Scandale qui éclata en France à la fin de l'Ancien Régime et qui éclaboussa la reine Marie-Antoinette. L'origine de l'affaire est une escroquerie montée par une aventurière, la comtesse de La Motte, qui, à la Cour, vivait d'expédients.
Vente infructueuse à Marie-Antoinette
Böhmer et Bassenge se sont fortement endettés pour la fabrication du collier qui est enfin achevée en 1778. Ils proposent avec insistance leur bijou à Marie-Antoinette pour la somme colossale de 1 600 000 livres (soit approximativement 27 513 000 €).
Celle-ci débute en 1772 quand Louis XV commande un collier auprès de deux joailliers parisiens célèbres. Il est à l'attention de Madame du Barry, l'une de ses favorites. Malheureusement, il décède avant que le collier ne soit terminé.
Un trésor national mythique, qui n'a jamais fini de faire parler de lui. Il est là, étincelant de tous ses carats, derrière une vitrine en plexiglass blindé, trônant dans la galerie centrale du musée du Louvre.
L'affaire du collier de la reine (1784-86) fut un complot fomenté par Jeanne de la Motte pour dérober un collier de diamants. Se faisant passer pour l'agent de Marie-Antoinette et utilisant de fausses lettres, elle convainquit le cardinal Louis de Rohan d'acheter le collier au nom de la "reine" et de le lui livrer.
Le grand collier de la Légion d'honneur présenté ici a bien appartenu à Napoléon Ier. Sa chaîne en or est formée de seize médaillons représentant les disciplines des membres de l'Ordre (lettres, sciences et arts) et de seize aigles incarnant les 16 divisions administratives de l'ordre, dites cohortes.
Aujourd'hui, la tradition devrait perdurer ainsi et l'immense collection de bijoux de feu Sa Majesté devrait être partagée entre les hauts membres de la famille royale, à l'instar de Kate Middleton, la princesse Charlotte, Lady Louise, Sophie de Wessex ou encore les princesses Eugenie et Beatrice, pour ne citer quelles ...
Des colliers de perles, des tiares et autres diadèmes, des boucles d'oreilles, des bagues de fiançailles devenues mythiques. Ils ont pour la plupart été confectionnés par la maison Garrard & Co, nommée joaillier officiel de la couronne par la Reine Victoria en 1843.
La reine Élisabeth II avait hérité de ces bijoux de sa mère, Sa Majesté la reine Elizabeth - La Reine Mère, qui elle en avait hérité de sa propre mère, la reine Mary. Il est donc très probable que la tradition se poursuive et que l'ensemble de ses joyaux soit léguée au nouveau monarque, le roi Charles III.
Le 15, au terme d'un procès expéditif, elle est condamnée à la peine de mort pour crime de haute trahison. Elle est exécutée le 16 octobre à midi un quart.
Trois chefs d'accusation principaux visent Marie-Antoinette, qui ne sont pas - loin de là - dénués de fondement : Elle aurait dilapidé le Trésor de la Nation, Elle aurait entretenu des relations avec les ennemis de la République, Elle aurait soutenu les rébellions intérieures.
Le parfum d'Art et d'Histoire ® «Bouquet du Trianon» est une eau de toilette, dont les effluves expriment la quintessence du raffinement de la reine Marie Antoinette, qui s'exprimait dans de multiples domaines des Arts, de la Beauté et de la Mode, et notamment dans son goût pour les parfums légers et floraux.
Ce lundi 19 septembre, après une cérémonie religieuse en la cathédrale de Westminster à Londres, elle sera inhumée avec quelques bijoux : selon l'experte royale Lisa Levinson du Natural Diamond Council, la Reine devrait être enterrée avec une simple paire de boucles d'oreilles et son alliance.
Sa couleur favorite était le bleu mais elle ne supportait pas les tons gris et beige, trop fades, tandis que le noir était réservé aux périodes de deuil.
La devise de la monarchie britannique est « Dieu et mon droit ». Cette phrase française l'idée que le monarque est le représentant élu de Dieu sur Terre. Ce résumé est utilisé par la famille royale depuis des siècles, et elle reste une partie importante de son identité aujourd'hui.
Les joyaux de la Couronne sont conservés à la tour de Londres depuis 1303, date à laquelle ils ont été dérobés à l'abbaye de Westminster. Après le couronnement de Charles II, ils ont été mis sous clé et étaient visibles après paiement d'un droit d'entrée à un gardien.
Le hasthtag #Koh-i-Noor a été relayé sur Twitter plusieurs dizaines de milliers de fois depuis la mort de la reine Elizabeth II. Il s'agit d'un diamant de près de 106 carats, dont la valeur brute est estimée à 170 millions d'euros, auquel il faut ajouter la valeur historique.
Lors du décès de Diana le 31 août 1997 à Paris, la reine Élisabeth II se trouvait aussi au château de Balmoral, où la famille royale passait ses vacances ; la reine y était en compagnie de son mari et ses deux petits-fils William et Harry, les enfants de Diana.
Les couronnes les plus prestigieuses, de l'Antiquité à nos jours, celles de Cléopâtre ou de la reine d'Angleterre, de Napoléon 1er ou du Chah d'Iran sont réunies à Loches.
C'est une bande de brigands menée par un certain Paul Miette qui s'est introduite dans la salle des bijoux pour y dérober les joyaux. A la faveur de la nuit, les voleurs ont escaladé la façade du Garde-Meuble à l'aide de cordes en prenant appui sur les réverbères de la place de la Révolution.
Le Régent. Ce diamant est considéré comme le plus beau de la Couronne de France. Ce magnifique diamant blanc fut découvert en Inde du Sud, à Golconde en 1698.
Au total, 19 bicornes napoléoniens ont été recensés à travers le monde sur les 120 portés au cours des quinze années de règne, dont la plupart demeure dans des musées. Celui-ci avait été acheté en 1814 par un politicien écossais dénommé Sir Michael Shaw-Stewart.
Le Coréen Lee T.K., président du groupe agro-alimentaire Harim, a payé 1,884 million d'euros avec les frais pour ce chapeau "de forme traditionnelle, en feutre dit en castor noir", porté par l'un des personnages historiques français les plus connus dans le monde, a-t-on appris auprès de l'étude Osenat.
Le lot phare de cette vente aux enchères est un bicorne qui aurait accompagné Napoléon lors de sa campagne triomphale de 1807. Le chapeau avait été acheté en 1814 par l'homme politique et aristocrate Sir Michael Shaw-Stewart, qui était devenu quelque peu obsédé par Napoléon.