Le sous-développement s'entretient de lui-même car les pays pauvres ne peuvent sortir d'une série de cercles vicieux, qu'on peut schématiser de la façon suivante : Pauvreté → faibles revenus → faible épargne → faible investissement → peu de capital → faible productivité → faibles revenus, etc.
Ces facteurs ont pour nom: la corruption généralisée (elle lamine et gangrène nos sociétés et nos Etats, créant ainsi la mal-gouvernance), la gabegie, le népotisme, le clientélisme, le détournement de deniers publics, l'impunité, le refus du développement (Axel Kabou dixit).
Une autre conséquence est l'étroitesse des marchés, le faible développement des échanges monétaires, et donc le degré peu élevé de spécialisation, obstacle à la croissance économique. Les communautés rurales doivent produire elles-mêmes les divers biens nécessaires.
Le seul moyen de briser le cercle vicieux de la fragilité et de la pauvreté est d'aider ces pays à renforcer leurs institutions et d'apporter aux populations l'appui nécessaire pour reconstruire leur vie et leurs moyens de subsistance.
On parle de pays sous-développé et de sous-développement d'un pays lorsque la situation sanitaire et économique y est très mauvaise. Le terme pays sous-développé n'est plus beaucoup employé, on préfère le terme plus neutre de pays en développement, ou pays en voie de développement.
II- Les problèmes liés au développement durable. Un problème dans son acception la plus courante, est une situation dans laquelle un obstacle empêche de progresser, d'avancer ou de réaliser ce que l'on voulait faire.
La bonne gouvernance est la solution aux problèmes du continent africain. Les défis en matière de paix et de sécurité traduisent surtout des problèmes de gouvernance, tels la gestion des élections. Même les problèmes liés au terrorisme, à la gestion de la diversité, au développement ont trait à la gouvernance.
Les problèmes viennent de l'impossibilité de faire face aux conséquences de l'introduction de nouvelles pratiques agricoles intensives, de l'urbanisation de plus en plus poussée, des contraintes exercées sur les ressources naturelles et de nouveaux risques en matière de sécurité sanitaire des aliments.
En ce sens, le sous-développement est l'un des principaux problèmes que présente l'économie, et que les organisations luttent pour l'éradiquer. Le sous-développement est la cause de la pauvreté, de la pauvreté des enfants, des inégalités économiques, ainsi que d'autres conséquences.
Ainsi, le Burundi arrivait en tête des pays les plus démunis, avec un PIB par habitant de 269 dollars américains.
Bien qu'elle soit en hausse en milieu urbain, la pauvreté en Afrique est avant tout un phénomène rural. Elle est liée au faible niveau d'instruction, au mauvais état sanitaire et aux taux élevés de fécondité. Elle a également des dimensions spatiales considérables, d'où les grandes disparités sur le continent.
La corruption est le principal obstacle au développe- ment économique et social dans le monde1. Chaque année, 1 000 milliards de dollars sont versés en pots- de-vin2 tandis que quelque 2 600 milliards de dollars, soit plus de 5 % du PIB mondial, sont détournés3.
Un pays ayant un taux effectif d'industrialisation et de revenu individuel est appelé pays développé. Le pays en développement est un pays à faible taux d'industrialisation et à faible revenu par habitant.
1) Pourquoi l'Afrique refuse-t-elle de se développer ? Son constat est clair : le sous-développement africain commence par le sous-développement de la perception de soi et du monde extérieur, par l'immobilisme des mentalités et se perpétue par le retour des Africains lettrés aux valeurs du terroir, sans condition.
Les infrastructures routières sont dégradées. Les pays africains ne se modernisent pas. Ils n'ont pas assez de compétences pour réagir face à la globalisation. Ils n'ont pas suffisamment de compétences pour réagir face aux problèmes environnementaux et sociaux.
Le transfert des technologies des pays riches aux pays à faible ou moyen revenu devrait également être considéré comme une aide au développement durable. La technologie est importante dans la mesure où elle améliore la productivité des populations, et booste ainsi la croissance économique globale.
les pays développés, les pays émergents, les pays en développement.
Concrètement, cela signifie que des États riches, comme les Etats-Unis, la France ou l'Allemagne, reversent aux pays pauvres une partie de leurs richesses. Cet argent doit, par exemple, financer la construction de puits, d'hôpitaux, d'écoles…
La mise en place concomitante du crédit d'impôt compétitivité emploi, décision historique de baisse des charges des entreprises, et de la Banque publique d'investissement permettra à la France de reconquérir des parts de marché et de créer à nouveau de l'emploi dans l'industrie et l'agriculture.