Sol et exposition idéals pour planter un myrte commun au jardin. Le myrte se plante en plein soleil dans un sol plutôt sec, fertile, frais et bien drainé, à l'abri des vents froids.
Entretien du myrte
L'arrosage: il ne faut pas tremper la plante. Il faut simplement que la terre (ou le terreau) soit correctement humidifiée avec de l'eau de pluie. En période d'été comme printanière, arrosez la plante tous les jours. En automne et en hiver, réduisez les fréquences.
Comme c'est un arbuste qui craint le gel, plantez le en bac afin de pouvoir le rentrer durant l'hiver pour le ressortir aux beaux jours.
Plantez le myrte dans un sol léger , plutôt acide, bien drainé, à exposition ensoleillée et abritée des vents froids.
Plantez le myrte en avril ou mai, si possible en situation ensoleillée ; il accepte cependant une exposition mi-ombragée.
Sol et exposition idéals pour planter un myrte commun au jardin. Le myrte se plante en plein soleil dans un sol plutôt sec, fertile, frais et bien drainé, à l'abri des vents froids.
Décongestionnante respiratoire, veineuse, lymphatique et prostatique. Grâce à sa richesse en alpha pinène et en limonène, l'huile de myrte vert tonifie les parois veineuses et contribue à améliorer la circulation sanguine et lymphatique.
Le Myrte est un arbuste très présent dans le maquis corse. Il fleurit dès le mois de juin et sa floraison se prolonge jusqu'en octobre.
La myrte est un arbuste de la même famille que l'eucalyptus ou le giroflier, qui donne le clou de girofle, présent dans tout le maquis du bassin méditerranéen, notamment en Corse, en Sardaigne et en Sicile. Son odeur est aromatique, résineuse, cireuse, légèrement fruitée.
Le myrte est un arbrisseau très répandu dans les maquis du pourtour méditerranéen qui se révèle être très polyvalent en gastronomie. Ses branches, ses feuilles ainsi que ses boutons floraux sont utilisés comme aromate et condiment pour relever le goût des plats de viandes ou de poissons.
En infusion, elles sont astringentes, digestives et luttent contre les diarrhées infantiles. Des feuilles fraîches, on extrait une huile essentielle qui a des propriétés antibiotiques et antiseptiques recommandées dans les infections respiratoires et urinaires.
La récolte du myrte, une étape importante
Il faudra attendre que celles-ci soient bien mûres et même légèrement fripées pour les récolter en hiver. La meilleure période de récolte s'étend de décembre à janvier si possible en lune montante afin que toutes les saveurs soient stockées dans les fruits.
Le myrte est un arbuste très courant dans la nature, tout particulièrement dans le Bassin méditerranéen. Il se distingue à ses feuilles ovales et pointues. Ses fleurs blanches à l'arôme poivré laissent place à des baies. Longtemps oubliées, ces baies permettent pourtant de réaliser de délicieuses recettes.
Après avoir lavé et essuyé les myrtes, plongez les dans un bocal ou une bouteille en verre (1 litre minimum). Recouvrez les fruits d'eau de vie et fermez hermétiquement soit avec un joint dans le cas d'un bocal ou à l'aide d'un bouchon en liège pour la bouteille en verre.
Arrosage: Gardez la motte racinaire humide, ne laissez jamais sécher complètment, mais évite les excès d'eau. La sécheresse tuerait l'arbre immédiatement. Utilisez de l'eau de pluie idéalement si possible, le myrte n'aimant pas la forte concentration en calcaire.
La plante est parfois appelée myrtillier ou arbrêtier. Étymologiquement, la myrtille est un myrte de petite taille, du latin myrtus lui-même issu du grec murtos. Malgré leur vague ressemblance, le myrte et la myrtille n'ont pas de proche parenté biologique.
* Le Myrte est une des plantes emblématiques du maquis corse. Il y prolifère, donnant des petites baies rondes et parfumées. Celles-ci arrivent à maturité de décembre à février. Lorsque leur peau se fripe, on peut procéder à la cueillette.
Dès l'Antiquité, elle est utilisée par les Grecs comme traitement assainissant des voies respiratoires et de la toux. L'huile essentielle de Myrte rouge (Myrtus communis L.) est extraite des feuilles par distillation à la vapeur d'eau. Ses molécules principales sont le 1,8-cinéole, l'α-pinène et l'acétate de myrtényle.
Le romarin est une plante originaire du bassin méditerranéen aux multiples bienfaits, grâce à ses actions antimicrobienne, antimycosique et anti-inflammatoire. Il peut soulager les problèmes d'hypertension, de toux et de foie.
Les préparations à base de plantes sont préconisées contre les bronchites, les sinusites, les otites, les diarrhées et les hémorroïdes. Les fruits constituent un remède contre la dysenterie, l'entérite et les hémorragies [2]. Aujourd'hui, le myrte est connu pour ses propriétés anti-inflammatoires et hypoglycémiantes.
En outre, en réduisant ses rameaux, vous vous priveriez de ses fleurs parfumées et de ses baies rafraîchissantes. Cependant, le myrte étant moyennement rustique (–10° C), couper ce persistant avant fin août pour qu'il produise de nouvelles pousses assez endurcies avant l'hiver.
Thuya (Thuja), photinia (Photinia), laurier-palme (Prunus laurocerasus), laurier-tin (Viburnum tinus), cotonéaster (Cotoneaster), aucuba du Japon (Aucuba japonica), fusain (Euonymus fortunei)… Ils sont très faciles à cultiver quels que soient le climat et le sol de votre jardin.
Par voie cutanée, 1 goutte de Myrte Rouge dans 4 gouttes d'huile végétale à appliquer sur le ventre après le repas. À partir de 6 ans. Par voie orale, 1 à 2 gouttes de Myrte Rouge sur un support neutre 2 fois par jour pendant 5 à 7 jours. Ne pas utiliser en ingestion chez les enfants sans avis médical.
Le myrte (ou "myrthe") est donc l'arbre sur lequel poussent les fameuses baies et s'épanouissent des fleurs blanches odorantes et de belles feuilles persistantes. Tout s'utilise sur cette plante du maquis ; et l'on obtiendra en distillerie, selon les ingrédients retenus, de la liqueur de myrte rouge ou blanche.
Le vin de myrte produit selon cette recette a une couleur rose éclatant, fuschia translucide, et des saveurs extraordinaires et multiples. A consommer frais (avec modération, le mélange est très chargé en alcool) par ex au goûter de grands, pour accompagner du brucciu, ou un fiadone.