L'hérédité, le manque de sommeil, les situations stressantes et la fièvre peuvent causer des épisodes de terreurs nocturnes.
La terreur nocturne se manifeste en début de nuit, pendant le sommeil, et pendant le sommeil lent et profond. - Se redresse, - Ouvre les yeux. - Il se met à hurler, à pleurer, à sangloter, à pousser des cris perçants (on parle de hurlement Hitchcockien !)
Les solutions face aux terreurs nocturnes des enfants
Parlez-lui en essayant de le calmer mais évitez de le toucher s'il vous rejette. Si les terreurs nocturnes sont dues à la fatigue, agissez en conséquence et couchez votre enfant plus tôt dans une atmosphère calme, ou faites-lui faire des siestes.
Si les terreurs nocturnes ne se répètent pas de manière trop systématique (plusieurs fois par semaine pendant plusieurs mois), elles ne présentent aucun danger pour la bonne santé de l'enfant. Elles ne nécessitent pas de traitement médicamenteux particulier.
Contrairement aux cauchemars qui résultent d'une anxiété passagère, les terreurs nocturnes sont plus graves et peuvent cacher une angoisse véritable. Survenant généralement au début de la nuit, elles peuvent être particulièrement impressionnantes.
Reflux, poussée dentaire, otite… Dans 20 % des cas, les réveils multiples sont liés à une cause organique qui empêche l'enfant de bien dormir. Toutefois, la plupart du temps, il s'agit de problèmes comportementaux. Comme les adultes, les enfants se réveillent plusieurs fois pendant la nuit.
Les terreurs nocturnes sont typiquement le résultat d'une surexcitation du système nerveux de l'enfant pendant son sommeil. Elles se produisent généralement pendant la phase de sommeil profond (c'est-à-dire en-dehors de la phase généralement considérée comme celle des rêves, le sommeil paradoxal).
Réveiller un enfant ou un adulte pendant un épisode de terreurs nocturnes n'est pas la meilleure chose à faire, car cela peut augmenter son état de peur et de confusion, et même prolonger l'épisode puisqu'il aura besoin de plus de temps pour se calmer et pour retrouver un sommeil plus calme.
Obscurité totale tu éviteras
Et pourtant là encore, on démontre que les parents sont formidables parce qu'instinctivement, ils ont conscience que la peur du noir de leur enfant est liée à la séparation. Porte entrouverte, veilleuse, stickers phosphorescents, etc. pourront l'aider à s'endormir plus paisiblement.
La somniloquie est un trouble du sommeil qui se caractérise par le fait de parler pendant son sommeil. Rires, pleurs, chuchotements, cris, phrases complètes...
Ils sont le plus souvent dus à des changements dans l'environnement de l'enfant. Les autres causes d'insomnie sont les maladies (reflux gastro-œsophagien, asthme, infections ORL, etc.), ainsi que des causes psychologiques (anxiété) ou liées à une pathologie du développement (autisme, etc.).
La paralysie du sommeil génère des symptômes d'angoisse, de peurs, du même ordre que ceux des terreurs nocturnes, mais il existe en plus des phénomènes hallucinatoires connexes non décrits dans les terreurs nocturnes (du fait de l'amnésie de ces dernières).
Que faire si votre enfant fait un cauchemar? Restez quelques minutes avec lui pour le rassurer. S'il vous raconte son mauvais rêve, aidez-le à transformer la partie effrayante du cauchemar en un événement drôle ou positif (où il triomphera du monstre, par exemple).
Conseils d'utilisation : Peut être utilisé dès lors que l'alimentation est diversifiée. Agiter avant emploi. Avant 5 ans : 1 cuillère à café avant le coucher. Après 5 ans : 2 cuillères à café avant le coucher.
Au contraire, le manque de sommeil peut avoir des effets néfastes sur nos capacités cognitives : il nuit à notre attention et à notre vigilance, réduit nos capacités à ressentir, à imaginer et à créer, affecte notre humeur et nos émotions, etc.
Un neurologue, notamment dans un centre du sommeil (dans un CHU ou une clinique spécialisée).
La cataplexie est la perte soudaine du tonus musculaire sans que la personne perde connaissance. Les personnes narcoleptiques ressentent également parfois des hallucinations ou des paralysies du sommeil de quelques secondes, au réveil ou en s'endormant.
Parler la nuit n'a en fait aucune conséquence sur votre sommeil. “La qualité du sommeil n'est pas détériorée par le fait de parler en dormant. La somniloquie ne réveille pas la personne, le somnambulisme en revanche, oui. Ainsi, on peut parler toute la nuit sans être fatigué le matin”.
Est-ce normal ? Rire en dormant est généralement normal et inoffensif. Dans la plupart des cas, le rire pendant le sommeil est une réponse naturelle à quelque chose qui se produit pendant un rêve. Le rêve peut souvent sembler étrange, bizarre ou même pas drôle au réveil.
De 0 à 8 mois : l'enfant ressent une angoisse de séparation (peur des étrangers ou peur de l'abandon) et a peur des chutes et des bruits. De 8 mois à 1 an : l'enfant ressent une peur des bruits (aspirateur ou téléphone). De 1 à 2 ans : l'enfant ressent une peur des monstres et du noir.
Vers 2 ans, l'enfant prend conscience qu'aller se coucher correspond à un moment de séparation d'avec ses parents. La peur du « noir » va alors se développer. Elle correspond en fait à la peur d'être seul, « abandonné », livré à lui-même avec son imaginaire. C'est en effet la période où l'imaginaire se met en place.
Comment régler le problème? Une première façon d'intervenir est de reconduire l'enfant dans sa chambre chaque fois qu'il se lève, sans se mettre en colère et en lui disant des paroles rassurantes. Si possible, le parent peut rester près de lui jusqu'à ce qu'il s'endorme.
Parler avec lui de ses émotions et de ses inquiétudes aide à diminuer cette peur. Questionnez votre enfant pour comprendre ce qui l'in q uiète. Aidez-le à mettre des mots sur ce qu'il ressent. Rassurez- le en lui disant que vous comp renez qu 'il peu t se s entir inquiet.