La déforestation a aussi un impact très fort sur le changement climatique. En effet, les arbres stockent du CO2 tout au long de leur vie. En détruisant ces arbres, on réduit donc la capacité de l'écosystème mondial à stocker du CO2. Moins d'arbres, c'est moins de CO2 absorbé et donc plus d'effet de serre.
Couper un arbre revient à détruire une usine d'épuration naturelle. Les arbres attirent la pluie. Leur feuillage et leur système racinaire filtrent l'eau. Ils jouent également un rôle de stabilisateurs pour les sols.
La déforestation entraîne des problématiques de glissement de terrain, coulée de boue, augmentation des inondations et menace les besoins de subsistance d'une personne sur 5 dans le monde, dont les peuples autochtones.
Elles se retrouvent isolées, courant le risque de manquer de nourriture et de ne plus pouvoir trouver de partenaires pour se reproduire. La fragmentation des habitats naturels diminue aussi la capacité des animaux à se cacher et à fuir. Ils deviennent alors des proies plus faciles pour les braconniers.
En détruisant les forêts, les hommes détruisent l'habitat de nombreux animaux : mammifères, oiseaux, insectes, amphibiens... Ces espèces, parfois rares et fragiles, perdent alors leur lieu de vie, ce qui peut entraîner leur extinction. Faon, cochon...
Pour des raisons sanitaires : Certaines maladies, ou insectes ravageurs, obligent le propriétaire à couper l'arbre atteint et à le brûler sur place. C'est le cas pour : les chancres, les fomes ….
La déforestation entraîne l'érosion du sol et l'envasement des cours d'eau, ce qui réduit l'accès à l'eau potable ; à la fois en qualité et en quantité.
L'évaluation nous révèle également que la déforestation se poursuit à un rythme alarmant, mais que la perte nette de superficie forestière ralentit grâce aux plantations forestières, à la restauration de paysages et à l'extension naturelle des forêts sur les terres abandonnées.
Tailler les arbres permet de surveiller efficacement leur croissance et de préserver leur santé. Cela évite aussi qu'à cause du poids de certaines branches, l'arbre se penche ou s'affaisse d'un côté.
L'arbre est un producteur d'oxygène, un purificateur d'air et une source de vie. Les arbres séquestrent le CO2 dans l'atmosphère puis le transforment et le rejettent sous forme d'oxygène. Dans la forêt amazonienne, chaque hectare de forêt permet de stocker 50 tonnes de carbone.
quelques soins simples et ciblés. En particulier, un mystérieux trou – vraisemblablement créé des mains de l'homme – abime la base de son tronc, et des travaux de remblayage étouffent ses racines. Il suffirait donc de supprimer le remblai et de prendre soin du tronc pour que l'arbre aille mieux.
La déforestation a aussi un impact très fort sur le changement climatique. En effet, les arbres stockent du CO2 tout au long de leur vie. En détruisant ces arbres, on réduit donc la capacité de l'écosystème mondial à stocker du CO2. Moins d'arbres, c'est moins de CO2 absorbé et donc plus d'effet de serre.
Agriculture commerciale
40% de la déforestation mondiale est liée l'expansion agricole, première cause de déforestation dans le monde. Plantations de palmiers à huile, culture de soja et canne à sucre, élevage, les modèles agricoles détruisent massivement les forêts tropicales.
Aujourd'hui, l'exploitation irresponsable des forêts a des conséquences sociales et environnementales très lourdes. Réduction de la biodiversité, érosion, pollution de l'eau ou perturbation de son cycle, voir même, déforestation.
La déforestation est l'une des causes principales du réchauffement climatique : les forêts sont parmi nos principaux remparts face à la catastrophe climatique. La déforestation réduit la capacité des forêts à capter le carbone... et relâche dans l'atmosphère les gaz stockés par les arbres détruits.
L'exploitation du bois conduit aussi à la destruction des arbres secondaires et des espèces de sous-étage qui fournissent des PFNL. Les dommages sont associés à la chute des arbres et au passage de gros engins qui détruisent aussi les PFNL.
Elles sont des espaces de repos, de promenade et de loisirs. Elles sont de véritables usines de dépollution de l'eau, du sol et de l'air. Elles absorbent du gaz carbonique et rejettent de l'oxygène. Par ce phénomène, elles participent à la lutte contre le [ réchauffement climatique ].
Les impacts de l'homme sur les forêts naturelles du monde ne se limitent pas à la déforestation. Le feu, la coupe de bois et l'invasion par des animaux et des plantes exotiques sont quelques exemples d'impacts directs sur la biodiversité et les stocks de carbone des parties non déboisées, ou vestiges forestiers.
Les conséquences de la déforestation sont nombreuses. En RDC, le pillage de la forêt et les coupes à blanc causées par l'augmentation des chemins forestiers et le saccage de la forêt pourraient entraîner la perte de 40 % du couvert forestier.
Ainsi, des quantités gigantesques de CO2 sont rejetées dans l'atmosphère. Les gaz à effet de serre issus du déboisement par le feu contribuent largement au réchauffement climatique. Un cinquième des émissions de gaz à effet de serre dûes aux activités humaines provient de la destruction des forêts.
L'action positive des forêts par exemple va bien au-delà de la simple lutte contre le réchauffement climatique. Elles nous fournissent aussi de la nourriture et des médicaments, participent à la fertilisation de nos sols ou aident au bon remplissage des nappes d'eau souterraines.