Les symptômes les plus courants de déséquilibre hormonal sont une fatigue durable, des sautes d'humeur perpétuelles, une libido en berne, des troubles digestifs, une chute de cheveux, une frilosité ou une transpiration excessive, des insomnies répétitives, un affaiblissement du système immunitaire, ainsi qu'une prise ...
Des maladies peuvent également être à l'origine d'un dérèglement hormonal : le SOPK par exemple provoque un dysfonctionnement des glandes, à l'origine de nombreux symptômes. Enfin, de tumeurs peuvent aussi libérer des hormones, et être donc à l'origine d'un dérèglement hormonal.
L'estradiol est l'estrogène le plus utilisé en France actuellement. Il est le plus souvent prescrit en association avec la progestérone ou un de ses dérivés (voir ci-dessous). L'estriol (PHYSIOGINE) est un estrogène également prescrit dans le traitement de la ménopause. Ses effets à long terme ne sont pas connus.
La prise d'un traitement hormonal substitutif à la ménopause accroît légèrement les risques de thrombose veineuse. Il s'agit de la formation d'un caillot dans une veine, provoquant une phlébite ou une embolie pulmonaire. Une thrombose artérielle (formation d'un caillot dans une artère) est également possible.
Dans les déséquilibres hormonaux on conseille : Les plantes adaptogènes (ex : basilic sacré, astragale…) : permettent de lutter contre le stress corporelle. Méditation, exercices de respiration : permettent de gérer le stress émotionnel qui a un impact direct sur les glandes surrénales notamment (cortisol et adrénaline ...
Les oestrogènes et la progestérone tendent à empêcher l'apparition de graisse abdominale tandis que le cortisol, l'hormone associée au stress, favorise la prise de graisse abdominale, autant chez les femmes minces que chez les femmes en surpoids.
Le bilan hormonal est idéalement pratiqué à J-3, ou entre le 2ème (J-2) et le 4ème (J-4) jour du cycle menstruel (le premier jour du cycle étant le premier jour des règles) en ce qui concerne la FSH, LH, 17 Bêta Oestradiol, Progestérone, Inhibine B.
La hausse des niveaux de cortisol qui accompagne la réaction au stress (lorsque le corps choisit entre le combat ou la fuite) peut empêcher votre organisme de libérer certaines hormones comme l'insuline, les œstrogènes ovariens et la progestérone.
Définition : c'est quoi un bilan hormonal ? Un bilan hormonal est un examen permettant de doser des hormones dans le sang ou les urines. L'objectif est d'observer les taux de certaines hormones pour trouver la cause d'un trouble ou d'une maladie. Pour rappel, les glandes endocrines (thyroïde, ovaires etc…)
Une consultation chez un endocrinologue débute par un interrogatoire médical qui permet au patient d'exposer ses symptômes, son histoire médicale et ses antécédents familiaux. Vient ensuite l'examen clinique au cours duquel le spécialiste ausculte la personne malade.
L'évaluation de votre profil hormonal se fait par une prise de sang, le plus souvent entre le 2ième et le 4ième jour du cycle. Différentes hormones jouent un rôle dans la reproduction.
Œstrogènes et progestérone, les hormones qui font gonfler.
Le THS (oestrogène avec ou sans progestatif) est efficace pour atténuer les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes et la sécheresse vaginale, mais que l'utilisation du THS , même à court terme, est liée à l'accroissement des risques de caillots de sang, d'accidents cérébrovasculaires et des maladies coronariennes.
Le ventre gonflé est souvent le symptôme de fluctuations hormonales (les cycles menstruels, l'ovulation, la ménopause…). La baisse en œstrogène provoque fréquemment une gêne et des ballonnements. D'autres types de troubles gynécologiques peuvent également être en cause.
Pour simplifier au maximum, la leptine est l'hormone qui dit à ton corps quand il faut arrêter de manger. Si tu as un faible niveau de leptine cela peut souvent entraîner des fringales dans la journée et donc ton corps aura tendance à stocker davantage.
Il vaut mieux le prendre dès le début de la ménopause
D'abord, c'est le moment où les symptômes comme les bouffées de chaleur sont les plus fréquents et les plus sévères. Par ailleurs, les études sont assez claires : commencer en début de la ménopause réduit le risque d'effets indésirables.
Quand consulter un endocrinologue ? En général, on consulte un endocrinologue en cas de pathologies de la thyroïde (hyperthyroïdie, hypothyroïdie, nodule thyroïdien, cancer de la thyroïde…). Des atteintes de l'hypophyse (maladie de cushing, adénomes...) ou de la surrénale (maladie d'Addison...)
Tarif pour une consultation avec un endocrinologue conventionné secteur 1. 25€, c'est le prix de base d'une consultation.
L'endocrinologie est une médecine remboursée à hauteur de 70% par la Sécurité Sociale sur le tarif de base, qui est de 30€ pour les médecins conventionnés secteur 1.