Un verre standard de whisky, de gin, de vodka ou de brandy est de 3cL de liquide. Les spiritueux et les liqueurs sont souvent servis dans des verres plus petits que le vin ou la bière.
On entend par verre, un verre standard d'alcool contenant environ 10 g d'alcool pur, ce qui équivaut aux verres servis habituellement dans les restaurants soit environ 10 cl de vin à 12° vol ou 25 cl de bière à 5° vol ou 3 cl de Whisky, Cognac, Rhum etc à 40° vol.
Une dose d'alcool par jour correspond, par exemple, à une chope de bière ou un baby (3 cl) de whisky.»
La pinte de bière : 50 cl env. Le ballon de vin : 10 cl. Le baby de whisky : 2 cl. L'entier (de whisky) : 4 cl.
Avant tout, versez votre whisky dans un verre tulipe, avec un col resserré ce qui vous permettra de concentrer les arômes, et c'est tout ! Evitez d'y mettre des glaçons, cela pourrait provoquer un choc thermique qui nuirait aux arômes. La température idéale de dégustation est aux alentours de 15°C.
Ne conservez surtout pas votre whisky dans un frigo ou un congélateur durant une période prolongée, vous perdrez en saveur. Et si vous voulez que votre whisky soit frais : Mon conseil est d'y mettre une pierre de whisky réfrigérées et non un glaçon.
Avant l'embouteillage, le whisky est dilué avec de l'eau pure pour obtenir un taux d'alcool de 40%. Une étape importante qui modifie son goût de façon significative. Puis au moment de boire le spiritueux, certains amateurs ajoutent encore quelques gouttes d'eau dans leur verre pour renforcer sa saveur.
L'alcool fragilise le muscle cardiaque et augmente le risque d'hypertension artérielle et d'accidents vasculaires cérébraux.
Le whisky c'est comme le vin, c'est bon pour le coeur. Faux répondent les spécialistes qui confirment qu'il n'y a aucun bénéfice pour notre santé.
Quelle que soit la boisson alcoolisée que vous préfériez, un verre reste un verre, c'est la loi. Ainsi, 3cL du meilleur whisky à 40° correspond à 25cL de bière à 5°, ou 10cL de vin à 12°. Les trois contiennent la même dose d'alcool pur : entre 10 et 12 grammes d'alcool.
Le vin s'est avéré moins délétère pour le foie que la bière et les alcools forts. Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
Le vin rouge permettrait donc un plus grand flux dans les artères et les vaisseaux sanguins sans en modifier les capacités coagulantes. Ces bienfaits ont aussi été observés chez les buveurs de bière et de vin blanc, mais dans une moindre mesure. Le whisky et l'eau n'ont provoqué aucune modification.
Selon l'OMS, un homme boit trop dès lors qu'il boit plus de 21 verres par semaine (3 par jour). Pour une femme, les chiffres sont différents : 14 par semaine (2 par jour).
Les tailles des bouteilles de spiritueux les plus courantes sont : 70cl (taille standard): il s'agit du plus fréquent, presque toutes les distilleries l? utilisent comme la dimension de référence, ce qui équivaut à 75 cl pour les vins.
0,5 gramme : vous ne pouvez plus conduire.
Un homme et une femme ne sont pas égaux face à l'absorption de boissons alcoolisées. Le Code de la route en France interdit de conduire à partir d'une dose de 0,5 gramme, ce qui signifie donc que cette limite est atteinte au bout de deux verres.
Le diluer dans de l'eau ou dans un soda fait baisser l'alcoolémie : FAUX. Peu importe le liquide avec lequel l'alcool est mélangé, le taux d'éthanol reste le même.
Le whisky détruit les cellules hépatiques
Pendant très longtemps, la première cause du cancer du foie a été la cirrhose alcoolique.
Et bien que l'alcool les aide à s'endormir rapidement, ce verre de vin ou de whisky peut nuire à vos habitudes de sommeil. En fait, l'alcool est l'un des principaux responsables de la perturbation de votre nuit, car il peut interférer avec les processus chimiques du corps nécessaires à un sommeil sain.
Le whisky peut donc être servi à tous les moments du repas, en apéritif, en accompagnement ou à la fin, en guise de digestif. On sera donc plus centré sur le type de whisky à servir à chacun de ses instants. En apéritif, les blends ont le dessus par rapport aux pures-malts.
La quantité à servir
Pour bien apprécier un whisky, une petite quantité entre 2 et 4 cl versée dans un verre de dégustation suffit. Avec une plus grande quantité, il serait difficile de faire tourner le whisky dans le verre et il ne pourrait pas « s'ouvrir » correctement.
Les amoureux du whisky, habitués aux dégustations, ajouterons presque toujours un glaçon ou de l'eau fraiche car cela fait ressortir les aromes, et modifie doucement le gout et l'odeur en permettant parfois de découvrir un grand whisky.
Auteur du livre Iconic Whisky, Alexandre Vingtier constate lui aussi que certains whiskies se bonifient avec le temps, mais il prévient : il faut être patient. « Le whisky peut encore gagner en fondu après plusieurs années, voire transformer certains de ses arômes, mais à une vitesse extrêmement lente. »
Le whisky se conserve toujours debout à la différence d'une bouteille de vin. Si l'on garde les bouteilles couchées, l'alcool agressant le bouchon, votre whisky aura un goût de bouchon. Au niveau de la température, pas besoin de cave, le whisky se conserve à température ambiante (18 à 20°C°) à l'abri de la lumière.
Et l'horloge de la dure de vie de chaque bouteille commence généralement à faire tic-tac lorsqu'elle est ouverte. L'alcool ouvert peut expirer et devenir mauvais. Dans ce cas, l'effet le plus courant est la perte de couleur, de saveur ou des deux.