Beaucoup de données justifient l'idée que le cerveau est bien le siège de l'intelligence. La psychologie cognitive permet d'aller plus loin et d'analyser le détail des activités cérébrales susceptibles d'être influencées par l'intelligence, ou même de déterminer le niveau d'intelligence.
L'hémisphère gauche prendrait en effet majoritairement en charge ce qui est analytique : les chiffres, les calculs et tous les processus liés à la numération. Mais à lui reviendrait aussi l'essentiel du traitement du langage, à l'oral comme à l'écrit.
Lobe temporal : Le lobe temporal est situé dans la région du cerveau que les gens appellent communément les tempes. Ce lobe est responsable de l'apprentissage, de la mémoire, de la compréhension du langage (l'aire de Wernicke) et de l'organisation.
Ces résultats présentent des intérêts certains pour des applications cliniques. Par sa position anatomique, juste derrière les yeux, le lobe frontal est l'une des premières régions à être lésée consécutivement à un traumatisme crânien reçu de face.
L'encéphale représente la partie majeure du cerveau humain et est associé à des fonctions supérieures comme le contrôle des comportements volontaires.
Tout ce que nous pensons, sentons ou désirons résulte de l'activité de dizaines de milliards de neurones dans notre cerveau.
Le test de Folstein permet de vérifier que votre cerveau est toujours en forme. Il est très utile, car il arrive, quand on atteint un certain âge, que l'on ait des trous de mémoire ou des troubles de l'attention.
Chez l'homme et chez les primates non humains, la mémoire est stockée dans des réseaux de neurones du cortex, qui s'enchevêtrent.
On présente souvent le cerveau gauche comme associé au raisonnement logique et rationnel, le cerveau droit étant plutôt intuitif et émotionnel. Il y aurait ainsi des personnalités plutôt « cerveau gauche » ou « cerveau droit », qui utiliseraient plus un côté du cerveau que l'autre.
L'hémisphère droit, lui, serait le lieu où le cerveau perçoit la notion d'espace, la pensée sans langage, le rêve, l'imagination, les couleurs, l'intuition, la synthèse. Il pourrait associer simultanément plusieurs concepts, et procéderait plutôt par association d'éléments disparates.
Avec près de 40 millions de récepteurs olfactifs disposés dans la cavité nasale, l'être humain est en mesure de reconnaître et de distinguer différentes odeurs dans notre environnement. Certains, à l'image de Marcel Proust, considèrent la mémoire olfactive comme “la forme la plus tenace du souvenir”.
Il existe quatre cerveaux décisionnels : le néocortex préfrontal, les territoires reptiliens, le cortex automatique et les territoires paléo-limbiques.
Alors nous sommes tous intelligents ? En effet, selon le psychologue Howard Gardner, nous sommes tous des êtres dotés d'intelligences multiples qui nous aident à être compétent dans différentes disciplines. Ainsi chaque personne a une série de limites et de potentiels dans différents domaines.
L'intelligence humaine est caractérisée par plusieurs aptitudes, surtout cognitives, qui permettent à l'individu humain d'apprendre, de former des concepts, de comprendre, d'appliquer la logique et la raison.
L'hippocampe est une petite partie du cerveau, de la cinquième circonvolution temporale précisément, qui se situe à l'intérieur des lobes temporaux et appartient au système limbique, nom donné à plusieurs structures du cerveau qui jouent un rôle important dans le comportement, la mémoire et certaines émotions.
Les principales fonctions
Siège des émotions. Lieu de production du langage. Contrôle des mouvements complexes.
Dans le cerveau, l'hippocampe, primordial pour la mémoire à court terme, bat le rappel de différentes traces de la mémoire pour former un souvenir. Dans le cerveau humain, l'hippocampe est une structure bilatérale (en rouge).
Stimuler son cerveau en restant actif et en s'entraînant régulièrement sur une ou plusieurs tâches permet donc de devenir plus performant. En effet, les neurones se connectent plus vite au fur et à mesure, permettant à l'information d'être transmise et traitée plus rapidement.
Une récente étude de l'université américaine de Rochester menée par le chercheur Maiken Nedergaard démontre que la position latérale serait la meilleure pour retrouver un cerveau tout neuf au saut du lit puisqu'elle permet une élimination plus efficace des déchets cérébraux.
2) L'overthinker a besoin d'être souvent rassuré pour être à l'aise dans une relation. Ce qui caractérise ceux qui sur-analysent, c'est un certain inconfort dans la perception que les autres ont d'eux. Dans la recherche de contrôle, ils sont aussi à la recherche de l'approbation générale.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
La réflexion excessive vous donne l'impression de stagner, de faire du sur-place. Sans une réaction immédiate, ce sentiment de rester coincé au même niveau est capable de mettre en danger votre bien-être et votre santé. Les dangers les plus redoutés sont la vulnérabilité, l'anxiété et la dépression.