Les hormones sexuelles féminines sont de deux types : les estrogènes (estradiol, estrone et estriol) et la progestérone. Elles sont sécrétées par les ovaires selon un cycle, dit "cycle menstruel", dont les règles sont la manifestation.
La progestérone est une autre hormone féminine qui sert à préparer l'utérus pour une grossesse. Elle est produite dans la seconde moitié du cycle menstruel après l'ovulation, période pendant laquelle ses taux augmentent pendant quelques jours puis diminuent en l'absence de fécondation.
Cela peut être des bouffées de chaleur, des suées nocturnes, des maux de tête, une sensation de fatigue, des troubles du sommeil, une irritabilité ou des douleurs articulaires.
Une maladie
Une tumeur de l'ovaire, un syndrome des ovaires polykystiques, une atteinte de l'utérus ou du vagin, une hypo ou une hyperthyroïdie peuvent également provoquer l'arrêt des règles. La prise de certains médicaments, comme les antidépresseurs, sont aussi en cause.
La chute du taux d'œstrogènes en particulier cause les changements d'humeur avant les règles. L'œstrogène peut en effet entraîner une baisse des niveaux de sérotonine dans le cerveau, une substance chimique très importante pour rester de bonne humeur.
La chute hormonale engendrée va occasionner divers symptômes sur le corps de la femme : seins douloureux, sautes d'humeur, irritabilité, fatigue, fringales… Sur un cycle menstruel qui dure en moyenne 28 jours, avec une ovulation au 14e jour, les symptômes qui annoncent les règles devraient arriver à partir du 20e jour.
Manque d'énergie, difficultés de concentration, troubles de la mémoire, du sommeil, sautes d'humeur, spottings… ces symptômes ne sont qu'un aperçu des conséquences possibles d'un manque de progestérone.
Manger certains aliments, comme du persil, du gingembre, des oranges ou de l'ananas, qui accélèreraient la circulation sanguine. Faire du sport (mais pas de manière intense). On dit que cela peut déclencher les règles plus rapidement. Se détendre pour réduire le stress, qui est connu pour retarder la menstruation.
En cas de dérèglement hormonal, des traitements hormonaux pourront rétablir des règles plus régulières. Un déficit en progestérone peut, par exemple, être compensé par la prise d'un progestatif la deuxième partie du mois. Un stérilet hormonal permet également d'éviter les règles abondantes d'origine hormonale.
Les pertes blanches sont sous l'influence de la progestérone, l'hormone qui va augmenter en cas de grossesse. Si les pertes s'intensifient lorsque l'on est enceinte, elles ne sont toutefois pas forcément un signe de grossesse, mais plutôt d'ovulation.
La ménopause est la période de la vie d'une femme où les règles ( menstruations ) s'arrêtent définitivement. Elle intervient généralement entre 45 et 55 ans et en général aux alentours de 50 ans. La ménopause est un phénomène naturel.
A quel âge a lieu la ménopause ? En moyenne, la ménopause survient à 51 ans, avec de grandes variations selon les personnes. 10 à 15% des femmes seront ménopausées entre 40 et 45 ans, et la moitié avant 50 ans. La très grande majorité des femmes auront eu leur ménopause à 55 ans.
Dans les déséquilibres hormonaux on conseille : Les plantes adaptogènes (ex : basilic sacré, astragale…) : permettent de lutter contre le stress corporelle. Méditation, exercices de respiration : permettent de gérer le stress émotionnel qui a un impact direct sur les glandes surrénales notamment (cortisol et adrénaline ...
Lorsqu'on arrête la prise de Duphaston, des saignements interviennent. Ce médicament semblerait donc déclencher les règles et faire revenir un cycle menstruel normal. Or, le Duphaston est un médicament dont la molécule est une hormone proche de la progestérone : sa prise imite donc l'effet de la progestérone.
Est-ce que la progestérone retarde les règles ? Oui, de quatre jours en moyenne. Les traitements progestatifs peuvent causer un retard des règles en raison de la présence de progestérone micronisée dans les capsules, entre autres. Dès l'arrêt du traitement, les règles surviennent en général après quatre jours.
Les œstrogènes sont des hormones sexuelles primaires appartenant à la catégorie des stéroïdes. Avec la progestérone naturelle, les œstrogènes sont les substances qui conditionnent le cycle reproductif de la femme.
L'absence de règles est tout à fait naturelle lorsque, par exemple, la femme est enceinte, allaite ou approche de la ménopause. Mais en dehors de ces situations, elle peut être un signe révélateur d'un stress chronique ou encore d'un problème de santé comme l'anorexie ou d'un trouble de la glande thyroïde.
La cause peut être une vaginite infectieuse (infection à Gardenella, infection à trichomonas), une infection de l'utérus (endométrite, qui provoque alors des douleurs pelviennes médianes), ou enfin une infection des trompes (salpingite bactérienne à chlamydiae, gonocoque ou germes banaux). Il faut consulter.
Prendre 2 comprimés par prise, trois fois par jour, en respectant un intervalle minimum de 2 heures entre chaque prise sans dépasser 6 comprimés par 24 heures. Les comprimés pourront prendre le relais d'un traitement d'attaque sous forme injectable, à la posologie maximale de 6 comprimés par 24 heures.
Ovule-t-on quand on n'a pas de règles ? En théorie, non car les règles sont l'élimination de la paroi de l'utérus qui s'est épaissi suite à l'ovulation. Les médecins parlent d'une « dysovulation », autrement dit une ovulation capricieuse.
Pour déclencher vos règles rapidement, augmentez votre consommation d'aliments riches en vitamine C (comme par exemple la goyave, le kiwi, les agrumes ou le chou). Chez certaines femmes, la vitamine C pourra provoquer la contraction de l'utérus, et, avec elle, favoriser le déclenchement des règles.
Le stress est, de façon très surprenante, bien souvent à l'origine d'un retard de règles. En cas de stress aigu, vos règles peuvent n'avoir que quelques jours de retard, mais certaines femmes éprouvant un stress chronique intense peuvent passer des mois sans avoir leurs règles.
Il est donc nécessaire de la privilégier lorsqu'on cherche à augmenter naturellement sa progestérone. On trouve de la vitamine B6 dans les légumineuses (pois chiche, notamment), dans les poissons (saumon, thon, morue), dans les oléagineux (noisettes, pistaches) ainsi que dans les graines (tournesol, lin, sésame…).
De la même manière que pour les femmes enceintes, le ventre peut être gonflé durant le cycle menstruel. Et ces ballonnements sont, une fois encore, dus à l'augmentation de progestérone qui peut entraîner des inconforts intestinaux, dont des gaz.
Liste des aliments riches en progestérone
C'est le cas : des œufs, le jaune en particulier, des produits laitiers à base de lait de vache et de la volaille. ► La progestérone est une hormone sécrétée principalement chez la femme, dans les ovaires.