Les opérations arithmétiques traditionnelles sont l'addition, la division, la multiplication, et la soustraction.
L'arithmétique est une branche des mathématiques qui étudie les propriétés et les règles de calcul entre les nombres. Elle traite, entre autres, des opérations traditionnelles telles l'addition, la soustraction, la multiplication et la division.
Les quatre opérations arithmétiques usuelles : l'addition, la soustraction, la multiplication et la division qui sont en principe les seules opérations autorisées aux jeux de chiffres comme au Compte est bon.
Étude des propriétés de l'ensemble des nombres rationnels. 2. Littéraire. Manière de calculer, de faire des hypothèses ; supputation.
Brahmagupta , mathématicien et astronome indien qui a vécu au VIIe siècle, est considéré comme le père de l'arithmétique. Il était un astronome et mathématicien de grande renommée. Le père de Brahmagupta, Jisnugupta, était un astrologue basé à Bhinmal (Rajasthan).
Une arithmétique est une manière de représenter formellement - autrement dit, « coder » - les nombres (sous la forme d'une liste de chiffres, par exemple) ; et (grâce à cette représentation) définir les opérations de base : addition, multiplication, etc.
L'arithmétique est le domaine des mathématiques qui étudie les propriétés des nombres. Historiquement, elle s'intéresse principalement aux nombres entiers, aux opérations et à la divisibilité. Le mot arithmétique est basé sur le grec ancien ἀριθμός (arithmos) qui signifie nombre.
Les mathématiques pures se divisent, en gros, en trois grandes disciplines : la géométrie et la topologie, l'algèbre et l'arithmétique, et enfin l'analyse. Une quatrième branche vient les compléter, la logique.
En "arithmétique", il s'agit de travailler uniquement sur des quantités connues, en progressant pas à pas du connu vers l'inconnu. En algèbre, il s'agit d'exprimer des relations entre des quantités, qu'elles soient connues ou inconnues.
Exemple : Considérons une suite numérique (un) où la différence entre un terme et son précédent reste constante et égale à 5. Si le premier terme est égal à 3, les premiers termes successifs sont : u0 = 3, u1 = 8, u2 = 13, u3 = 18. Une telle suite est appelée une suite arithmétique de raison 5 et de premier terme 3.
Un nombre décimal est un nombre qui peut s'écrire sous la forme d'une fraction décimale. unités et un dixième et huit centièmes puis s'écrit en respectant le principe de la numération décimale de position : 3,18. Dans l'écriture à virgule des nombres décimaux, la virgule permet de repérer le chiffre des unités.
La soustraction est une opération qui consiste à enlever une quantité à une autre, à trouver une quantité manquante ou à comparer des quantités entre elles. Ces quantités qui forment la soustraction se nomment des termes. La différence est le résultat de cette opération.
L'addition est une opération qui consiste à ajouter un nombre (ou plusieurs nombres) à un autre nombre. Les nombres qui composent l'addition se nomment les termes. La somme désigne le résultat de cette opération.
Les multiplications et divisions sont effectuées de gauche à droite: Si une multiplication est à gauche d'une division, on effectue d'abord la multiplication. Si une division est à gauche d'une multiplication, on effectue d'abord la division.
L'arithmétique binaire est la manière dont on mène les calculs en base 2 (système binaire). C'est un concept essentiel de l'informatique.
L'unité arithmétique et logique (UAL, en anglais arithmetic–logic unit, ALU), est l'organe de l'ordinateur chargé d'effectuer les calculs. Le plus souvent, l'UAL est incluse dans l'unité centrale de traitement ou le microprocesseur.
Mathématiques. En arithmétique, la différence est le résultat de la soustraction entre deux nombres. Elle est nulle lorsque les nombres sont égaux. Elle permet de distinguer deux valeurs de calcul.
La différence entre l'algèbre et la mathématique est que : l'algèbre traite les problèmes finis tandis que l'analyse traite les problèmes infinis.
Le zéro a été inventé aux alentours du Ve siècle en Inde. Le mathématicien et astronome Brahmagupta dessine le vide, le néant, le rien. Il invente un signe pour l'absence et ouvre le chemin de la représentation de ce qui n'était pas représentable jusque-là.
On les croyait créés par les grands mathématiciens arabes, en réalité les chiffres sont d'origine indienne. C'est en effet l'Extrême-Orient qui invente l'écriture décimale positionnelle au IIIe siècle avant J. -C.
Le premier moment de l'histoire des mathématiques s'identifie néanmoins aux Grecs, qui, à partir du VIe siècle avant J. -C., vont faire de cette discipline plus qu'un outil, un idéal de pensée. C'est généralement à Thalès de Milet que l'on accorde la paternité de la géométrie, et le début des mathématiques grecques.
Etymologiquement , ( origine du mot ) l 'arithmétique , est la science des nombres. Son but n ' est pas de bâtir des raisonnements savants , mais de produire des résultats concrets répondant à des problèmes pratiques. L ' arithmétique est la partie des mathématiques la plus familière à l ' être humain.
Le calcul littéral est un calcul avec des nombres et des lettres où chaque lettre désigne une inconnue (nombre qu'on ne connaitpas, dont on ne sait pas la valeur). Voici la formule de base du calcul littéral : ka+kb = k(a+b) ou (a+b)k.
Si nous travaillons modulo p, pour passer d'un nombre négatif x à son équivalent dans les classes [0, 1, .. , p - 1], il suffit de lui ajouter le nombre kp qui permet d'obtenir un nombre entre 0 et p - 1. Notation : On utilise souvent les notations – 1 ou – x pour désigner respectivement p – 1 ou p – x modulo p.