Les kystes mammaires sont le plus souvent liés à un dérèglement des hormones du cycle menstruel. Ils se développent à l'extrémité distale des canaux galactophores (canaux sécréteurs de lait) et sont ainsi particulièrement sensibles aux variations hormonales.
S'il n'y a pas de cause réellement définie, de nombreuses études scientifiques tendent à montrer que le développement des kystes mammaires est provoqué par les hormones qui gèrent le cycle menstruel. Ils sont fréquents chez les femmes âgées de plus de 35 ans et se manifestent plus souvent juste avant la ménopause.
Si on soupçonne un kyste mammaire, des examens peuvent être réalisés afin de caractériser la masse. La mammographie et l'échographie peuvent repérer de petits kystes qui ne sont pas détectables à la palpation. La mammographie ne permet pas de distinguer une masse solide d'une masse remplie de liquide.
Pour soulager la douleur, le médecin peut ponctionner le liquide présent à l'intérieur du kyste à l'aide d'une fine aiguille (ce que l'on appelle aspiration). Le liquide est examiné au microscope pour vérifier l'absence de cancer uniquement dans les cas suivants : Le liquide est trouble ou contient du sang.
Est-ce que un kyste peut partir tout seul ? La majorité des kystes sébacés disparaissent spontanément, sans traitement. Certains kystes peuvent cependant persister et devenir gênants, voire douloureux. Dans ce cas, ils peuvent être traités par des médicaments ou par une intervention chirurgicale.
Certains kystes peuvent être le fruit d'une anomalie héréditaire (polykystose rénale), d'une affection cancéreuse (tumeurs malignes), d'une inflammation des tissus, d'une usure des tissus liés à l'âge (kyste synovial) ou encore d'un traumatisme.
Les kystes mammaires sont rarement cancéreux, et ils ne font pas augmenter le risque de cancer du sein.
Les kystes mammaires, en revanche, s'ils se développent rapidement, compriment souvent les tissus qui les entourent et peuvent provoquer des douleurs.
Diagnostic et examens des kystes mammaires
Direction le cabinet du médecin qui prend en charge votre vie gynécologique c'est à dire votre gynécologue ou votre médecin. Il/elle procédera à un examen clinique (palpation, vérification de la mobilité du kyste, écoulement de sang à la pression du mamelon…)
Le saumon, le maquereau et les sardines regorgent d'acides gras oméga-3, qui possèdent des propriétés anti-inflammatoires. Ces graisses saines peuvent aider à réduire l'inflammation et à soulager les symptômes des kystes ovariens. Le poisson devrait être consommé au moins deux fois par semaine selon les médecins.
Si le kyste est facilement palpable, le prélèvement du liquide (ponction du kyste) à l'aide d'une aiguille fine peut se faire par le médecin dans son bureau, ce qui permettra un diagnostic rapide, la disparition du kyste et le soulagement de la douleur.
Boule au niveau du mamelon
Plus qu'une tumeur, le papillome intracanalaire est une sorte de verrue, souvent reliée au Papillomavirus (HPV). Dans la plupart des cas, cette masse est tout à fait bénigne, mais elle peut faire légèrement augmenter le risque de cancer du sein.
Le nodule chaud ou actif : nodule bénin, il sécrète des hormones thyroïdiennes en grande quantité et peut être associé à une hyperthyroïdie. Le kyste : bénin, il s'agit d'une poche remplie de liquide ou de sang. Néanmoins, il peut grossir et devenir gênant voire douloureux (il doit être surveillé).
Habituellement effectuée en radiologie, elle peut aussi être réalisée au bureau du médecin sous anesthésie locale ou plus rarement au bloc opératoire. Lorsque la biopsie est faite sous échographie, la femme est couchée sur le dos et le radiologiste localise la lésion à l'aide de la sonde et procède à la biopsie.
En général, un kyste régresse spontanément et ne nécessite pas de prise en charge. S'il est enflammé, il est recommandé de poser une compresse stérile imbibée d'eau chaude dessus pour favoriser la circulation sanguine et l'évacuation naturelle du sébum.
Les examens d'imagerie
Elle permet de visualiser une éventuelle masse dans un ovaire (ou les deux) et d'en évaluer la taille, la forme, le contenu (solide ou liquide). Ces éléments permettent au médecin de penser qu'il s'agit plutôt d'un kyste bénin – sans gravité – ou d'un kyste potentiellement malin (cancéreux).
Contrairement aux kystes qui ont une paroi, les tumeurs n'en ont pas, même si elles sont souvent bien circonscrites (ou dit aussi encapsulées). Une tumeur peut être bénigne ou maligne, autrement dit cancéreuse.
Son mode évolutif est variable : le kyste sébacé peut se résorber spontanément, grossir progressivement sur des années, et parfois s'enflammer voire s'abcéder.
Un kyste désigne une cavité (ou un sac) remplie de liquide, d'air ou d'une substance semi-solide. Il peut se former dans n'importe quelle région du corps y compris dans les os et dans les tissus mous. Le développement d'un kyste peut relever d'une production bénigne (non cancéreuse) ou d'un processus malin (cancéreux).
Les nodules mammaires sont des grosseurs, des excroissances ou des durcissements de certaines zones, qui sont différents du reste du sein. Vous pouvez remarquer un nodule mammaire par hasard ou à l'occasion d'un examen des seins.
Le fibroadénome est une tumeur bénigne (sans risque) du sein qui touche en général les femmes de moins de 30 ans. Il forme un nodule rond, unique ou multiple, ferme, bien délimité et ne cause habituellement pas de douleur. Son volume peut augmenter durant la phase prémenstruelle et être alors repéré plus facilement.
Le stress déclenche la plupart du temps un excès de sécrétion de sébum par les glandes sébacées qui favorise les éruptions cutanées. Celles-ci prennent la forme de comédons, de papules, de pustules, voire de kystes, majoritairement sur le visage, le torse et le dos.
Ils se forment habituellement en amont d'une obstruction, qui entraîne une accumulation de liquide qui prend la forme d'un ballon. Les kystes cutanés sont le plus souvent diagnostiqués parce qu'ils sont faciles à voir. Les kystes au sein, eux, sont presque toujours bénins.
La rupture du kyste se traduit par une douleur de la région pelvienne intense et brutale, qui diminue ensuite. L'échographie abdomino-pelvienne montre la présence de liquide dans le péritoine (membrane de l' abdomen qui enveloppe les organes) ou ascite.