respiratoires enrichis en oxygène sont utilisés.
En général, l'oxygène est administré par deux tubulures nasales (canules) en débit continu ou à la demande. Pour améliorer l'efficacité et la mobilité des personnes nécessitant des quantités élevées d'oxygène, des systèmes, tels que des canules à réservoir et des cathéters transtrachéaux, peuvent être utilisés.
Elle est considérée comme insuffisante entre 90 % et 94 %. En cas de taux inférieur à 90 %, il y a désaturation, un cas d'urgence. L'insuffisance de saturation, ou hypoxémie, peut être liée à plusieurs facteurs : La diminution du taux d'oxygène dans l'air ambiant : très haute altitude, atmosphère confinée, site pollué…
La plupart des gens ont un niveau d'oxygène normal de 95 % ou plus et un rythme cardiaque normal généralement inférieur à 100. Votre niveau d'oxygène et votre rythme cardiaque peuvent changer selon votre activité, la position de votre corps et votre état de santé général.
L'oxygénothérapie a heureusement peu d'effets secondaires, à condition que le débit d'oxygène soit adapté au patient. Un débit trop élevé peut causer des maux de tête. Par contre, un débit trop faible nuit à l'efficacité de la thérapie.
Le vieillissement peut augmenter le risque de maladies chroniques. Une maladie chronique est une pathologie évolutive qui dure longtemps. Elle impacte la qualité de vie et peut nécessiter un traitement par oxygénothérapie. Après 65 ans, le risque de développer ce type de maladie sur du long terme est plus important.
Prévenir une diminution de la quantité d'oxygène dans le sang pendant le sommeil. L'oxygène pris durant le sommeil : • pourrait améliorer la qualité du sommeil chez certaines personnes, • pourrait éviter les complications liées à la baisse d'oxygène.
Les signes de toxicité de l'oxygène comprennent la toux causée par l'irritation des voies respiratoires et un essoufflement aggravé. L'oxygène d'appoint doit toujours être administré de façon à maintenir les taux de saturation cibles et la dose efficace la plus basse possible pour éviter de tels effets secondaires.
Une personne âgée, avec d'autres pathologies, peut être considérée comme sûre même avec des valeurs de saturation comprises entre 91 et 94%.
Les organes et les muscles reçoivent moins d'oxygène. Le manque chronique d'oxygène peut se traduire de plusieurs façons : Fatigue particulièrement lors des activités physiques. Essoufflement au moindre effort.
Il conviendra d'utiliser du gaz carbonique pur ou un mélange gaz carbonique / azote dans une proportion dépendant du taux d'humidité et de la flore microbienne endogène de ces produits.
L'oxygène solide désigne le dioxygène O2 refroidi en dessous de son point de congélation, soit 54,36 K (−218,79 °C ) à pression atmosphérique.
L'air est un mélange de gaz, notamment de diazote et de dioxygène. La masse d'un litre d'air est de 1,3 g, sa masse volumique est donc de 1,3 g/L.