Étymologie. (1119) Du latin natura (« le fait de la naissance, état naturel et constitutif des choses, caractère, cours des choses, ensemble des êtres et des choses »), venant lui même de nascor (« naître, provenir »).
1. Le monde physique, l'univers, l'ensemble des choses et des êtres, la réalité : Les merveilles de la nature. 2. Ensemble de forces ou principe supérieur, considéré comme à l'origine des choses du monde, de son organisation : Rien ne se perd, rien ne se crée, c'est une loi de la nature.
Étymologie et évolution du sens
Le mot nature est attesté en français depuis 1119. Il vient du latin natura, qui désignait « le cours des choses ; le caractère naturel, la constitution, la qualité ; l'univers » et littéralement « naissance ». Le terme vient lui-même du verbe nascor (« naître »), ici au supin.
Elle est le principe de développement des êtres vivants. Par extension, la nature d'une chose signifie aussi son essence, c'est-à-dire ce qu'elle est profondément, ce qui constitue son être indépendamment des accidents qui peuvent en modifier l'aspect.
La nature peut être définie comme la part du réel qui « est par elle-même », c'est-à-dire, qui naît, est et subsiste sans intervention d'une volonté ou d'une activité humaine. Elle s'oppose alors à l'artificiel, ce qui est fait par l'art (humain).
"La nature de l'homme est la somme de ses facultés naturelles, telles que la nutrition, le mouvement, la génération, la sensibilité, la raison, etc. Nous nous accordons tous à nommer ces facultés naturelles ; elles sont renfermées dans la notion de l'homme que l'on définit un animal raisonnable."
La nature est un bien commun de l'humanité ; celui-ci devrait donc, pour des raisons morales et rationnelles, être respecté de tous, car il a une valeur patrimoniale unique. La nature constitue un capital naturel qui conditionne la vie humaine sur terre.
"Les cinq principaux facteurs de la perte de biodiversité sont les changements d'utilisation des terre (dont l'agriculture), la surexploitation (chasse pour la nourriture), les espèces invasives, la pollution et le changement climatique.
Synonyme : caractéristique, essence, propriété. – Littéraire : condition.
Les valeurs relationnelles, la valeur intrinsèque, la valeur morale, tels sont les trois types de valeurs que la nature est susceptible de présenter. Ceci dit, on sait que l'éthique de l'environnement fait partie des éthiques appliquées.
Ainsi, on ne sait pas encore avec certitude où sont apparues les premières formes de vie. Beaucoup de scientifiques croient que la vie a émergé dans les sources hydrothermales au fond des océans, alors que d'autres pensent que les premiers organismes ont évolué dans de petites mares chaudes avoisinant des volcans.
Il y a 5 milliards d'années, la Terre n'existait pas. A la périphérie de notre galaxie, la voie lactée, il n'y avait qu'un vaste nuage de gaz et de poussières. A l'origine de ce nuage : l'explosion d'une supernova. Comment ce nuage de poussières a-t-il engendré la Terre ?
Les poussières qui étaient dans le nuage se sont agglomérées pour former des « grains de sable », puis de gros rochers, et, attirés par la force de gravité, ces rochers se sont assemblés lors de violentes collisions qui ont fait fondre la roche ! Boum ! Un peu comme une boule de neige qui amasse tout sur son passage.
Traditionnellement, on nommait éléments naturels l'air, l'eau, la Terre et le feu.
La nature comme remède
Être au contact de la nature favorise notre bien-être physique et psychologique. Plusieurs études observent une réduction du stress et de la dépression, favorisée par l'environnement naturel et, à l'inverse, une amélioration de l'estime de soi, du sentiment de bonheur ou encore de la créativité.
1. Caractère propre aux êtres possédant des structures complexes (macromolécules, cellules, organes, tissus), capables de résister aux diverses causes de changement, aptes à renouveler, par assimilation, leurs éléments constitutifs (atomes, petites molécules), à croître et à se reproduire.
Pour commencer, l'écosystème nous donne des produits, comme de la nourriture et de l'eau potable. Grâce aux plants de coton et à la laine des animaux, nous pouvons fabriquer des vêtements qui nous permettent d'avoir chaud. Le bois des arbres nous permet de construire des meubles et des habitations.
Ce mot est plutôt utilisé pour parler des conditions nécessaires à la vie humaine: qualité de l'air, de l'eau et du sol; bruit; verdure; etc. Nature. Ce mot est plutôt utilisé pour décrire un milieu sauvage, sans les impacts de la civilisation.
Ensemble des propriétés fondamentales d'un être ou d'une chose. Exemple : La nature humaine. Ensemble du monde physique et des principes qui l'animent. Exemple : La nature est belle au coucher du soleil !
Elle utilise ainsi indirectement des terres situées dans ces régions et exerce ainsi une pression sur leurs écosystèmes : consommation de ressources, disparition d'habitats naturels, dont la déforestation des forêts tropicales, perte de carbone, etc.
Plusieurs solutions sont envisageables pour protéger la nature, principalement le sol contre la pollution. Les produits dangereux et les produits chimiques ne doivent pas être jetés n'importe où (dans l'égout, dans la poubelle, dans l'évier…). Il faudrait les apporter dans un centre de collecte de déchets dangereux.
Protéger l'environnement, c'est préserver la biodiversité dont nous avons besoin. La biodiversité, c'est la variété des espèces animales et végétales de la nature. Toutes ces espèces doivent être respectées et préservées, pour la seule raison qu'elles sont la création de DIEU, comme l'homme.
Ni ordre parfait, ni réservoir indéfini d'énergie, la nature est d'abord ce que l'homme y fait. La préserver ne doit pas se faire au détriment de l'homme, mais dans le sens de son propre développement. L'homme n'est ni maître, ni esclave de la nature.
Exceptés ces points, l'homme n'est pas un être de nature car sans la société, il est comme l'animal, un être de nature qui n'a que des besoins répétitifs tout au long de son existence. L'homme est un être doué et intelligent, un être de culture, qui peut parfois se permettre de briser ce qui est naturel.