La toxicité de son venin fait de la veuve noire l'une des araignées les plus dangereuses du monde, et elle doit son nom à sa propension à tuer son partenaire après l'accouplement. La femelle veuve noire possède des glandes et crochets à venin plus développées que le mâle.
Les semelpares sont souvent des insectes, par exemple les éphémères et les abeilles mâles. Il y a aussi quelques espèces de calamars et des saumons d'Atlantique. Ces espèces pratiquent une reproduction dite suicidaire parce que la plupart du temps, les individus de ces espèces meurent après l'acte de reproduction.
La mante religieuse dévore le mâle durant l'accouplement.
Si elle est connue et réputée pour le fait de dévorer ses proies en les broyant littéralement, ce qui lui permet d'engloutir parfois des insectes plus gros qu'elle, cette pratique de prédatrice sexuelle prend tout de même son sens.
Bien que populaire, le cannibalisme sexuel est plutôt rare dans le monde animal. La plupart des exemples se retrouvent parmi les Araignées, les Mantes religieuses, mais aussi chez quelques Scorpions, Hyménoptères, Amphipodes, Isopodes et Serpents.
Cela serait fait dans une notion de survie. En effet, il s'il n'y a pas suffisamment de nourriture à proximité, la femelle va dévorer le mâle au cours, ou après, de la copulation. Cela lui donnera assez de protéines pour porter ses œufs, ce qui lui permettra d'avoir ses petits dans les meilleures conditions possibles.
La mante religieuse est surtout connue pour sa réputation de dévoreuse de mâle après l'accouplement. Mais rassurez-vous, malgré sa grande taille, cet insecte originaire du bassin méditerranéen, ne fait pas partie des nuisibles au jardin.
Le mâle poursuit la femelle, lui mord la tête, les membres, l'immobilise contre un obstacle puis la féconde.
En effet, pour satisfaire son appétit féroce -- et pour donner plus de chance à la reproduction --, la mante religieuse ne recule devant rien. Elle s'adonne ainsi sans retenue à ce que les chercheurs appellent le cannibalisme sexuel et dévore généralement en entier les mâles un peu trop légers.
On confond souvent les mots anthropophage et cannibale mais il y a bien une différence entre les 2 termes. Le premier signifie "qui mange de la chair humaine" et le second "qui mange sa propre espèce". Certains animaux comme le requin sont anthropophages, et d'autres comme la mante religieuse sont cannibales.
La mante religieuse mange-t-elle vraiment le mâle ? Et oui, le cannibalisme que l'on prête à la mante religieuse n'est pas une légende. Cela peut arriver que madame dévore monsieur pendant la saison des amours, en fin d'été (août à octobre). Mais uniquement si elle a faim durant l'accouplement.
Locution nominale
(Par extension) Femme cruelle et dangereuse (parce que la femelle de l'insecte dévore le mâle après l'accouplement).
Alors qu'il semble nonchalant, l'éléphant d'Afrique est pourtant, parmi tous les animaux recensés sur la planète, celui qui dort le moins. En liberté, il ne s'assoupit en effet que… deux heures par nuit en moyenne. Une particularité liée à son métabolisme.
La pieuvre est incontestablement une mère dévouée. Des chercheurs ont observé une femelle veillant sur ses petits pendant près de quatre ans et demi. Elle meurt après l'éclosion. Une pieuvre femelle défend ses œufs jusqu'à la mort – au sens strict.
Outre les primates, les dauphins sont l'une des principales espèces utilisant le sexe pour créer et maintenir un lien social. Ils ont des relations sexuelles - y compris entre femelles et entre mâles - toute l'année, et le clitoris des femelles est placé de telle sorte qu'il peut être stimulé pendant l'acte.
Une araignée femelle Pisaurina mira et un sac d'oeufs. L'araignée mâle Pisaurina mira a trouvé une solution pour survivre au cannibalisme sexuel qui prévaut chez de nombreuses espèces d'araignées. Pour empêcher la femelle de le dévorer pendant ou après l'accouplement, le mâle lui attache les pattes.
Chez une espèce d'araignée qui pratique le cannibalisme sexuel, le mâle va faire le mort pour éviter d'être mangé. Chez d'autres espèces, les mâles endorment les femelles, tandis que d'autres recherchent et s'accouplent avec des femelles qui sont déjà occupées à manger leurs partenaires sexuels antérieurs.
Peu survivent, car elles sont très fragiles à l'état larvaire et demeurent des proies faciles pour les araignées, les lézards, les oiseaux et même les fourmis ! La mante religieuse est également connue pour ses amours tumultueuses.
Se cacher durant la reproduction pourrait protéger de la vulnérabilité offerte par ce moment. L'interférence sociale. Une certaine discrétion octroyant plus de tranquillité, afin que d'autres individus n'interfèrent pas. Ou encore l'exclusivité.
Des préhistoriens espagnols ont découvert, sur le site d'Atapuerca au nord de l'Espagne, une quinzaine de gravures sur pierre et de sculptures faisant état de scènes sexuelles paléolithiques explicites (allant de la masturbation au voyeurisme).
C'est pourquoi, la reproduction entre nos deux espèces n'est pas envisageable. Si une expérience tentait de féconder in vitro un ovule de chimpanzé et un spermatozoïde humain ou l'inverse, personne ne peut dire ce que cela produirait.
Si elle pense que son petit n'a aucune chance de survie, elle peut prendre très vite la décision de le tuer afin de réserver son lait et ses soins à ceux bien portants et éviter de contaminer le reste de la portée. Et pour mettre fin à ses jours, elle est obligée de le « manger ».
Les abajoues servent à transporter la nourriture
Les hamsters font des réserves de nourriture en prévision des jours où la nourriture manquera.
Et pourtant il n'est pas rare ques des animaux s'entre-dévorent : chiens, rats, hyènes, lions aussi quoique plus annecdotique (plus des lionceaux d'ailleurs), crocodiles et alligators, poulets, corbeaux, pigeons, crabes, poissons, cafards, araignées, scorpions, fourmis... Effectivement.
Les gendarmes (Pyrrhocoris apterus) vivant en groupe, s'accouplent au début du printemps (abdomens collés ensemble) et pondent leurs œufs (noirs ou blancs) au printemps dans des feuilles mortes ou dans un petit trou dans le sol.