Le principal facteur de risque (ou cause) des cancers de la cavité buccale et de l'oropharynx sont, en France, la consommation de tabac et d'alcool.
Plus le cancer buccal est découvert tôt, meilleures sont les chances de survie des personnes atteintes. En effet, cinq ans après un diagnostic de cancer de la bouche, 8 personnes sur 10 survivent si la maladie est détectée dès le début, comparativement à 2 personnes sur 10 si elle est découverte à un stade avancé.
Le cancer se manifeste de manière très variable. Il évolue généralement sur de nombreuses années, souvent sans occasionner de symptômes.
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer. Le cancer peut en revanche générer un stress chez les patients atteints de cancer et leurs proches.
C'est le sucre (glucose) qui fournit l'alimentation nécessaire à chaque cellule de l'organisme, même les cellules cancéreuses.
Age et genre
La plupart des patients qui développent un cancer de la cavité buccale ont entre 50 et 60 ans. Les hommes sont plus à risque de développer ce cancer que les femmes.
On commence habituellement par traiter le cancer de la cavité buccale par chirurgie. La chirurgie peut être suivie d'une radiothérapie et parfois d'une radiothérapie et d'une chimiothérapie.
Dans le cas des cancers de la bouche et des glandes salivaires, le premier traitement est généralement une opération chirurgicale. Elle est éventuellement suivie d'une radiothérapie ou d'une combinaison chimio- et radiothérapique.
Le diagnostic du cancer de la langue débute habituellement par une consultation motivée par une douleur buccale, une plaie linguale qui ne cicatrise pas (ulcère), un bouton ou une masse anormale sur la langue, des difficultés d'élocution et/ou de déglutition, ou encore une hypersalivation.
Le processus diagnostique du cancer de la cavité buccale débute habituellement par une visite à votre dentiste ou à votre médecin de famille. Le dentiste ou le médecin vous questionnera sur les symptômes que vous éprouvez et il vous fera un examen dentaire ou buccal.
Si vous remarquez des lésions ou des verrues sur la langue, le palais mou ou les amygdales, il est possible que vous soyez infecté par le virus du papillome humain (VPH).
Cette phase est en général assez facilement identifiable par le médecin, comme par le patient dont l'état général se dégrade brusquement et rapidement : fatigue extrême, manque d'appétit, amaigrissement, douleurs.
Une douleur, un gonflement, des nodules sur la mâchoire et des dents qui bougent sont des symptômes possibles du cancer de la mâchoire. Si vous présentez un ou plusieurs de ces symptômes, contactez immédiatement votre dentiste pour un examen, afin d'intervenir le plus précocement possible.
La sécheresse de la bouche peut être causée par les facteurs suivants : radiothérapie dirigée vers la tête, le cou ou la bouche (cause la plus courante); chirurgie pour enlever les glandes salivaires (pour un cancer des glandes salivaires ou de la cavité buccale, par exemple);
C'est donc officiel, le sucre est l'ennemi numéro 1.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
En effet, plusieurs études ont déjà prouvé l'intérêt d'une consommation de bananes pour réduire l'apparition de cancers. Une étude menée en Suisse sur 61 000 femmes âgées de 40 à 76 ans et publiée en 2005 a pu établir un lien entre la consommation de bananes et l'apparition du cancer du rein.
L'étude « Face », menée en partenariat avec la Société Française de Psycho-Oncologie (SFPO), confirme le rôle essentiel de l'entourage : 82 % des patientes atteintes d'un cancer du sein peuvent compter sur le soutien moral de leur noyau familial qui fait bloc contre la maladie.
Le tabagisme, la consommation d'alcool, une mauvaise alimentation, un manque d'activité physique et la pollution de l'air sont autant de facteurs de risque de cancer (et d'autres maladies non transmissibles).
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
La transmission peut avoir lieu par voie cutanée (caresses), par des supports souillés (linge de toilette), mais aussi lors du contact entre une muqueuse infectée et une muqueuse saine (rapport sexuel vaginal, oral ou anal). Le virus est absent du sperme, de la salive ou du sang.
La transmission du virus se fait par contact direct de muqueuse à muqueuse et de peau à peau : rapports sexuels, baisers, etc. La contamination peut être asymptomatique, ainsi on peut être porteur sain du HPV, c'est-à-dire être contagieux sans avoir de symptômes.