On regroupe généralement les intelligences multiples en quatre types : les intelligences d'actions (interpersonnelle et intrapersonnelle), scolaires (linguistique et logico-mathématique), environnementales (naturaliste et musicale) et méthodologiques (visuo-spatiale et kinesthésique).
L'intelligence visuo-spatiale
Howard Gardner l'explique comme la “capacité à trouver son chemin dans un environnement donné et d'établir des relations entre les objets dans l'espace.” Les architectes, menuisiers, urbanistes sont dotés d'une grande intelligence visuo-spatiale.
L'intelligence est également fortement influencée par l'environnement. Les facteurs liés à l'environnement familial et à la parentalité, à l'éducation et à la disponibilité des ressources d'apprentissage, de même qu'à la nutrition, notamment, contribuent tous à l'intelligence.
Elle désigne "l'habileté à percevoir et à exprimer les émotions, à les intégrer pour faciliter la pensée, à comprendre et à raisonner avec les émotions, ainsi qu'à réguler les émotions chez soi et chez les autres".
Trois régions du cerveau impliquées dans l'intelligence
Les plus importantes se retrouvent au niveau du cortex préfrontal gauche, du cortex temporal (très largement utilisé pour l'intelligence générale) et à l'arrière du cerveau, au niveau du cortex pariétal.
L'intelligence existentielle/spirituelle, chez Howard Gardner, se définit par la capacité à se questionner sur le sens, sur l'origine des choses et à se situer par rapport aux limites cosmiques. Il s'agit d'édicter des règles ou des comportements selon les domaines de la vie.
Les personnes qui en sont pourvues font preuve d'une incroyable capacité à réfléchir et à approfondir les questions existentielles. Le spécialiste indique que « La réflexion peut, par exemple, partir de soi et s'élargir à la condition humaine, au sens de la vie ou à la signification d'une œuvre ».
Cela peut être une bonne ou une mauvaise nouvelle. A l'adolescence, le quotient intellectuel (QI) peut varier dans une proportion importante (jusqu'à 20 points) dans un sens comme dans un autre, selon des travaux menés par Sue Ramsden (University College de Londres).
Par ailleurs, accorder trop de place à la génétique fait oublier l'impact des facteurs environnementaux : mode de vie, milieu socio-culturel, éducation… « L'intelligence, c'est 100% de génétique et 100% d'environnement. Elle n'est pas définie par une part d'inné et une d'acquis.
L'intelligence corporelle-kinesthésique : c'est la capacité à bien connaître et contrôler son corps et ses mouvements. L'intelligence spatiale : forme d'intelligence souvent très développée chez les dyslexiques, elle permet de très bien mémoriser et visualiser ses alentours.
La cause, ce sont les polluants, toutes ces substances présentes autour de nous, chez nous, ou dans notre assiette. On savait qu'elles altéraient notre foie ou nos poumons, elles endommagent aussi notre cerveau.
"La motivation, l'attention et les émotions sont les trois facteurs nécessaires pour améliorer son intelligence". Cela passe d'abord par un travail d'introspection ayant pour objectif d'aboutir à une meilleure connaissance de soi.
Beaucoup d'autres gènes sont probablement impliqués dans la formation du cerveau humain caractérisé par sa taille, disproportionnée relativement à celle des autres primates, par le développement inégalé de son cortex préfrontal et par des particularités liées à la mise en place et au fonctionnement de ses cellules ...
Alimentation et stimulation
D'autre part, l'environnement familial est également primordial car il est la source principale de stimulations qui permettront de développer au mieux les capacités intellectuelles et l'envie d'apprendre de l'enfant. On ne « naît » donc pas intellectuel, on le devient !
Alors nous sommes tous intelligents ? En effet, selon le psychologue Howard Gardner, nous sommes tous des êtres dotés d'intelligences multiples qui nous aident à être compétent dans différentes disciplines. Ainsi chaque personne a une série de limites et de potentiels dans différents domaines.
Cela est dû à plusieurs facteurs dont le premier est les gènes. En effet, les chercheurs ont identifié deux réseaux de gènes de l'intelligence qui joue un rôle important dans la rapidité de compréhension, l'attention ou encore le raisonnement.
1. Jonathan - QI moyen de 80.
Il s'appelle Terence Tao. Son nom ne vous dit sans doute pas grand-chose et pourtant ce mathématicien australien de 42 ans est considéré comme l'homme le plus intelligent du monde, eu égard à un QI stratosphérique qui atteint les 230, du jamais vu dans l'histoire de l'humanité.