Le développement de la nomophobie est en lien direct avec la dépendance grandissante à l'information et à l'instantanéité des interactions, favorisés par les réseaux sociaux. Ce phénomène peut aussi être lié à certains traits de personnalité, plus réceptifs au système de récompense.
Notre cerveau interprète ces notifications comme une gratification et libère de la dopamine. La sensation de satisfaction est là. Cette gratification instantanée peut rendre l'utilisation du smartphone et des réseaux sociaux addictive, car notre cerveau cherche constamment à ressentir cette sensation agréable.
Elle concerne surtout les adolescents et les moins de 25 ans mais pas seulement. Elle touche aussi des salariés angoissés par leur performance professionnelle qui se sentent obligés d'être constamment joignables dans le cadre de leur travail.
Consulter un professionnel : prenez rendez-vous avec votre médecin traitant, un psychologue, un psychiatre ou un thérapeute spécialisé dans les troubles liés à la dépendance technologique ; Thérapie et traitement : la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) peut être efficace pour traiter la nomophobie.
La nomophobie représente la peur irrationnelle d'être séparé de son téléphone portable. Dans notre société ultra-connectée, cette anxiété émerge souvent lorsque l'on est hors de portée de son téléphone, que la batterie menace de s'épuiser, ou même simplement lorsqu'on envisage de s'en séparer temporairement.
ne pas réussir à se concentrer sur une tâche pour consulter son téléphone plusieurs fois dans l'heure ; regarder son téléphone en faisant une autre activité normalement agréable comme passer du temps avec ses amis ; paniquer lorsqu'on n'a pas son téléphone sur soi.
La Thérapie Interpersonnelle (TIP) et la Thérapie cognitive et Comportementale (TCC) sont à privilégier dans l'addiction au portable. Le diagnostic et le suivi par un psychiatre (médecin) est indispensable.
L'un des comportements addictifs liés à l'utilisation du téléphone portable porte désormais un nom, la nomophobie (addiction au téléphone portable). Un phénomène émergent, renforcé par la crise sanitaire en cours, et qui pourrait avoir des conséquences néfastes sur la santé.
Comme son nom le suggère, la nosophobie est une phobie. Elle correspond à une peur irrationnelle de contracter une maladie grave entraînant le décès. Le traitement de ce trouble est basé sur une psychothérapie bien conduite.
La "nomophobie", ou la peur panique de se retrouver sans téléphone portable.
La nomophobie ou mobidépendance est un néologisme désignant la phobie d'être séparé de son téléphone mobile chez les sujets dépendants au smartphone. Les scientifiques ont formalisé cette peur de la dissociation dans l'acronyme FOMO (Fear Of Missing Out).
La peur du téléphone (phobie du téléphone, peur téléphonique ou téléphonophobie) est une peur ou angoisse de passer ou de prendre des appels téléphoniques. La peur du téléphone est également considérée comme un type de phobie sociale ou un trouble anxieux.
Vous pouvez par exemple interdire le téléphone à table ou le dimanche après-midi. L'inciter à le laisser à la maison lors des repas de famille ou le contraindre à l'éteindre à partir de 21h. Toute privation de smartphone doit être accompagnée du bon exemple et d'une explication, pour ne pas générer de conflits.
Chez l'adulte, mettre fin à la cyberdépendance ou agir en prévention peut passer par plusieurs petits gestes simples : mettre en pause les notifications, supprimer les applications chronophages et inutiles, définir les situations « à risque » pour mieux les appréhender, trouver de nouvelles activités sans écran, etc.
Le tabac, puis l'héroïne, la cocaïne ou l'alcool sont ainsi les produits les plus à risque et dont la consommation problématique est la plus fréquente. Concernant les jeux vidéo, ceux « en réseau », notamment en mode multi-joueurs, sont réputés plus addictogènes que les autres.
les troubles de l'humeur (anxiété, dépression) ; les troubles bipolaires ; les troubles obsessionnels compulsifs (TOC) ; les troubles de la personnalité : un individu ayant une personnalité paranoïaque peut ainsi utiliser Internet pour projeter ses délires de persécution et de violence.
Phobophobie. Plus phobique, impossible : la "phobophobie", soit la peur d'avoir peur. Plus que la peur, ce sont les réactions de peur que le phobophobe redoute par-dessus tout.
La musicophobie : la peur de la musique
Cet événement particulièrement effrayant provoque parfois une peur des perturbations sonores pouvant aller jusqu'à la spasmophilie. Ce type de comportement se reproduit également chez les personnes hypersensibles de l'oreille.
Une partie de l'anxiété est liée au fait que parler au téléphone exige une réponse dans l'instant présent et laisse moins de temps pour se préparer à ce qui est dit. Une personne peut se sentir anxieuse à l'idée de commettre une erreur, de mal comprendre quelque chose ou d'interrompre son interlocuteur.
(Médecine) Peur ou aversion irraisonnée en présence de personnes chauves.
L'agoraphobie consiste en une peur ou une anxiété face à l'éventualité de se trouver dans des situations ou des endroits (par exemple, dans des foules et des centres commerciaux ou en conduisant) sans échappatoire facile ou sans possibilité d'obtenir de l'aide, en cas de crise d'angoisse aiguë.