Pour l'utilisation en pâturage pour le cheval, on choisira pour le semis des variétés de préférence gazonnantes, résistantes au piétinement (variétés diploïdes), et tardives (qui épie tardivement).
Semez à une profondeur de 1,0-1,5 cm. Roulez le lit de germination directement après le semis. Veillez à ce que la terre soit bien humidifiée après le semis et ce jusqu'à ce que la graminée soit bien installée. Lorsque l'herbe atteint une hauteur de 6-8 cm, il est recommandé de la fertiliser.
Quand semer ? Préferer un semis de fin d'été (mi-août à mi-septembre) quand le sol est encore chaud et les adventices moins agressives qu'au printemps ; ne semez pas trop tard afin que les jeunes plantes soient suffisamment développées pour résister aux premières gelées.
Cette plante médicinale a des propriétés reconstituantes et revitalisantes, immunostimulantes, aide à lutter contre les désagréments des inflammations, favorise l'élimination des toxines et calme les spasmes. Le Trèfle rose est conseillée pour les chevaux fatigués ou convalescents (riche en Fer).
Les plantes à la plus haute toxicité pour les chevaux sont l'ellébore, l'euphorbe, la belladone, l'absinthe et l'aconit. Le cheval est doté d'un solide instinct et l'ingestion de ces plantes est souvent accidentelle.
Les quatre herbes de base que l'on doit trouver dans une prairie de qualité pour les chevaux sont les suivantes : pâquerette. achillée. plantain lancéolé
Pour un cheval de selle de 550 kg, on estime la consommation moyenne d'herbe à 50 kg d'herbe fraiche par jour (accès en libre service au pâturage sur une prairie bien enherbée).
Fertilisation à partir d'effluents d'élevage
Les effluents de vaches sont les plus adaptés à une prairie pour chevaux. Pour obtenir un rendement maximal, il faut compléter les effluents d'élevage par plusieurs petits apports d'engrais chimiques (4-6 fois par an).
Les mélanges de graines qui comprennent des fleurs annuelles et des vivaces craignant le gel se sèment au printemps, entre mars et juin. Toutefois, la période idéale de semis, dans la plupart des cas, se situe au début de l'automne, en septembre et octobre : ainsi, les espèces vivaces rustiques vont mieux s'enraciner.
La profondeur du semis doit être contrôlée et mesurer environ 1 cm. Si le sol a été travaillé, il est conseillé de rouler avant, puis après le semis. Enfin, il est recommandé de semer sur une surface la plus plane possible. »
Une prairie fleurie sur un sol vierge
En choisissant judicieusement les graines, on va semer une prairie et améliorer le sol en même temps. Dans un premier temps, il faut observer ce qui pousse dans les prés voisins pour avoir une première orientation. Puis on complète avec des espèces botaniques de même milieu.
Quand gyrobroyer et herser ??
Bonjour, La herse se passe au printemps pour aérer et favoriser la pousse de l'herbe. Le gyro c'est en fin de pâture pour nettoyer le terrain.
Évitez de le faire lorsque le sol est humide, surtout si c'est un sol argileux et lourd. Attendez plutôt que le sol soit sec avant de semer. Semer un pré fleuri est très similaire à semer une pelouse, mais au lieu d'utiliser un semoir mécanique, on sème à la volée (à la main).
Les opérations d'entretien de la prairie doivent être effectuées régulièrement pour conserver un couvert fermé. On retiendra, en priorité, l'ébousage d'arrière-saison et le hersage de fin d'hiver. Ces travaux s'effectueront toujours sur un gazon court et avant la reprise de la pousse ou de la repousse.
Votre cheval se nourrit à la fois d'herbe (s'il a la chance de disposer d'un pré), de fourrages (foin, paille…), d'aliments concentrés (grains de céréales en l'état ou aliments élaborés contenant céréales, tourteaux, co-produits, minéraux, vitamines…) et de certains fruits et légumes dont il est souvent très friand ( ...
Le cheval est un herbivore, il mange : De l'herbe pâturée, potentiellement de 50 à 100 kg bruts par jour si elle est disponible et en fonction de ses besoins physiologiques. Des fourrages conservés (foin, enrubannage et ensilage, paille)
Les choix judicieux sont : la luzerne, l'avoine verte, la paille d'orge, l'herbe et les granulés de minéraux avec du calcium et du phosphore dans le foin. Ce type d'alimentation libère l'énergie progressivement tout en donnant à votre cheval la résistance nécessaire.
L'herbe du printemps est un aliment très riche en nutriments et elle est très facile à digérer. L'herbe à ce temps ci de l'année est plus élevée en humidité (75-85%), protéine (plus de 20%), énergie, sucres, vitamines et minéraux, qu'à d'autres moments de l'année.
La technique consiste à regarnir la prairie sans détruire la flore existante. Le sursemis nécessite un fond prairial composé au minimum de 30% de ray Grass anglais, trèfle blanc ou autres bonnes espèces.
L'irrigation se fait par pivot et enrouleur sur la base de 20 mm par apport (12 passages) pour 240 mm. L'éleveur prévoit de revoir son busage pour augmenter le débit et di- minuer la hauteur d'apport, afin d'augmenter l'efficience des apports.
Le pissenlit est reconnu pour contribuer au bon fonctionnement des reins du cheval. Cette plante possède aussi une action dépurative grâce au soutien de la fonction hépato-biliaire. Le pissenlit est une plante vivace commune en Europe dans les prairies, champs et bords de chemins.
La menthe est traditionnellement employée pour ses propriétés stimulantes, pouvant soulager les spasmes gastro-intestinaux, les troubles digestifs mineurs, carminative. C'est une plante particulièrement utile pour aider la digestion et les chevaux sujets aux flatulences.
Mort en 3 jours. Le cytise : très fréquent dans les jardins, toute la plante est toxique. Le cheval tente de vomir, puis convulsion et coma.