La largeur de la semelle correspond environ à 0,5 à 0,66 × hauteur, avec un minimum de 40 cm. La partie de la semelle côté mur visible (la plus courte) est de 0,15 à 0,20 × hauteur. Avec des parpaings classiques, la largeur de mur est de 20 cm (épaisseur minimale).
Le poids et la taille de votre mur en parpaings.
Généralement, les fondations d'un mur en parpaings de 2 m sont profondes d'environ 20 à 30 cm.
Il s'agit d'éléments en béton que l'on superpose pour créer un mur ou un muret. Une semelle de béton est nécessaire sous le premier rang, puis sur le dernier en hauteur. Il suffit ensuite de remplir de terre les espaces réservés à cet effet et d'y ajouter des plantes.
Le mur de soutènement auto-stable
Ce type de mur de soutènement est construit en béton armé ou en parpaing. On le reconnaît à sa forme de T renversé ou de L. La partie la moins longue est recouverte par la terre qui, elle-même, contribue à soutenir la structure.
Pour monter un mur de soutènement, la solution la moins chère serait celle du bloc à bancher. En effet, cette solution permet de mettre en oeuvre des coffrages préfabriqués, ce qui reste le moins onéreux.
Un mur de soutènement peut se révéler utile lorsqu'on possède un terrain en pente, qu'on veut créer une terrasse ou aménager un massif de fleurs ou un potager à l'horizontal.
La largeur de la semelle correspond environ à 0,5 à 0,66 × hauteur, avec un minimum de 40 cm. La partie de la semelle côté mur visible (la plus courte) est de 0,15 à 0,20 × hauteur. Avec des parpaings classiques, la largeur de mur est de 20 cm (épaisseur minimale).
Nivelez le sol et déposez un lit de sable grossier pour créer une assise stable. Placez les moellons les plus volumineux à la base puis montez progressivement le mur, rang par rang, en remblayant le vide au dos de l'ouvrage avec de la terre.
Dans le cas d'un terrain stable, des fondations superficielles peuvent suffire pour votre maison. La profondeur des fondations est alors de 50 cm à 3 m. Il existe plusieurs formes de fondations superficielles : semelle filante ou continue : les fondations en béton armé suivent la longueur des murs porteurs.
La semelle de fondation doit avoir au moins 40 cm de largeur. Pour supporter des murs de soubassement, comptez 2,5 à 3 fois l'épaisseur de la maçonnerie : soit 50 à 60 cm pour des parpaings de 20 cm. Sa hauteur est proportionnelle à sa largeur, sans jamais être inférieure à 20 cm.
Dans le cas de figure où le mur mesure 3 mètres de haut, il faut mettre en place une fondation, c'est-à-dire une semelle filante de type 15-35 en 8 ou en 10 en fonction du terrain puis couler ensuite entre 35 et 40 cm de béton.
Pour un mur ayant une taille supérieure à 1,5 mètres, on privilégie une semelle filante de 6 barres, qui est plus haute que la précédente. En prenant en compte la hauteur de la semelle, vous aurez besoin d'une fondation de ~25 cm environ.
Contrairement à un mur de clôture, un mur de soutènement peut être construit sans déclaration préalable mais il faut qu'il ait vraiment une fonction de soutien.
Les murs de soutènement de grande longueur sont recoupés régulièrement par des joints de dilatation ou par des joints de rupture, tous les 8 à 10 m environs afin d'admettre de légers déplacements des éléments les uns par rapport aux autres sans mettre en péril la stabilité de l'ensemble.
Le ferraillage du mur de soutènement se compose de fers horizontaux placés dans les blocs de coffrage à tous les rangs ainsi que de fers verticaux plus ou moins espacés selon les consignes du bureau d'études (tous les 20 à 50 cm). Les aciers utilisés sont des fers tores de 10, 12 voire 14mm de diamètre selon les cas.
Le coût dépend essentiellement du matériau choisi : Un mur de soutènement en parpaings : va coûter entre 150 et 300 € en moyenne par m2. Un mur de soutènement en béton armé : coûte entre 200 et 300 € du m2 en moyenne. Un mur de soutènement en gabion : coûte entre 300 et 400 € du m2 en moyenne.
Les matériaux qui peuvent être utilisés pour leur réalisation sont : Maçonnerie de pierre jointoyée, de béton non armé ou en béton cyclopéen (blocs de pierres ou moellons noyés dans le béton) coulé en place. Maçonnerie de pierres sèches ou pierres non jointoyées et/ou gabion.
Le mur de soutènement est présumé appartenir à celui des deux voisins auquel il est utile, c'est-à-dire à celui dont le terrain est soutenu. La Cour de cassation a donc jugé qu'un tel mur ne devait pas empiéter sur le terrain du voisin.
Il faut en moyenne 2 à 6 tonnes de pierres par m2 d'enrochement. Pour sécuriser un terrain à forte pente, il faut 5 à 6 tonnes de pierre par m2 de soutènement. Un enrochement paysager à faible dénivelé ne nécessitera par contre que 2,5 tonnes de pierre par m2.
Un mur de soutènement est une paroi qui retient la pression d'une hauteur de terre souvent supérieure ou égale à deux mètres. Il permet de prévenir les glissements de terrain. On le retrouve avant tout dans les jardins.
Qui doit prendre en charge la construction d'un mur de soutènement? ll revient à votre voisin de construire et d'entretenir ce mur. Le propriétaire d'un terrain en surplomb est, en effet, responsable de la retenue de ses terres (cass. civ.
Ce type de mur de soutènement est construit en béton armé ou en parpaing. On le reconnaît à sa forme de T renversé ou de L. La partie la moins longue est recouverte par la terre qui, elle-même, contribue à soutenir la structure.