Optez pour une place sur les ailes. Vous verrez moins le paysage si vous êtes côté hublot mais c'est là que les secousses se ressentent le moins. À l'inverse, évitez tant que possible les rangs au fond de la carlingue, c'est là que vous les ressentirez le plus.
Les soubresauts y sont plus atténués qu'ailleurs. Si votre phobie est très avancée et qu'au moindre trou d'air vous redoutez la catastrophe aérienne, alors les sièges du fond de l'avion sont les plus sûrs. Statistiquement, en cas de crash, vous aurez plus de chance de survivre en queue d'avion qu'au milieu ou en tête.
La meilleure place en classe économique se situe à l'avant à condition de ne pas être trop près du “galley” (cuisine) et des toilettes. Si votre siège est situé près ou au-dessus des ailes, vous risquez de ne pas pouvoir profiter pleinement de la vue. Sauf si vous êtes installé côté fenêtre.
Pour avoir la meilleure vue, il faudra choisir une place à côté d'un hublot, mais pas au niveau des ailes ou juste derrière le niveau de celles-ci. Si vous voulez dormir, les places à côté des hublots permettent de s'appuyer sur la paroi de l'avion et de ne pas être dérangé.
Si vous voulez ressentir le moins possible les mouvements et les turbulences de l'avion, la meilleure place sera au milieu de l'appareil au niveau des ailes. Cependant, cette place est la plus exposée en cas d'accident puisqu'elle se trouve au niveau des réservoirs.
Une étude de l'American College of Chest Physicians publiée le 7 février dans la revue Chest, montre que les passagers qui voyagent côté hublot lors d'un vol de plus de six heures, ont plus de risques de développer des caillots de sang dans les jambes selon le site 121doc.net.
En cas de turbulences, on choisit les ailes
"Pour la simple et bonne raison que c'est le centre de gravité de l'avion et donc la partie la plus stable", avance Joachim Coursimault. En revanche, évitez l'arrière de l'appareil qui risque de rapidement bouger en cas de trous d'air, surtout si vous avez le mal de l'air.
Où sent-on le plus les turbulences ? Voici où les opinions divergent. Il y a ceux qui disent que c'est la partie avant de la machine qui est la plus vulnérable, d'autres assurent que c'est à l'arrière que l'on se sent le plus mal à l'aise.
Cela concerne aussi les gels, pâtes, aérosols... Les liquides et aérosols doivent être contenus dans des flacons de 100 ml maximum chacun. Ils doivent être placés dans un sac en plastique, transparent et refermable, d'une contenance maximale de 1 litre (20 x 20 cm environ). Un seul sac est autorisé par passager.
Le choix se fait lors de l'enregistrement en ligne, dès 30 heures avant le départ du vol, et à l'aéroport.
Locution nominale. (Aéronautique) Perte de portance due à une perturbation atmosphérique. (Figuré) Trou, manque ou irrégularité dans une série d'événements.
Si l'on en croit la compagnie aérienne Ryanair, certaines rangées de sièges sont plus spacieuses que d'autres. Ainsi, si vous souhaitez étendre vos jambes pour être plus à l'aise pendant votre vol, choisissez les rangées 1 A,B,C et 2 D,E, F ainsi que les rangées 16 ou 17.
L'A330 : l'avion le plus confortable du marché
Dernier conseil pour voyager confortablement : choisir si possible son avion. En effet, tous les avions ne se valent pas en commodité. Aujourd'hui, le long courrier le plus confortable du marché est l'A330 d'Airbus.
Le vol par temps orageux génère souvent des turbulences anxiogènes à bord des avions. C'est surtout en phase de décollage et d'atterrissage que les nuages peuvent créer des turbulences mais, en altitude de croisière, un avion de ligne vole la plupart du temps au-dessus de la zone orageuse.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
Selon un rapport sur la sécurité aérienne rédigé par la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), en 2019, on dénombrait 0,21 accident mortel de passagers par million de vols et 0,15 accident mortel de passagers par milliard de km parcourus. Autrement dit, un accident mortel survient tous les 5 millions de vols.
Tout d'abord, cela permet à vos yeux de s'adapter à la luminosité extérieure. Si vous volez de jour, vous ne vous retrouverez pas à sortir en plein soleil d'un appareil plongé dans le noir en clignant des yeux ; si c'est un vol de nuit, vous verrez mieux !
1. S'asseoir vers le fond pour maximiser ses chances de survivre à un crash éventuel. La plupart des études sont formelles : les passagers en queue d'avion ont 40% de chances de plus de survivre à un crash que ceux situés tout devant. Après, c'est 40% d'environ 0% de chances de survie, hein, mais 40% quand même.
En effet, au décollage ou à l'atterrissage, le personnel de bord a besoin que les stores des hublots soient ouverts afin de pouvoir s'apercevoir le plus rapidement possible s'il y a un problème à l'extérieur de l'avion. Ainsi, il n'y a aucun angle mort ou presque.
Prévoyez un coussin de voyage, des bouchons d'oreilles, un masque pour les yeux. En cas de jambes lourdes, enfilez des bas de contention. Et surtout, pensez à bien vous hydrater pendant le vol.
Pour atténuer ces symptômes, essayez d'obtenir une place au milieu de l'avion, là où les mouvements sont moins perceptibles. Allongez votre siège autant que possible et restez allongé sans bouger, la tête penchée en arrière. Évitez les repas trop copieux et l'alcool.
Le décollage et l'atterrissage d'un avion peuvent causer un véritable stress et de la tension. Il peut alors être judicieux d'opter pour un vol sans escale, si vous avez le choix (et le budget) pour cela.
Si vous avez acheté l'option Bagage enregistré de 10 kg, vous pouvez prendre votre petit sac avec vous à bord, mais votre grand bagage à main (jusqu'à 10 kg et mesurant 55 cm x 40 cm x 20 cm) doit être déposés au comptoir de dépôt des bagages avant de passer le contrôle de sécurité.