Ce qui constitue une leçon de morale. ➙ apologue, maxime, moralité.
1. Ensemble de règles de conduite, considérées comme bonnes de façon absolue ou découlant d'une certaine conception de la vie : Obéir à une morale rigide. 2. Science du bien et du mal, théorie des comportements humains, en tant qu'ils sont régis par des principes éthiques.
Qui est contraire à la morale. Doctrine immorale. Ouvrage immoral. livres immoraux.
Les valeurs morales ont une origine humaine. Elles sont définies par la société ou par l'individu lui-même et varient donc d'une société à une autre.
Les valeurs morales sont les règles et principes qui édictent rigoureusement la conduite et les mœurs appropriées pour être bon, faire le bien et vivre ensemble dans le respect fondamental de l'autre.
La justice, la loyauté, la générosité et la responsabilité individuelle sont des idéaux supérieurs auxquels on croit important d'obéir : ce sont des valeurs morales. De même, « ne pas faire aux autres ce qu'on ne veut pas qu'ils nous fassent » est une règle que plusieurs trouvent fondamentale.
La morale vise d'une part à la conservation des formes collectives d'organisation sociale, de la société, de l'intérêt général, d'autre part à l'agrément de la vie des individus en société.
L'Homme pour être morale doit être rationnel et raisonnable. Il doit faire appel à sa raison. Une action bonne ne peut être évolué que par son attention ou sa volonté d'y répondre. Cette attention doit être désintéressée.
Nombres de philosophes ont développé des idées en philosophie morale, tels que Nietzsche, Kant, Bentham, Epicure, Platon, ou Spinoza.
(Celui) qui se plaît à moraliser, à donner des leçons de morale. Synon. moralisateur. C'est un grand moraliseur, un moraliseur éternel (Ac.).
Définition de moral Votre navigateur ne prend pas en charge audio. , morale, moraux adjectif. Qui concerne les mœurs*, les règles admises et pratiquées dans une société. Sens moral : discernement du bien et du mal. Les valeurs morales.
Il concerne la philosophie. La morale est une suite de règles qui permettent une conduite de vie dans un groupe. Elle détermine ce qui est bien ou mal, et indique donc à chacun comment il doit se comporter pour faire partie du groupe.
Une théorie morale peut tomber sous cette qualification pour trois motifs correspondant à autant de propriétés de la moralité : soit elle en affaiblit l'autorité en affirmant qu'il peut être raisonnable de ne pas toujours respecter ses injonctions, soit elle atténue la rigueur de la moralité en soutenant que ses ...
Étymologiquement, « morale » vient du latin (philosophia) moralis, traduction par Cicéron, du grec ta èthica ; les deux termes désignent ce qui a trait aux mœurs, au caractère, aux attitudes humaines en général et, en particulier, aux règles de conduite et à leur justification.
Morale de la fable Le Loup et l'Agneau : « La raison du plus fort est toujours la meilleure. » La morale se situe au début de la fable. Jean de La Fontaine dresse ici une critique cinglante de sa société. Il critique la justice comme symbole de la violence et de la force.
Selon la première, la morale serait une extension de l'instinct de parenté (notre tendance à nous préoccuper du bien-être de nos proches). La morale serait alors spécifique de l'homme, car elle nécessite réflexion ou normes explicites pour se développer à partir de l'instinct de parenté.
Platon en conclut que la conscience morale doit être éduquée. Ainsi, la morale n'est pas innée, et elle ne correspond pas à ce qui fait plaisir à l'individu ou à ce qui ne lui fait pas plaisir. Elle correspond à des règles qu'il faut apprendre.
De nos jours, on l'appelle souvent « liberté morale », et le Vocabulaire de la Société Française de Philosophie en donne la définition suivante : « Etat de l'être humain qui réalise dans ses actes sa vraie nature, considérée comme essentiellement caractérisée par la raison et la moralité.
Les deux termes désignent ce qui a trait aux moeurs, au caractère, aux attitudes humaines en général et, en particulier, aux règles de conduite et à leur justification.
Le moral n'est donc qu'une image instantanée de l'humeur du moment. La morale, quant à elle, a plus d'atomes crochus avec le juste et l'injuste tels que façonnés par l'alentour.
La morale est une réflexion sur nos pratiques, nos actes, nos comportements et correspond à la question de Kant : « Que dois-je faire ? » Elle a pour valeur le bien, et par extension, on appelle « morale » les règles prétendant définir ce qui nous en approche ou nous y conduit, la vertu.
L'éthique et la connaissance sont inévitablement liées dans l'action et par elle. L'action met en jeu, ou en question, à la fois la connaissance et les valeurs. Toute action signifie une éthique, sert ou dessert certaines valeurs ; ou constitue un choix de valeurs, ou y prétend.