éviter les alitements prolongés, éviter la prise de contraceptifs œstroprogestatifs ou de traitements hormonaux substitutifs de la ménopause si un antécédent familial d'embolie pulmonaire est présent, lutter contre l'obésité, boire une quantité suffisante d'eau pour améliorer la circulation.
Chez le patient sous anticoagulants, il convient de déterminer quel sport est envisageable : la pratique de sports comme le footing, la natation ou le golf n'est pas à risque. En revanche, les sports de combat ou les sports à risque de chute comme le cyclisme ou le ski sont fortement déconseillés.
« Notre expérience clinique nous disait que certains patients qui avaient eu une embolie pulmonaire présentaient un essoufflement et de la fatigue chronique longtemps après le traitement et la guérison de l'EP », a expliqué la docteure Kahn, fondatrice et directrice du Centre d'excellence en thrombose et ...
- Éviter de dormir pendant des périodes prolongées (le risque de phlébite est plus élevé au bout de deux heures de sommeil). Pour dormir, surélever les jambes si l'espace disponible le permet.
Comment évolue une embolie pulmonaire ? Dans la plus part des cas, très bien, la guérison se fait sans séquelle, les caillots sont progressivement détruit par l'organisme.
Les poissons gras (saumon, sardine, maquereau, hareng...)
Les omega 3 ont un effet hypocholestérolémiant avéré (qui font baisser le taux de lipides dans le sang) ainsi que des vertus protectrices des vaisseaux sanguins, qui permettent d'éviter la formation de caillots sanguins.
Le plus souvent, le traitement d'une embolie pulmonaire commence par l'administration d'une héparine, de fondaparinux sodique, ou d'anticoagulants oraux directs (selon les particularités du patient et la gravité de l'embolie). Ce traitement est poursuivi pendant cinq à neuf jours.
Le traitement anticoagulant
En cas de phlébite (ou thrombose veineuse) des membres inférieurs, le risque d'embolie pulmonaire est important.
L'idée est de dormir en position inclinée plutôt qu'allongée : cela permet d'atténuer la pression sur les sinus et de dégager les voies respiratoires. Résultat : on respire mieux et l'endormissement est facilité.
L'héparine fluidifie le sang, mais de nouveaux médicaments qui brisent activement les caillots (thrombolytiques) pourraient agir plus rapidement et pourraient être plus efficaces. Ces nouveaux médicaments comprennent la streptokinase, l'urokinase et l'activateur tissulaire recombinant du plasminogène.
Son pronostic dépend du risque de décès qui peut survenir en quelques heures ou en quelques jours si rien n'est fait. Dans des cas plus rares, elle peut être très rapide et provoquer la mort en quelques minutes, c'est ce qu'on appelle une embolie pulmonaire "foudroyante".
Les embolies pulmonaires sont dues à l'obstruction d'une artère pulmonaire par un embole, c'est-à-dire un élément solide qui se coince dans cette artère. Le plus souvent, l'embole est un caillot sanguin.
Le brocoli, le chou, les épinards, la laitue, l'avocat ne s'accordent absolument pas avec les traitements anticoagulants oraux. La richesse en vitamine K (la vitamine de la coagulation) de ces végétaux réduit l'efficacité de ces médicaments, au point de pouvoir favoriser des caillots.
Améliorer sa circulation sanguine grâce au sport
La régularité et la répétition des mouvements permettent un bon retour veineux. Ce sont les mollets qui activent le retour du sang vers le cœur.
Le principal risque associé à la prise d'un médicament anticoagulant est le risque hémorragique. Un accident hémorragique peut survenir avec tous les anticoagulants et à tout moment, mais il est plus fréquent et plus grave en cas de surdosage médicamenteux.
L'estomac et le pancréas sont situés au niveau du côté gauche de notre corps. Lorsque nous dormons sur le côté droit, le corps doit lutter contre la gravité. Cela engendre une certaine pression sur l'estomac et le pancréas, les empêchant ainsi de fonctionner correctement.
Ce peut être aussi un essoufflement à l'effort. Il est souvent déclenché par des facteurs précis : allergie, tabac, pollution, stress, rire, parfums, sport, cycle menstruel... ». L'essoufflement peut être en rapport avec des maladies plus graves mais aussi plus rares : cancer, fibrose pulmonaire, etc.
Les symptômes de l'embolie pulmonaire
La douleur thoracique, la sensation de gêne respiratoire associées à une sensation d'angoisse prédominent assez souvent. L'électrocardiogramme, comme l'échocardiographie, peuvent mettre en évidence la mauvaise tolérance cardiaque d'une embolie pulmonaire grave.
L'embolie pulmonaire est six fois plus fréquente après 85 ans qu'avant 60 ans.
R8. 4 — Il est recommandé d'hospitaliser en réanimation ou en soins intensifs les patients présentant une EP à haut risque de mortalité caractérisée par un état de choc et/ou une hypotension persistante (Grade 1+).
Prévention de la maladie thromboembolique veineuse
- Mobilisation précoce est recommandée dès que possible (Grade B des recommandations). Le repos strict se limitant à 1 ou 2 jours dans le cas de thrombose veineuse profonde grave avec thrombus mobile dans la lumière du capillaire veineux.
L'héparine est un médicament largement utilisé pour prévenir la coagulation sanguine. Son action, limiter l'anticoagulant naturel dans le corps. Cette recherche, mené chez l'animal, révèle ici un nouvel effet, son effet promoteur de l'apport alimentaire et d'augmentation du poids corporel.
Manger beaucoup de légumes verts et d'autres aliments nutritifs riches en vitamine K, comme les huiles d'olive, de soya et de canola, peut aider à stabiliser le traitement anticoagulant, en plus d'offrir de nombreux autres bienfaits pour la santé.