Alors que les Nations Unies prévoient que nous serons plus de huit milliards d'habitants sur Terre au 15 novembre 2022, pour atteindre, en 2100, 10,4 milliards d'individus sur la planète, ces projections sont remises en question.
Si bien que le nombre d'individus sur Terre pourrait chuter à quatre milliards d'ici 2100, pour atteindre le même qu'au milieu des années 1970.
10 milliards en 2080
Un dépassement plus rapide que prévu alors qu'il y a trois ans, l'Onu le prévoyait plutôt aux alentours de 2027 .
La population mondiale actuelle de 7,2 milliards devrait augmenter de près d'un milliard de personnes au cours des douze prochaines années, pour atteindre 8,1 milliards en 2025 et 9,6 milliards en 2050, selon un nouveau rapport des Nations Unies « Perspectives de la population mondiale : révision de 2012 » lancé jeudi ...
La structure interne de la Terre désigne la répartition de l'intérieur de la Terre en enveloppes emboîtées : principalement la croûte terrestre, le manteau et le noyau, selon le modèle géologique actuel, qui s'efforce de décrire leurs propriétés et leurs comportements au cours des temps géologiques.
La croissance démographique aura des conséquences significatives. Les taux de natalité auront tendance à diminuer. En 2050, la population mondiale sera donc en moyenne plus âgée qu'aujourd'hui. Cette évolution aura des répercussions importantes tant sur le plan du travail que sur celui de la sécurité sociale.
Le climatologue et météorologue, Robert Vautard, a dressé un panorama des espaces habitables à l'horizon 2050 sur une planète plus chaude de 2°C. Les espaces habitables seront modelés par deux principaux facteurs : le changement climatique et les politiques publiques qui seront menées en conséquence ou en anticipation.
En 2100 la Terre compte 11 milliards d'habitants, elle sort d'une crise énergétique de plusieurs décennies. Malgré une transition énergétique réussie le réchauffement climatique atteint +5°C, avec de graves conséquences pour la disponibilité de l'eau, de la nourriture et de l'habitat.
Une pression globale forte. Une population mondiale qui, certes, tend à se stabiliser, mais qui exerce néanmoins une pression globale forte sur la planète. Ainsi, depuis 1987, l'humanité consomme plus de ressources par an que la terre est capable d'en produire pour la même période.
La surpopulation peut être atténuée par le contrôle des naissances; certaines nations, comme la République populaire de Chine, ont recours à des mesures strictes pour réduire les taux de natalité.
Au 15 novembre 2022, notre planète comptera 8 milliards d'êtres humains. C'est la projection dévoilée lundi par l'ONU, à travers son département des affaires économiques et sociales.
Les villes situées dans l'hémisphère Nord sont celles qui vont connaître les évolutions climatiques les plus spectaculaires au cours des trente prochaines années. Londres, Madrid, Zurich et Paris font partie du lot.
Ainsi, le Burundi arrivait en tête des pays les plus démunis, avec un PIB par habitant de 269 dollars américains. Il était suivi du Sud Soudan et de la Somalie. Seul trois pays de cette liste sont hors d'Afrique : Afghanistan, Tadjikistan, Yemen .
Dans 30 ans, le changement climatique sera tel que les conditions climatiques de plus de 77 % des grandes villes du monde seront bouleversées ; il fera aussi chaud à Paris que dans le sud de l'Australie.
Combien d'humains demain ? Les nouvelles projections de l'ONU. En 2030, la planète comptera probablement 8,5 milliards d'habitants, et près de 10 milliards en 2050, contre 7,9 milliards aujourd'hui.
Avec tous les bémols inhérents à ce type de classement prospectif, cette réflexion sur le futur place en tête des pays dominants le monde en 2050 la Chine. Suivent les Etats-Unis (2 e) et l'Inde (3 e). Le Japon se place à la 4 e position suivi par le Brésil, l'Allemagne et la Grande-Bretagne.
1/ Les Pays-Bas.
En Europe, Londres (Royaume-Uni) ou encore Venise (Italie) ne sont pas en reste. En France, des villes comme Bordeaux et ses alentours, la région de Saint-Nazaire et les villages de la côte montpelliéraine pourraient être les premières à disparaître sous les eaux.
Une chose sûre dans ce domaine concerne la couche d'ozone : elle absorbe les ultraviolets, très énergétiques et très nocifs. En son absence, toutes les formes de vie seraient brûlées vives à part certaines bactéries primitives.
Elle constitue alors des réservoirs d'eau appelés "aquifères" ou "nappes". Mais il existe également des aquifères situés à des milliers de mètres de profondeur». L'eau douce retenue sous terre représente 25 fois le volume de celle présente dans les lacs et les rivières.
Une nouvelle expérience a permis d'estimer à au moins 5300°C la température dans le noyau terrestre solide.