Ces cinq causes sont désormais bien identifiées : le changement d'usage des terres et de la mer, l'exploitation directe de certains organismes, le changement climatique, la pollution, et les espèces exotiques envahissantes. Les changements d'usage des terres et de la mer.
Un des changements observables est la dégradation de l'environnement, c'est-à-dire la pollution de l'eau, de l'air, des milieux naturels, etc. Elle est due à de multiples causes, les plus importantes étant l'augmentation de la population, l'augmentation des activités industrielles et la surconsommation.
La pollution de l'eau, de l'air, des sols, les habitats vétustes ou les conditions de travail dangereuses sont à l'origine de multiples pathologies, notamment cancéreuses, de troubles de la reproduction et du développement.
En effet, les conséquences de la dégradation de l'environnement sur notre santé ne sont pas anodines : perturbation de la croissance, maladies respiratoires et cardio-vasculaires, baisse de la qualité de vie, stress, allergies…
le dioxyde de soufre et les oxydes d'azote sont responsables des pluies acides (des neiges, pluies, brouillards qui deviennent, sous l'effet de ces polluants, acides). Cela altère les écosystèmes, acidifie les lacs et les cours d'eau, change les propriétés des sols et menace ainsi la faune et la flore aquatique.
Causes de la pollution du sol ou pollution de la terre
Déversement de déchets et d'ordures. Utilisation intensive de produits chimiques. Fuites radioactives.
De nombreuses activités humaines polluent l'environnement. Parmi les éléments polluants, on peut citer les gaz d'échappement des voitures et des camions, les déchets quotidiens (décharge), les fumées des usines et les déchets déversés dans les égouts, les détritus abandonnés dans la nature.
La désertification, la déforestation, l'acidification des océans, l'érosion massive de la biodiversité, la chute des stocks de ressources halieutiques et les multiples formes de pollution se sont considérablement accélérées depuis les années 1950.
En général, les activités humaines ont des répercussions sur l'environnement lorsque : elles produisent des rejets (émission de polluants, eaux usées, production de déchets, etc.); elles modifient (dégradent) le sol et l'habitat; elles utilisent et font disparaître les ressources.
- une origine climatique avec comme conséquence près de trois (3) décennies de sécheresse (1970-2000) ; - une origine anthropique conséquence de la très forte pression démographique exercée sur les ressources naturelles par les populations à travers les activités socio – économiques dans le cadre de leur survie.
L'érosion des sols par les pluies entraîne un afflux de particules dans les milieux lors des épisodes pluvieux. Ces particules de sols, dites « matières en suspension », peuvent impacter la biodiversité des milieux et la qualité de l'eau lorsqu'elles sont présentes en trop grande quantité.
1. La pollution. Il existe sept grands types de pollution – l'air, l'eau, le sol, le bruit, la radioactivité, la lumière et la chaleur – et ce sont les principales causes qui affectent notre environnement de nombreuses manières.
Un des moteurs naturels de dégradation des sols réside dans les cycles répétés d'humidification-dessiccation. Ces cycles ont pour conséquence de modifier la structure du sol, le rendant entre autres plus compact, ce qui réduit sa capacité de rétention de l'eau, diminue son aération et accélère son érosion.
La terre devenant plus aride, elle se dégrade. Cela favorise les sécheresses, les incendies, la désertification, ainsi que la pollution de l'air par la mort des plantes et des arbres absorbeurs des gaz atmosphériques, responsables du changement climatique.
La pollution de l'air :
La pollution de l'air participe grandement à la pollution de la planète. Elle est principalement due à la calcination de combustibles fossiles comme le charbon, le pétrole et gaz.
Pollution de l'eau, de l'air et du sol
De même, les pesticides et les engrais ont eu un impact négatif sur environ 80 % des 576 espèces de papillons qui vivent en Europe. L'agriculture est également une source majeure de pollution des eaux de surface et des eaux souterraines, affectant de nombreux écosystèmes.
L'homme en polluant, modifie localement le peuplement des milieux, pollution par rejet des usines dans les fleuves et rivières, pollution par l'emploi de pesticides et d'engrais, pollution urbaine.
À tous les stades de l'activité humaine, l'usage des hydrocarbures liquides et du charbon, les place au premier rang des sources de contamination de l'environnement.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).
Elle altère la biodiversité des sols, réduit la matière organique du sol et la capacité des sols à agir comme un filtre. Elle contamine l'eau stockée dans les sols et les eaux souterraines, et provoque un déséquilibre des éléments nutritifs présents dans les sols.